Une femme prétend que l’aspartame l’a rendue malade pendant des années

18 février 2019 16:26 Mis à jour: 10 juillet 2019 11:43

Dans l’espoir de sauver d’autres vies, la blogueuse Rhonda Gessner a raconté une histoire incroyable sur la façon dont une femme « mourante » a réussi à récupérer.

Il y a quatorze ans, cette dame est tombée très malade. Elle a commencé à souffrir de spasmes intenses à l’estomac et d’autres douleurs atroces, la marche devenant même « une corvée ».

Moins d’un an plus tard, la femme avait subi plusieurs examens et avait effectué de nombreuses visites médicales. Elle prenait 24 médicaments prescrits, mais les médecins ne savaient pas ce qui n’allait pas.

« Elle savait juste qu’elle allait mourir. »

C’est alors qu’elle a commencé à faire des projets, comme mettre tous ses biens au nom de sa fille aînée. Elle a également prévu une « dernière fête » le 22 mars.

Trois jours avant sa fête officielle, de nouveaux résultats d’examens sont arrivés qui ont amené le médecin à lui diagnostiquer une sclérose en plaques. Rhonda a appelé sa sœur, et c’est là que sa sœur s’est souvenue d’un article qu’elle avait lu.

Elle lui a alors demandé si elle buvait du soda light. Il s’avère que Rhonda était sur le point d’en ouvrir une canette à ce moment.

L’aspartame se trouve dans de nombreux sodas et boissons diététiques et est approuvé par les autorités nationales et internationales de la santé, mais il peut avoir certains effets néfastes sur la santé.

MDHealth note que que le corps absorbe l’aspartame qui est un « édulcorant artificiel commun mais dangereux », celui-ci s’accumule dans le corps et provoque de graves problèmes de santé. Les symptômes comprennent l’essoufflement, une tension artérielle élevée et des douleurs abdominales.

« L’empoisonnement à l’aspartame peut être grave et même mettre la vie en danger », ajoute le site.

Les problèmes de santé ont incité Pepsi à abandonner l’aspartame dans sa dernière édition de soda light.

Après que la sœur de la femme l’a informée des faits, la femme a cessé de boire du soda light. Elle a commencé à se sentir mieux et est retournée voir un médecin pour lui expliquer ce qu’elle pensait au sujet de son historique de santé.

En partant, il ne lui restait plus qu’un seul médicament pour l’empoisonnement à l’aspartame.

Nouvelle étude sur les boissons diététiques

Selon une nouvelle étude de l’association américaine de cardiologie et de l’association américaine des accidents vasculaires cérébraux, boire deux ou plusieurs boissons diététiques par jour a été associé à un risque élevé d’accident vasculaire cérébral lié à des caillots de sang, de crise cardiaque et de décès précoce chez les femmes de 50 ans et plus.

Les risques seraient plus élevés chez les femmes sans antécédents de maladie cardiaque ou de diabète, les femmes obèses ou les femmes afro-américaines, a déclaré l’étude, comme l’a rapporté CNN.

Des recherches ont démontré un lien entre la consommation de boissons artificiellement sucrées et les accidents vasculaires cérébraux, la maladie d’Alzheimer, le diabète de type 2, l’obésité et une foule d’autres problèmes de santé.

L’étude a été publiée dans la revue Stroke.

« Une consommation accrue de [boissons artificiellement sucrées] était associée à un risque plus important d’accident vasculaire cérébral, en particulier le sous-type d’occlusion des petites artères, les maladies coronariennes et la mortalité toutes causes confondues », ont conclu les chercheurs. « Bien qu’elles doivent être reconduites, ces nouvelles découvertes s’ajoutent à l’association potentiellement nocive de la consommation de grandes quantités de boissons [artificiellement sucrées] avec ces effets sur la santé. »

Les femmes âgées de 50 à 79 ans sont 23 % plus susceptibles d’avoir un AVC si elles boivent des boissons allégées que si elles ne le font pas, selon l’étude, a rapporté UPI (en anglais).

Par ailleurs, les femmes ménopausées qui boivent régulièrement des boissons light sont 31 % plus susceptibles d’avoir un AVC causé par un caillot, selon l’étude.

Ces mêmes femmes sont également 29 % plus susceptibles d’avoir une maladie cardiaque et 16 % plus susceptibles de mourir d’une autre cause, a-t-on noté.

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