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Planète Q et R: Croyez vous en l'avenir de la presse écrite?

Écrit par Epoch Times
30.10.2013
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Malgré l’avance des médias numériques, certains pensent que la presse écrite continue d'être une source précieuse d’information. C'est ce que les journalistes d’Epoch Times d'Argentine jusqu’en Russie ont essayé de découvrir avec la question «Croyez-vous qu'il y a un avenir pour la presse écrite?»

  • Miguel Ángel Falcon, Journaliste. Buenos Aires, Argentine (Epoch Times)

«Je l'espère, parce que j'écris pour un journal, et je possède un magazine. J'espère juste qu'il y aura un avenir. Mais les progrès et les technologies modernes, telles que le Web et l’ordinateur, supplanteront la presse écrite. Mais je suis un visionnaire, et je crois aussi dans l'ancien comme quelque chose d'authentique, en espérant que la presse écrite ne finira jamais. Pour un bohémien comme moi, ce serait idéal.»

  • Asim Rai, 26 ans, directeur artistique. Dubaï, Émirats Arabes Unis (Gracieuseté d’Asim Rai)

«Selon mon expérience dans le domaine de la conception, l'importance de la presse écrite est en baisse progressive depuis que la technologie qui nous entoure évolue chaque jour. Par exemple, même les manuels scolaires et les journaux sont en train de se faire remplacer par des e-books et e-documents.»

  • Vera Monteiro, 44 ans, institutrice. Salvador, Bahia, Brésil (Gracieuseté de Vera Monteiro)

«Oui, il y aura toujours une place pour la presse écrite. Malgré la polyvalence du numérique, qui a une portée mondiale, les médias imprimés garantissent aux lecteurs des nouvelles plus détaillées ainsi que les avis de journalistes respectés et de responsables de presse. Il y aura toujours des lecteurs qui aiment parcourir un journal, le relire, pour montrer ces informations dans leur réseau ou pour prouver leur thèse. La presse écrite réinvente sa forme, la taille et le contenu pour suivre cette époque de changement.»

  • Larry Kosberg, 68 ans, musicien. Manhattan, New York, États-Unis (Epoch Times)

«L'avenir de la presse écrite aurait raison d'Internet? Probablement pas. Parce que la plupart des gens vont sur Internet, et parce que les gens sont généralement paresseux de cette manière. C'est plus facile et c'est moins cher. Au lieu d'acheter un papier pour quelques dollars, vous obtenez ce que vous voulez gratuitement sur Internet ou à la télévision. Je ne pense pas qu'elle ait un avenir. Si la presse écrite a un avenir, ce ne sera plus ce que c'était. Les gens achètent moins maintenant, les gens s'abonnent moins. Toutes les statistiques le démontrent.»

  • Caroline Lancucheo, 28 ans, vendeuse. Puerto Montt, Chili (Epoch Times)

«Non, je ne pense pas qu'elle ait un avenir si prometteur. Avec les progrès continus de la technologie et l'utilisation croissante des jeunes... Je ne vois pas beaucoup d'avenir pour la presse écrite.»

  • Teresa López Hernández, 58 ans, infirmière à la retraite. Distrito Federal, Mexique (Gracieuseté de Teresa Lopez Hernandez)

«Je crois qu'il y a un avenir, parce qu'elle [la presse écrite] est très pratique sans que la technologie ne soit nécessaire. Elle offre l'avantage de fournir une image très résistante à la différence des médias numériques qui ne fournissent que des informations éphémères. Dans la presse écrite, les nouvelles peuvent être retrouvées à tout moment, et la presse écrite a une plus grande crédibilité.»

  • Aleksandr Volkov, 59 ans. Serguiev Possad, Russie (Epoch Times)

«Bien sûr, la presse écrite a un avenir, mais pas grand. Je lis à la fois la presse écrite et l'information en numérique sur une tablette ou sur mon ordinateur. La presse écrite est en perte de vitesse, parce que vous devez l'acheter et l'emporter avec vous. À cet égard, il est plus facile d’obtenir et de lire des informations sur une tablette. Cela prend moins de place et c'est plus facile à mettre à jour, de sorte que vous pouvez rester bien informé où que vous soyez.»

  • Itidal Kanj, 54 ans, infirmière et traductrice. Lund, Suède (Epoch Times)

«Je suis sûr que la presse écrite existera encore, en dépit d'un Internet de plus en plus présent partout dans le monde.»

Version originale : Global Q&A, ‘Do you believe there’s a future for print media?’

 

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