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Une série éditoriale de Epoch Times: Neuf commentaires sur le Parti communiste – 4e partie

Le Parti communiste est une force qui s’oppose à l’univers

Écrit par Epoch Times
25.07.2005
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  • Une affiche de propagande pour les Gardes Rouges battant, détruisant et pillant.

Préambule

Les Chinois accordent beaucoup d’importance au «Tao», ou la Voie. Dans les temps anciens, un empereur brutal aurait été appelé «un dirigeant décadent et dépourvu du Tao». On disait de tout comportement qui ne se conformait pas à la morale, appelé en chinois Dao De, signifiant respectivement le «Tao» et la «Vertu», qu’il ne «suivait pas la Voie». Même les paysans qui se révoltaient écrivaient sur leurs banderoles «parvenir à la Voie au nom du ciel». Lao Tseu a dit: «Un quelque chose était, non défini mais accompli

Né avant Ciel-et-Terre

Sans parole comme sans borne

Indépendant inaltérable

Se jouant partout sans fatigue

En somme la Mère du monde

Ne sachant pas son nom je le nomme Voie»

Cela suggère que l’univers est formé à partir du «Tao».

Dans les cent dernières années, l’invasion soudaine du spectre communiste a créé une force s’opposant à la nature et à l’humanité, causant des atrocités et tragédies inimaginables, poussant la civilisation humaine au bord du gouffre. Ayant commis toutes sortes d’horreurs qui vont à l’encontre du Tao et qui s’opposent au ciel et à la terre, c’est devenu une force extrêmement malfaisante qui s’érige contre l’univers.

«L’Homme suit les voies de la Terre

La Terre suit les voies du Ciel

Le Ciel suit les voies de la Voie

Et la Voie suit ses propres voies.»

Dans la Chine ancienne, les gens croyaient au fait de se conformer, de s’harmoniser et de coexister avec la nature. L’humanité fait corps avec le ciel et la terre et existe en interdépendance avec eux. Le Tao de l’univers est immuable. L’univers fonctionne selon le Tao de manière ordonnée. La terre suit les changements du ciel, ainsi elle a quatre saisons distinctes. En respectant le ciel et la terre, l’humanité pourra jouir d’une vie harmonieuse, pleine de gratitude et de bénédictions. C’est pour cette raison que l’on dit que: «Le temps opportun, l’endroit favorable et l’harmonie entre les gens» expriment des valeurs chinoises. Dans la pensée chinoise, l’astronomie, la géographie, le système du calendrier, la médecine, la littérature et même la structure sociale, tout suit cette compréhension.

Mais le Parti communiste met en avant «la victoire définitive des hommes sur la nature» et «une philosophie de la lutte des classes» qui forme le noyau de cette guerre. Ils défient le caractère naturel du ciel, de la terre et de la nature. Mao Tse Toung a dit: «Combattre le ciel est une joie sans fin, combattre la terre est une joie sans fin, et lutter contre l’humanité est une joie sans fin.» Le Parti communiste s’est peut-être réjoui de ces luttes, mais les gens l’ont payé très cher et en ont beaucoup souffert.

I. Combattre les gens et éliminer la nature humaine

1. L’inversion du juste et du faux élimine l’humanité

L’être humain est d’abord un être de la nature, puis un être social. «Les hommes à la naissance sont naturellement bons» et «la compassion est commune à tout le monde»; cela exprime quelques uns des nombreux principes que les hommes portent en eux depuis leur naissance. Ces règles de conduite leur permettent de distinguer le vrai du faux et le bien du mal. Le PCC, au contraire, croit que les êtres humains sont comme des animaux, voire des machines. Selon lui, la bourgeoisie et le prolétariat ne sont que des forces matérielles.

Le but du PCC est de contrôler les gens et de les changer graduellement en des voyous rebelles et révolutionnaires. Marx a dit: «La force matérielle ne peut être abattue que par la force matérielle; mais la théorie se change, elle aussi, en force matérielle, dès qu’elle pénètre les masses». Il croyait que toute l’histoire humaine n’était rien d’autre que la continuité de l’évolution de la nature humaine et que la nature humaine était en réalité une nature faite de classes, partant du principe que rien n’est inné, mais résulte de l’environnement. Marx soutient que l’être humain est un «homme social», en opposition avec le concept de «l’homme naturel» avancé par Feuerbach. Lénine croyait que le marxisme ne pouvait pas être engendré naturellement au sein du prolétariat, mais devait être injecté de l’extérieur. Lénine s’est efforcé au maximum d’amener les travailleurs à passer de la lutte économique à la bataille politique pour le pouvoir, mais il n’y est pas parvenu. Alors il a placé son espoir sur la «théorie du réflexe conditionné» mise en avant par le lauréat du Prix Nobel Ivan Petrovich Pavlov. Lénine a dit que cette théorie «a des significations importantes pour le prolétariat du monde entier.» Trotsky a même espéré en vain que le réflexe conditionné change non seulement la personne sur le plan psychologique mais aussi sur le plan physique. De la même manière qu’un chien qui se met à saliver lorsqu’il entend la cloche annonçant le repas, il espérait que des soldats entendant des coups de feux se lanceraient avec courage pour vouer leur vie au Parti communiste.

Depuis les temps anciens, les gens croient que les récompenses proviennent de l’effort et du travail. En travaillant durement, on peut trouver la prospérité. Les gens méprisent la paresse et croient qu’il est immoral de récolter des bénéfices sans travailler. Le communisme s’est répandu à travers la Chine comme un fléau, et sous les encouragements du PCC, les rebuts du genre humain et les désœuvrés se sont partagés les terres, ont volé les propriétés privées, tyrannisé les hommes et les femmes. Cela s’est fait ouvertement et au nom de la loi.

Chacun sait qu’il est bon de respecter les aînés et s’occuper des plus jeunes, que manquer de respect envers les aînés et les professeurs est mal. L’ancienne éducation confucianiste comportait deux parties: xiao xue (la petite étude) et da xue (la grande étude). On recevait l’éducation xiao xue avant 15 ans. Elle était centrée sur les bonnes manières, la bienséance, les relations sociales, et l’étiquette (c’est à dire, l’hygiène, le comportement en société, l’expression orale etc.) L’éducation da xue mettait l’accent sur la vertu et le chemin pour atteindre le Tao . Lors des campagnes du PCC contre Lin Biao et Confucius, le Parti a dénoncé le respect porté aux professeurs et éliminé de l’esprit des plus jeunes générations tous les enseignements moraux.

Un proverbe ancien dit: «Maître d’un jour, père de toute la vie».

Le 5 août 1966, Bian Zhongyun, une enseignante d’un lycée de filles affilié à l’Université normale de Pékin a été contrainte par ses étudiantes à défiler dans la rue au son de tambours faits de poubelles. Elle portait un bonnet de cancre, des habits souillés d’encre noire et avait une ardoise noire couverte d’insultes pendue à son cou. On l’a forcée à s’agenouiller, battue à coup de bâton clouté et brûlée avec de l’eau bouillante. Elle est morte sous la torture.

La directrice du lycée affilié à l’Université de Pékin s’est vue forcée par des étudiantes à frapper un lavabo cassé en criant «je suis un mauvais élément !» On a coupé ses cheveux de manière hirsute pour l’humilier. Alors qu’on la forçait à ramper par terre, elle a été frappée sur la tête jusqu’à ce qu’elle saigne.

Chacun pense qu’il est bon d’être propre et mal d’être sale. Mais le PCC encourage à «se vautrer dans la boue et à se couvrir les mains de cals», il soutient qu’il est bien que les gens aient «les mains noires et la bouse qui colle aux pieds». De telles personnes étaient considérées comme les plus rouges des révolutionnaires, ils pouvaient aller à l’université, devenir membres du Parti, obtenir des promotions et finalement devenir leaders du PCC.

L’humanité a progressé grâce à l’accumulation de connaissances, mais sous le PCC, acquérir des connaissances était mal considéré. Les intellectuels étaient classés dans «la neuvième catégorie puante» – la pire sur une échelle de un à neuf. On ordonnait aux intellectuels de se mettre à l’école des illettrés, ils devaient être rééduqués par des paysans pauvres avant de pouvoir recommencer une nouvelle vie. Dans le but de poursuivre la rééducation des intellectuels, des professeurs de l’Université de Tsinghua (Qinghua) ont été exilés sur l’île de Carp à Nanchang dans la province de Jiangxi. La bilharziose était une maladie courante dans cette région, à tel point qu’un camp de travail de la région a été déplacé. Les professeurs ont été infectés après avoir été en contact avec l’eau de la rivière et ont développé des cirrhoses du foie, perdant ainsi toute capacité de travailler et de vivre.

Le Parti communiste cambodgien (les Khmers rouges), encouragé par l’ancien Premier ministre Zhou Enlai, a persécuté les intellectuels avec une cruauté inimaginable. Toute personne ayant une pensée indépendante devait être réformée et détruite autant spirituellement que physiquement. De 1975 à 1978, un quart de la population cambodgienne a été tué, certains simplement à cause de marques laissées sur leur visage par une paire de lunettes.

Après la victoire du communisme au Cambodge en 1975, Pol Pot a commencé à installer le socialisme de manière prématurée – «un paradis dans la société humaine» – qui promouvait une société sans classe, sans différence entre la campagne et la ville, sans monnaie et sans échanges commerciaux. Finalement, la structure familiale a été éclatée pour être remplacée par des équipes de travail d’hommes et des équipes de travail de femmes. Tous étaient obligés de travailler, de manger ensemble et de porter le même uniforme révolutionnaire noir ou l’habit militaire. Les maris et les femmes ne pouvaient se rencontrer qu’une fois par semaine à condition d’en avoir l’autorisation.

Le Parti communiste prétend qu’il ne craint ni le ciel ni la terre, pourtant il a essayé avec arrogance de réformer le ciel et la terre, ceci au mépris complet des éléments et des forces justes de l’univers. Alors qu’il était étudiant à Hunan, Mao Tse Toung a écrit: «Dans l’histoire, toutes les nations ont mené de grandes révolutions. Le vieux est blanchi et imprégné de nouvelles teintures; de grands changements sont apparus mêlant vie et mort, succès et ruine. Il en va de même avec la destruction de l’univers. La destruction de l’univers n’est sûrement pas sa destruction finale et il ne fait aucun doute que la destruction ici sera une naissance là-bas. Tous, nous nous attendons à une telle destruction, parce qu’en détruisant l’univers ancien, nous amènerons un univers nouveau. Ne sera-t-il pas mieux que l’ancien?!»

L’affection est une émotion naturelle entre mari et femme, parents et enfants, entre les amis et dans la société en général. Par ces campagnes politiques continues, le PCC a changé les hommes en loups ou même en animaux encore plus féroces et cruels que les loups. Même s’ils sont des animaux cruels et féroces, jamais les tigres ne mangent leurs propres petits. Mais sous la coupe du PCC, il était courant que des parents et des enfants se dénoncent les uns les autres et que des maris et femmes se dénoncent mutuellement; il était courant que des gens renoncent totalement à leurs relations familiales.

Dans une école élémentaire de Pékin, au milieu des années 1960, une enseignante a, par inadvertance, juxtaposé les idéogrammes «socialisme» et «chuter» alors qu’elle préparait un examen d’orthographe pour ses écoliers. Ceux-ci en ont informé les fonctionnaires du PCC. A la suite de cela, elle a été critiquée quotidiennement et frappée par des écoliers. Sa fille l’a reniée. Chaque fois que la lutte devenait plus intense, sa fille critiquait la «nouvelle tendance» de sa mère dans «la lutte de classe» lors de réunions politiques. Pendant les années qui ont suivi cette mésaventure, sa seule tâche a été de faire le ménage de l’école, y compris des toilettes.

Les gens qui ont vécu la période de la Révolution culturelle n’oublieront probablement jamais Zhang Zhixin, envoyée en prison parce qu’elle critiquait Mao pour son échec dans le Grand Bond en avant. De nombreuses fois, les policiers de la prison lui ont arraché ses vêtements, puis l’ont menottée les mains derrière le dos et jetée dans une cellule de prisonniers mâles pour qu’ils la violent. Elle a fini par perdre la raison. Au moment de son exécution, redoutant qu’elle crie des slogans de protestation, les gardiens de la prison ont appuyé sa tête contre une brique et lui ont sectionné les cordes vocales sans la moindre anesthésie.

Actuellement encore, dans la persécution du Falun Gong, le PCC continue de recourir à ces mêmes vieilles méthodes pour inciter à la haine et encourager à la violence entre les gens.

Le Parti communiste réprime la nature vertueuse de l’homme, il encourage et utilise son côté mauvais pour renforcer son propre pouvoir. Une campagne après l’autre, les gens qui ont un peu de conscience sont forcés de se taire sous peine de représailles. Le système communiste a détruit de manière systématique les critères moraux universels en essayant de supprimer totalement les notions de bien et de mal, d’honneur et de déshonneur qui ont été transmises par l’humanité pendant des millénaires.

2. La perversité transcende la loi d’inter-génération et d’inter-inhibition

Lao Zi (Lao Tseu) a dit: «Quand chacun tient le beau pour beau vient la laideur

Quand chacun tient le bon pour bon viennent les maux

Étant et n’étant pas s’engendrent

Aisé malaisé se parfont

Long et court renvoient l’un à l’autre

Haut et bas se penchent l’un vers l’autre

Voix et son consonnent ensemble

Devant et derrière se suivent» [12]

En clair, la loi de génération mutuelle et d’inhibition mutuelle existe dans le monde humain. Les êtres humains ne sont pas seulement divisés en bonnes ou mauvaises personnes, mais le bien comme le mal coexiste chez la même personne. Dao Zhi, un symbole pour les bandits de la Chine ancienne, disait à ses fidèles partisans: «Les bandits doivent aussi suivre la Voie». Il poursuivit en expliquant qu’être un bandit doit aussi signifier être «honorable, courageux, loyal, sage et bienveillant». Autrement dit, même un bandit ne peut pas faire ce qui lui plaît. Il doit lui aussi suivre certaines règles.

Si l’on se penche sur l’histoire du PCC, on peut voir qu’elle est pleine de mensonges et de trahisons perpétrées sans aucune retenue. Par exemple, ce que les bandits honorent le plus est la «loyauté». Ils appellent même l’endroit où ils partagent le butin «la salle de loyauté destinée au partage de la récolte». Mais à chaque fois qu’une crise survient, les membres du PCC se dénoncent et s’accusent entre eux et, comble de tout, ils vont jusqu’à fabriquer de fausses accusations, les uns contre les autres.

Prenez, par exemple, le général Peng Dehuai. Mao Tse Toung, qui provenait d’un milieu paysan, savait bien qu’il était impossible de produire 130.000 jin de céréales par mu et que ce que disait Peng était tout à fait vrai. Il savait aussi que Peng n’avait aucune intention de prendre le pouvoir, cela d’autant plus que, lors de la guerre entre le PCC et le Guomindang (le Parti nationaliste chinois), Peng lui avait sauvé la vie à plusieurs reprises quand il s’était battu contre les 200.000 soldats de la troupe de Hu Zongnan avec de son côté seulement 20.000 hommes. Néanmoins, dès que Peng a exprimé son désaccord avec Mao, celui-ci est devenu fou de rage et a immédiatement jeté à la poubelle le poème qu’il avait écrit en faveur de Peng – «Qui ose s’élancer à cheval vers le front en brandissant une épée – seulement notre général Peng!» Mao était résolu à tuer Peng, malgré la noblesse et l’esprit d’entraide de celui qui lui avait sauvé la vie.

Le PCC tue brutalement plutôt que de gouverner avec bienveillance; il persécute ses propres membres et s’engage dans des querelles internes au mépris de l’esprit de camaraderie et de la loyauté; il troque lâchement le territoire chinois; manquant de sagesse, il se fait ennemi des croyances justes; il amorce des courants populaires qui vont à l’encontre de la manière dont le sage gouvernerait la nation. En somme, le PCC a été jusqu’à abandonner l’exigence morale la plus élémentaire selon laquelle même «les bandits doivent aussi suivre la Voie». Sa perversité est allée bien au-delà de la loi de génération mutuelle et d’inhibition mutuelle de l’univers. Le PCC s’oppose complètement à la nature et à l’humanité dans le but de brouiller le critère du bien et du mal et de renverser la loi de l’univers. Son arrogance démesurée a atteint sa limite, il est condamné à l’effondrement total.

II. Combattre la terre et s’opposer aux lois de la nature provoque des fléaux incessants

1. La lutte des classes s’étend à la nature

En 1968, Jin Xunhua était un élève diplômé du lycée numéro 2 de Shanghai et membre du Comité permanent du lycée des Gardes rouges de Shanghai. Il a été envoyé dans la campagne de la province de Heilongjiang en mars 1969. Le 15 août 1969, des torrents d’eau sont descendus d’une chaîne de montagne et ont rapidement inondé les régions longeant la rivière Shuang. Jin s’est jeté à l’eau pour récupérer deux poteaux télégraphiques appartenant à son équipe de production et s’est noyé.

Ci-dessous, voici deux extraits [14] du journal intime de Jin avant sa mort.

«Le 4 juillet Je commence à ressentir la sévérité et l’intensité de la lutte des classes à la campagne. En tant que Garde rouge de notre président Mao, je suis totalement prêt à me battre au front contre les forces réactionnaires, muni de l’invincible Pensée de Mao Tse Toung comme mon arme. Je veux le faire, même si je dois y perdre la vie. Je me battrai, me battrai et me battrai au mieux de mes forces pour consolider la dictature du prolétariat.

Le 19 juillet

Les ennemis de classes dans cette brigade de production sont encore arrogants. La jeunesse éduquée est précisément venue dans la campagne pour participer aux trois mouvements révolutionnaires majeurs de la campagne. D’abord et avant tout la lutte des classes. Nous devrions compter sur la classe des pauvres et la classe inférieure moyenne des paysans, mobiliser les masses et supprimer l’arrogance des ennemis. Nous, la jeunesse éduquée, devrions toujours brandir de grandes banderoles de la Pensée de Mao Tse Toung, ne jamais oublier la lutte des classes et ne jamais oublier la dictature du prolétariat.»

Jin s’est rendu à la campagne avec la pensée de lutter contre le ciel et la terre pour réformer l’humanité. Son journal intime révèle que son esprit était rempli de «combats». Il a élargi l’idée de «se battre avec les hommes» à celle de lutter contre le ciel et la terre et a fini par y perdre la vie. Jin est un cas typique de la philosophie de la lutte et en même temps, sans aucun doute, il en est devenu une victime.

Engels disait que la liberté est la reconnaissance de l’inévitable. Mao Tse Toung a continué en ajoutant «et la réforme du monde». Cette touche finale a dévoilé comment le PCC considère la nature, en d’autres termes qu’il faut la changer. Ce que les communistes considèrent comme «inévitable» est la matière qui est hors du champ de leur conception et «les principes» dont l’origine est hors d’atteinte. Ils croient que la nature et l’humanité peuvent être «conquises» en mobilisant la conscience humaine subjective dans le but de comprendre des lois objectives. Dans leur tentative de changer la nature, les communistes ont semé la pagaille en Russie comme en Chine, pays qu’ils ont pris comme terrain d’expérimentation.

Les chansons populaires qui datent du Grand Bond en avant montrent l’arrogance et la stupidité du PCC: «Que les montagnes s’inclinent, que les rivières se mettent de côté»; «il n’y a pas d’Empereur de Jade dans le ciel, il n’y a pas de Roi Dragon sur terre. Je suis l’Empereur de Jade et je suis le Roi Dragon. J’ordonne aux trois montagnes et aux cinq gorges de se pousser sur le côté, car me voilà!» Le Parti communiste est arrivé! Avec lui vient la destruction de l’équilibre de la nature et de l’harmonie originelle du monde.

2. En bouleversant la nature, le PCC récolte ce qu’il a semé

Par sa politique agricole qui mettait les céréales au centre de tous ses plans, le PCC a converti à volonté en terres cultivables de vastes régions escarpées montagneuses et des prairies qui n’étaient pas faites pour être cultivées. Il a comblé des fleuves et des lacs en Chine pour en faire de riches terres agricoles. Quel en a été le résultat? Le PCC a prétendu que la production de céréales en 1952 avait excédé celle de la période nationaliste, mais le PCC n’a pas révélé que ce n’est qu’en 1972 que la production globale de céréales chinoises a dépassé celle du règne paisible de Qianlong durant la dynastie des Qing. Même à ce jour, la production de céréales est bien inférieure à celle de la dynastie Qing. C’est à peine le tiers de ce qui avait été produit durant la dynastie des Song, quand la production agricole atteignait son point culminant dans l’histoire chinoise.

Couper les arbres sans discernement, mettre à niveau des rivières et combler des lacs a eu pour résultat de détruire irrémédiablement l’environnement en Chine. Aujourd’hui, l’écosystème de la Chine est au bord de l’effondrement. L’assèchement de la rivière Hai et du fleuve Jaune, la pollution du fleuve Huai et du Yangtse ont rompu le cordon vital dont la nation chinoise dépend pour sa survie. Avec la disparition des prairies dans le Gansu, le Qinghai, la Mongolie Intérieure et le Xinjiang, les tempêtes de sable se sont dirigées vers les plaines centrales.

Dans les années 1950, sous la direction d’experts soviétiques, le PCC a construit la centrale d’électricité hydraulique Sanmenxia sur le fleuve Jaune. Cette centrale électrique ne fournit la capacité génératrice que d’une centrale d’un fleuve moyen, en dépit du fait que le fleuve Jaune est le deuxième plus grand fleuve de la Chine. Pire encore, ce projet a provoqué une accumulation de terre et de sable dans sa partie supérieure et causé l’élévation du lit du fleuve. À cause de cela, même des crues modérées provoquent d’énormes pertes en vies humaines et matérielles chez les populations des deux côtés du fleuve. En 2003, lors des crues du fleuve Wei, le pic atteint par le débit d’eau était de 3.700 mètres cubes par seconde, un débit qui survient tous les trois à cinq ans. Pourtant le désastre causé a été le plus grave des cinquante dernières années.

D’innombrables grands réservoirs ont été construits dans la localité de Zhumadian, province de Henan. En 1975, les barrages de ces réservoirs se sont effondrés les uns après les autres. Dans un laps de temps aussi court que deux heures, 60 000 personnes ont été noyées, le nombre total de morts atteignant 200.000.

Le PCC continue à détruire la terre de Chine de manière gratuite. Le barrage sur le fleuve Yangtse et le projet de transférer l’eau du sud vers le nord constituent des tentatives du PCC de modifier l’écosystème et coûtent des centaines de milliards de dollars en investissement. Sans parler des petits et moyens projets pour «combattre la terre». De plus, il a un jour été suggéré au sein du PCC d’utiliser une bombe atomique pour ouvrir un passage sur le plateau tibétain de Qinghai et ainsi modifier l’environnement naturel de la Chine de l’ouest. Bien que l’arrogance du PCC et son mépris pour sa terre aient choqué le monde, ils n’étaient pas imprévisibles.

Dans les hexagrammes (Ba Gua) du Livre des Mutations (I Ching), les Chinois anciens considéraient le ciel comme qian ou créativité et le vénéraient comme le Tao céleste. Ils considéraient la terre comme kun ou réceptacle et en vénéraient les vertus de réceptivité.

Kun, l’hexagramme qui vient après qian, est expliqué ainsi dans le Livre des Mutations: «Etant dans l’hexagramme de kun, la nature de la terre est de s’étendre et de répondre. En correspondance avec elle, les personnes supérieures agissent et conservent toutes choses, accomplissant des actions abondantes en vertu».

Le commentaire de Confucius sur le Livre des Mutations dit: «Parfaite est la grandeur de kun; elle apporte la naissance à tous les êtres».

Confucius commente encore la nature de kun: «Kun est très douce, pourtant dans le mouvement elle est ferme. Elle est très calme, pourtant dans sa nature elle est carrée. En suivant, elle obtient son seigneur, cependant elle conserve encore sa nature et ainsi endure. Elle contient toutes choses et excelle dans la transformation. C’est la voie de kun – elle est très docile, soutenant le ciel et changeant avec le temps».

Clairement, c’est seulement dans les vertus réceptives de la terre mère – la douceur, la tranquillité et l’endurance dans le fait de se conformer au ciel – que toutes choses peuvent se maintenir et fleurir sur terre. Le Livre des Mutations nous enseigne l’attitude juste envers le Tao céleste et envers les vertus terrestres, nous imposant de suivre le ciel, d’obéir à la terre et de respecter la nature.

Pourtant, le PCC s’est opposé à qian et kun, en demandant de «lutter avec le ciel et de combattre la terre». Il a pillé les ressources de la terre de manière gratuite. Il finira par être puni par le ciel, la terre et la loi de la nature.

III. Lutter contre le ciel, en supprimant la foi et en rejetant la croyance en Dieu

1. Comment une vie limitée peut-elle comprendre l’espace-temps infini?

Edouard, le fils d’Einstein, lui a une fois demandé pourquoi il était si célèbre. Einstein a répondu, en montrant un scarabée aveugle qui rampait sur un ballon de cuir, que ce scarabée ne savait pas que son chemin était courbe mais que lui, Einstein, le savait. La réponse d’Einstein a des implications très profondes. Un proverbe chinois comporte une signification similaire: «Vous ne connaissez pas le vrai visage de la montagne Lu précisément parce que vous êtes sur la montagne». Pour comprendre un système, on doit sortir de ce système et l’observer. Ainsi avec des notions limitées, l’humanité ne sera jamais capable de comprendre la vraie nature de l’espace-temps infini de notre univers. C’est pourquoi l’univers demeurera à jamais un mystère pour l’humanité.

Le monde que la science ne peut pas parcourir appartient à la spiritualité ou à la métaphysique, c’est à dire le domaine de la «foi».

La foi, activité de la conscience qui implique l’expérience et la compréhension de la vie, de l’espace-temps et de l’univers, se situe au-delà de ce qui peut être géré par un parti politique. «Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu». Pourtant, se fondant sur sa compréhension pitoyable et absurde de l’univers et de la vie, le PCC étiquette comme «superstition» tout ce qui se trouve en dehors de ses propres théories et soumet ceux qui croient en Dieu à des lavages de cerveau pour les convertir. Ceux qui ont refusé de changer leur croyance ont été diffamés, voire tués.

Les vrais scientifiques ont une vision très large de l’univers et ne nieront pas l’absence de limite de «l’inconnu» avec leurs conceptions individuelles limitées. Le célèbre scientifique Newton, dans son ouvrage Principes mathématiques publié en 1687 qui a fait école, a expliqué en détail les principes de la mécanique, de la formation des marées et des mouvements des planètes et calculé les mouvements du système solaire. Newton, un homme si éminemment accompli, a souvent répété que son livre était une simple description de phénomènes de surface et qu’il n’osait absolument pas parler de la vraie signification du Dieu ultime qui a créé l’univers. Dans la seconde édition de son livre, Principes mathématiques, Newton a exprimé sa foi: «Ce système, absolument magnifique, composé du soleil, des planètes et de comètes ne peut fonctionner que sur les conseils et que sous le règne d’un Etre intelligent et puissant... De même qu’un aveugle n’a aucune idée des couleurs, de même nous n’avons aucune idée des façons dont Dieu très sage sent et comprend tout.»

Laissons de côté la question de savoir s’il existe des paradis célestes qui transcendent l’espace-temps et si ceux qui aspirent à la Voie peuvent retourner à leur origine divine et retrouver leur être véritable. Il y a une chose sur laquelle nous pourrons tous être d’accord: tous ceux qui ont une foi juste croient que la bonté engendre la bonté et que le mal sera puni. Les croyances justes jouent un rôle très important dans le maintien de la moralité humaine à un certain niveau. D’Aristote à Einstein, nombreux sont ceux qui ont cru en l’existence dans l’univers d’une loi qui prévalait. L’humanité n’a jamais cessé de chercher par différents moyens la vérité de l’univers. A part la science, pourquoi la religion, la croyance et la «cultivation» ne pourraient-elles pas être acceptées comme d’autres approches pour découvrir la vérité universelle?

2. Le PCC détruit la foi juste de l’humanité

Toutes les nations ont traditionnellement cru en Dieu. C’est précisément du fait de leur croyance en Dieu et en la causalité karmique du bien et du mal que les êtres humains se restreignent et maintiennent la moralité de la société. De tout temps et sur toute la terre, en Occident les religions orthodoxes, en Orient le confucianisme, le bouddhisme, le taoïsme, ont tous enseigné aux gens que le véritable bonheur vient de la croyance en Dieu, du fait de vénérer le ciel, d’être bienveillant, d’apprécier ce que l’on a, d’être reconnaissant vis à vis d’autrui et de récompenser la gentillesse par la gentillesse.

Une prémisse de base du communisme a été l’athéisme – la croyance qu’il n’y a pas de Bouddha, pas de Tao, pas de vies passées, pas de vie après la mort et pas de rétributions karmiques. C’est pourquoi, dans différents pays, les communistes ont dit aux pauvres et au lumpenprolétariat qu’ils n’ont pas besoin de croire en Dieu; pas besoin d’être responsables de ce qu’ils font et pas besoin de respecter les lois et de savoir bien se comporter. Au contraire, ils devraient utiliser la tromperie et la violence pour acquérir la richesse.

Dans la Chine ancienne, les empereurs, considérés comme des êtres d’une suprême noblesse, se plaçaient pourtant au-dessous du ciel, se nommant: fils du ciel. Contrôlés et restreints par «la volonté du ciel», ils proclamaient de temps en temps un édit impérial où ils se blâmaient eux-mêmes et exprimaient leur repentir à l’égard du ciel. Les communistes, pourtant, se croient les représentants de la volonté du ciel. N’étant restreints par aucune loi ni aucune règle, ils se sentent libres de faire tout ce qu’ils veulent. Le résultat est qu’au lieu d’avoir un «paradis sur terre», ils y ont créé un enfer après l’autre.

Marx, le père du communisme, croyait que la religion était l’opium spirituel du peuple. Il était effrayé à l’idée que le peuple croie en Dieu et refuse d’accepter son communisme. Le tout premier chapitre du livre d’Engels, Dialectique de la nature, contient une critique de Mendeleïev et de son groupe d’études sur le mysticisme.

Engels a déclaré que tout ce qui provenait de la période du Moyen Age ou qui lui était antérieur devait justifier son existence devant le tribunal de la rationalité humaine. Lorsqu’il a fait cette remarque, ils se voyaient être, lui et Marx, les juges d’un tel tribunal. Bakounine, anarchiste et ami de Marx, a fait sur Marx ce commentaire: «Il semblait être Dieu pour les gens. Il ne pouvait admettre personne d’autre que lui-même en tant que Dieu. Il voulait que les gens le vénèrent comme ils l’auraient fait envers Dieu, et lui rendent hommage comme à une idole. Si les gens n’agissaient pas ainsi, il les attaquait verbalement ou les persécutait».

La croyance traditionnelle orthodoxe constitue un obstacle naturel à l’arrogance du communisme.

Le PCC a complètement perdu son sang-froid en persécutant la religion de manière frénétique. Pendant la Révolution culturelle, de nombreux temples et des mosquées ont été détruits et les moines ont été promenés à travers les rues pour y être humiliés. Au Tibet, 90% des temples ont été endommagés. Encore aujourd’hui le PCC continue de réprimer la religion, il emprisonne des dizaines de milliers de chrétiens. Gong Pinmei, un prêtre catholique de Shanghai, a été persécuté par le PCC à cause de sa foi. Il a été emprisonné pendant plus de 30 ans. Il est venu aux Etats-Unis dans les années 80. Avant de mourir à l’âge de 90 ans, il a écrit dans son testament: «Ramenez ma tombe à Shanghai lorsque le PCC ne régnera plus en Chine». Durant les 30 ans où il a été enfermé dans une cellule d’isolement, à maintes reprises le PCC a fait pression sur lui pour qu’il renonce à sa foi et accepte le Comité patriotique des trois autonomies dirigé par le PCC en échange de sa libération.

Dans les dernières années, la répression du PCC à l’encontre du Falun Gong qui promeut les principes d’authenticité, de bienveillance et de tolérance a été un prolongement de sa doctrine de «lutter contre le ciel» tout autant que le résultat inévitable de forcer les gens à agir contre leur gré.

Les communistes athées cherchent à contrôler et endiguer la croyance des gens. Ils préconise «combattre le ciel, c’est un plaisir sans limite». Il n’y a pas de mots pour décrire leur absence de logique; la dépeindre comme de l’arrogance ou une prétention démesurée ne peut même pas rendre compte d’une fraction de celle-ci.

Conclusion

En pratique, le communisme a complètement échoué à travers le globe. Jiang Zemin, l’ancien dirigeant du dernier régime communiste d’importance dans le monde a dit à un correspondant du Washington Post en mars 2001: «Lorsque j’étais jeune, je croyais la victoire du communisme proche, mais maintenant je n’ai plus les mêmes perceptions». A présent, ceux qui croient au communisme sont peu nombreux et loin d’être majoritaires.

Le mouvement communiste est destiné à échouer parce qu’il viole les lois de l’univers et s’oppose au ciel. Une telle force qui s’élève contre l’univers finira par être punie par la volonté du ciel et les esprits divins.

Malgré le fait que le PCC ait survécu maintes fois aux crises en modifiant son visage et en s’accrochant désespérément à ses derniers stratagèmes, son destin funeste et inéluctable apparaît clairement à tous à travers le monde. Laissant tomber un à un ses masques trompeurs, le PCC révèle sa vraie nature qui est avarice, brutalité, absence de scrupules, lâcheté, haine et opposition à l’univers. Jusqu’à ce jour, il continue de contrôler la pensée des gens, de déformer l’éthique humaine, il fait des ravages dans la moralité humaine, la paix et le progrès.

Le vaste univers porte en lui la volonté irréfutable du ciel, qui peut aussi être appelée la volonté divine ou la loi et la force de la nature. L’humanité aura un avenir seulement si elle respecte la volonté du ciel, suit la voie de la nature, se conforme à la loi de l’univers et aime tous les êtres sous le ciel.

Notes

1. Lao Tseu, La Voie et sa vertu, Tao-tê-king, traduction de François Houang et Pierre Leyris, Editions du Seuil, coll. Points Sagesses, Paris, 1979, p. 69.

2. Ibid.

3. Traduction libre d’après l’ouvrage en version chinoise: MENCIUS, Mencius, Shandong friendship publishing house, Chine, 2001.

4. San Zi Jing, Le Livre des Trois Caractères, traduction de Deverge, http://afpc.asso.fr, juin 2005.

5. Traduction libre d’après l’ouvrage en version chinoise: MENCIUS, Mencius, Shandong friendship publishing house, Chine, 2001

6. Karl MARX, Contribution à la critique de La philosophie du droit de Hegel, traduction de Jules Molitor, Editions Allia, s.l., 1998.

7. Léon Trotsky (1879-1940), théoricien russe du communisme, historien et chef militaire qui a fondé l’Armée rouge. Il a été assassiné le 22 août 1940 à Mexico City par des agents de Staline.

8. D’après Zhu Xi ou Chu Hsi (1130-1200), aussi connu sous le nom de Zhu-zi ou Chu-tzu, érudit néo-confucéen de la dynastie Song, la petite étude (xiao xue) traite du bon comportement à avoir et la grande étude (da xue) développe les principes qui sous-tendent ces comportements. Source: Conversations de Maître Zhu (Zhu Zi Yu Lei), Volume 7 (1er Enseignement).

9. Lin Biao (1907-1971), l’un des hauts dirigeants du PCC. Il a servi sous Mao Tse Toung en tant que membre du Politburo chinois, en tant que vice-président (1958) et ministre de la Défense (1959). Lin est considéré comme l’architecte de la grande Révolution culturelle de la Chine. Lin a été désigné comme successeur de Mao en 1966, mais il est tombé en disgrâce en 1970. Pressentant sa chute, Lin se serait impliqué dans un coup d’Etat et a essayé de fuir vers l’URSS une fois le complot démasqué. Lors de sa tentative pour échapper aux poursuites judiciaires, son avion s’est écrasé en Mongolie, provoquant sa mort.

10. Mao Tse-Tong, Mao Tse-Toung, sur la littérature et l’art, Editions en langue étrangère, Pékin, 1967, p.8.

11. Maladie qui est provoquée par des vers parasites. On peut en être infecté au contact de l’eau courante contaminée. Les symptômes typiques sont entre autres, la fièvre, des frissons, des quintes de toux et des douleurs musculaires. Dans les cas plus sérieux, la maladie peut affecter le foie, les intestins, les poumons et la vessie, voire en de rares occasions provoquer des crises d’épilepsie, la paralysie ou l’inflammation de la moelle épinière.

12. Lao Tseu, La Voie et sa vertu, Tao-tê-king, Éditions du Seuil, coll. Points Sagesses, Paris, 1979, p. 23.

13. Jin, unité de mesure chinoise pour le poids (1 jin = 0,5 kg). Mu, unité de mesure chinoise qui sert à mesurer la surface des terres (1 mu = 0,165 acres).

14. Taduction libre d’après le texte original en chinois.

15. The Complete I Ching, traduit par Alfred Huang. Rochester, VT: Inner Traditions (1998).

16. La sainte Bible, Matthieu, 22:21.

17. La traduction du terme originel chinois «xiu» devrait être culture, cultiver ou tailler, il évoque par la richesse d’une image que la pratique d’une voie et le développement intérieur sont comparables au travail d’un jardinier. Pour éviter la confusion à laquelle peut induire le mot «culture» nous avons décidé d’adopter l’anglicisme ‘cultivation’.

18. lumpenprolétariat, traduit grossièrement par les travailleurs des bas quartiers, le terme désigne la classe des parias, des dégénérés ou des clandestins qui forment une partie de la population des centres industriels. Cela inclut les mendiants, les prostituées, les gangsters, les raquetteurs, les escrocs, les petits criminels, les clochards, les chômeurs chroniques ou permanents, les personnes licenciées des industries ou toutes sortes de personnes ayant un statut de déclassés. Le terme a été inventé par Marx dans Les luttes de classes en France, 1848-1850.

19. Comité patriotique des trois autonomies (CPTA), création du PCC. Les «trois autonomies» se réfèrent à «autogestion, autonomie des ressources et auto-propagation». Le Comité patriotique des «trois autonomies» requiert des chrétiens chinois qu’ils rompent les liens avec les chrétiens en dehors de la Chine. Le CPTA contrôle tous les fonctionnaires des églises en Chine. Les églises qui n’ont pas rejoint ce Mouvement ont été fermées de force. Les dirigeants et partisans des églises indépendantes sont persécutés et souvent condamnés à des peines de prison.

20. John POMFRET. «Jiang has caution for U.S. – China’s leader says Taiwan arms deal would spur buildup», Washington Post, 24 mars 2001. (Traduction libre)

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