Le Dr Daniel Nagase a utilisé un microscope électronique à balayage pour analyser les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna qui ont été exposés à la température ambiante pendant des semaines ou des mois. Il a trouvé des corps étranges qui, selon plusieurs médecins interrogés par Epoch Times, ne devraient pas se trouver dans les flacons, même après dégradation.
Le Dr Nagase a pris des photos de cristaux, de sphères, de fibres et, plus frappant encore : « des rectangles et des pyramides inversées. »
Une des images montre une « structure cristalline hexagonale, sur laquelle se trouve une structure rectangulaire à quatre côtés avec des points régulièrement espacés sous la forme d’une grille. »
« Les structures à quatre côtés sur le dessus de structures à six côtés ne se produisent pas naturellement », a déclaré le Dr Nagase à Epoch Times, « les marques de grille non plus ».
Un biologiste moléculaire/virologue qui a examiné les conclusions du Dr Nagase a déclaré à Epoch Times sous couvert d’anonymat que les résultats de la microscopie électronique à balayage « dévoilaient un contenu inattendu ».
« Le plus remarquable est une forme rectangulaire distincte composée principalement de carbone et d’oxygène », a déclaré le scientifique pour Epoch Times.

« Cette forme est incompatible avec les caractéristiques morphologiques connues des composants du vaccin et de la matière biologique. Une étude plus approfondie de la composition du vaccin est pertinente et une vérification indépendante dans des conditions contrôlées est nécessaire de toute urgence. »
Pas d’azote, pas de phosphore dans le premier lot
La principale préoccupation du Dr Nagase est que les vaccins sont composés « uniquement de carbone et d’oxygène ».
Selon lui, les produits biologiques tels que l’ARN présenteraient des signes d’azote et de phosphore, mais son premier lot (de mars) de scans microscopiques de flacons Pfizer et Moderna n’a montré aucun de ces éléments sur sa machine.
Le lot du mois d’août a détecté du phosphore, « indiquant la présence d’ADN ou d’ARN dans l’échantillon ».
Son microscope électronique à balayage a toujours été capable de détecter l’azote – et l’a détecté – dans d’autres recherches, présentées à Epoch Times.
Il n’a pas voulu révéler la marque de l’appareil, car « cela pourrait permettre d’identifier la machine ».
Le Dr Nagase est un urgentiste canadien qui exerce depuis 2008. Il a étudié la physiologie et la biologie cellulaire à l’université McGill et a également fréquenté la faculté de médecine de l’université Dalhousie.
Le type de microscope [microscope électronique à transmission] qu’il utilise projette un faisceau d’électrons à travers des lentilles électromagnétiques et concentre le faisceau vers l’objet à analyser. Au contact avec l’objet, le faisceau est déformé selon la forme de l’objet. Il en « imprime » alors les contours. Le faisceau est alors agrandi par d’autres lentilles et l’image de l’objet étudié apparaît.
Il a effectué deux séries d’analyses sur les vaccins à ARNm. La dernière a été effectuée il y a environ quatre mois, et la nouvelle a été réalisée en août. Il a envoyé à Epoch Times une nouvelle image de sa récente analyse (la pyramide inversée en une), et il est actuellement en train d’examiner plusieurs gigaoctets de données provenant du nouveau lot de scans.
Le Dr Nagase a précisé que les deux lots provenaient de « différentes villes » de l’Ouest canadien.
Les nouvelles images sont « très similaires » à la première analyse, affirme‑t‑il.
Le Dr Nagase a trouvé « des structures de carbone/oxygène sous la forme de cristaux, de sphères, de fibres, de rectangles et de pyramides inversées » dans sa première analyse.
Le Dr Nagase « n’a pas vu de sphères ou de fibres de carbone » lors de la seconde analyse.

Les flacons Pfizer qu’il a obtenus pour l’analyse de mars ont été conservés à température ambiante pendant environ 2 mois, et les flacons Moderna pendant environ 1 mois.
Les flacons utilisés pour l’analyse d’août ont été conservés à température ambiante pendant environ deux semaines.
Éléments, température et temps
Le Dr Lisa Morici, a déclaré sur Health.com en décembre 2020 que « l’ARNm se dégrade rapidement. Il y a aussi des enzymes dans l’environnement et tout autour de nous qui dégradent l’ARNm », ce qui explique pourquoi les vaccins doivent être congelés si profondément.
Le Dr Michael Palmer, microbiologiste, explique pour Epoch Times : « [Les échantillons de vaccins] se sont dégradés pendant environ 2 mois à l’état liquide… Nous ne savons pas si une des formes étranges observées dans ces échantillons était réellement présente dans le matériau natif. »
« Beaucoup de choses peuvent se passer pendant ce laps de temps, et nous ne savons pas si une des formes étranges qui ont été observées dans ces échantillons étaient vraiment présentes dans le matériau natif. »
Il reconnaît toutefois que l’absence totale de phosphore et d’azote dans les spectres de rayons X est « potentiellement importante ».
« L’ARNm et les nanoparticules lipidiques devraient contenir ces deux éléments, et quelle que soit la dégradation chimique qui aurait pu se produire dans les composés chimiques contenus pendant ces deux mois, les éléments chimiques dont ces composés étaient constitués auraient été préservés. »

« Nous aurions toutefois besoin de savoir exactement quelles étapes ont été suivies dans la préparation de ces échantillons pour la microscopie électronique. Se pourrait‑il que les lipides et l’ARNm, ou leurs produits de dégradation, aient été éliminés en étant nettoyés, et que seules les formes étranges sont restées ? De plus, tous les spectres ont été obtenus à partir des formes étranges, et aucun à partir de ce qu’il y a entre elles. Ainsi, sur la base des informations limitées contenues dans la vidéo, je ne considère pas que l’absence d’ARNm et de nanoparticules lipidiques ait été prouvée de manière concluante », a conclu le Dr Palmer.
Un autre microbiologiste, le Dr Sucharit Bhakdi (retraité), rejoint « partiellement mais pas totalement » d’accord avec le point de vue du Dr Palmer.
C’est à cause du « ‘monopole’ du carbone et de l’oxygène dans toutes les analyses », a souligné le Dr Bhakdi.
« Cela rejoint ce qui a été dit sur les ‘lots vides’ », a‑t‑il déclaré.
Selon certaines allégations il y avait des « mauvais lot » et des « lots vides » de flacons de vaccins, et ceux‑ci contenaient des substances différentes.

Les Drs Palmer et Bhakdi ont récemment publié une étude sur la détection de l’expression de la protéine spike après 9 mois, ainsi que sur l’inflammation de différents organes due à une réponse auto‑immune.
« Bien que le Dr Nagase n’ait pas eu d’échantillons frais, ce qu’il a trouvé est cohérent avec ce que tous les autres ont trouvé lorsqu’ils avaient des échantillons frais. Donc, bien que nous ne puissions pas dire ce que sont ces choses, nous savons qu’elles montrent au minimum un processus de production lamentable », a déclaré Sasha Latypova, un ancien cadre pharmaceutique, suivant les échanges par mail des Drs Palmer et Bhakdi.
Sur la question de la température, le Dr Nagase a déclaré : « L’intérêt d’examiner des flacons non réfrigérés est de voir ce que fait le vaccin dans des conditions plus conformes à celles du corps humain. »
Il pense que « la température de réfrigération n’a pas de sens ».
« Une température négative de 40°C n’est pas une température biologique. Le stockage de l’ADN/ARN pendant plusieurs mois ne nécessite que ‑20°C. Les dates de péremption des vaccins à ARNm sont toutes de 6 mois ou moins (d’après ce que j’ai vu en estimant [sur la base] de la date de fabrication) », a‑t‑il ajouté.
Débat scientifique
Un microscopiste électronique/chercheur de Yale, récemment retraité, qui s’est entretenu avec Epoch Times, a rejeté les conclusions du Dr Nagase, affirmant que les vaccins ayant été stockés dans des conditions non optimales, il n’y avait « aucun protocole » pour cette recherche.
« Il n’existe aucun protocole scientifique valide pour analyser le contenu des vaccins à l’aide de ces méthodes. En outre, la préparation des échantillons pour la microscopie électronique se prête malheureusement à l’introduction d’artefacts (dommages à l’intégrité de l’échantillon causés par de mauvaises techniques de préparation) qui sont souvent mal interprétés sous un très fort grossissement », a déclaré le scientifique sous couvert d’anonymat.
Le Dr Nagase a réfuté en ces termes : « Le but d’un doctorat est d’écrire un document de recherche prouvant qu’on est en mesure de créer un processus de réflexion analytique dans le but d’aborder et répondre à une inconnue. Un comité de thèse digne de ce nom évaluerait donc la capacité d’un étudiant à créer un protocole pour répondre à une question pour laquelle il n’existe aucun protocole établi. Le facteur critique pour déterminer si un étudiant a un ‘doctorat’ est la capacité de synthèse des connaissances. Créer des connaissances là où il n’y en avait pas auparavant. »

L’ancien microscopiste électronique a en outre remis en question les travaux du Dr Nagase : « Par exemple, le Dr Nagase voit quelque chose qui ressemble à une micro‑puce – si vous agrandissez quelque chose des centaines de milliers de fois, il est difficile d’interpréter ce que vous regardez. C’est un peu comme regarder une tache d’encre, car beaucoup de gens ont des interprétations différentes. Certaines personnes voient un oiseau, d’autres un arbre. »
Ce à quoi le Dr Nagase répond : « Les photos des puces ont un grossissement de 1000 à 2000 fois. C’est écrit sur la photo. Un microscope électronique à balayage ne peut pas aller dans les ‘centaines de milliers’. C’est le domaine du microscope électronique à transmission, et s’il avait la moindre expérience de la microscopie électronique, il serait capable de dire, d’après la nature de l’image, s’il s’agit d’un microscope électronique à balayage ou à transmission. »
Le scientifique a également remis en question la chaîne de contrôle du Dr Nagase, affirmant que les images ne proviennent pas des vaccins puisqu’elles n’ont aucun contenu biologique.
« J’ai la chaîne de contrôle, de la source du département provincial de la santé des échantillons », répond le Dr Nagase.
Autres médecins
Le Dr Sherri Tenpeny met en garde contre les dangers des vaccins depuis environ 30 ans.
« Le Dr Nagase s’ajoute à une série d’enquêteurs qui ont découvert un contenu inhabituel à l’intérieur d’un flacon de vaccin censé être fabriqué dans des conditions stériles », déclare‑t‑elle pour Epoch Times.
« Des chercheurs d’Espagne, du Royaume‑Uni, d’Allemagne, du Japon et du Brésil qui ont examiné de multiples solutions vaccinales sous un microscope de différents grossissements ont tous trouvé des particules qui ne devraient se trouver dans aucun vaccin », ajoute‑t‑elle.

Il existe de nombreux articles pour réfuter leurs conclusions, précise‑t‑elle.
« Ce qui signifie bien sûr qu’ils sont en plein dans la cible. »
« Peu importe comment elles sont identifiées, elle ne devrait pas être injectée dans le corps. Des particules telles que celle‑ci sont très probablement à l’origine de nombreux effets secondaires attribués aux injections. »
« Condition sine qua non pour une origine biologique »
Le Dr James Thorp déclare que ces ajouts dans les flacons sont « bizarres » et ne peuvent être « définis pour de bon ».
« Je trouve en effet très particulier que dans toutes les zones examinées la microscopie électronique montre qu’aucun des contenus n’est d’origine biologique. Les examens au microscope électronique n’ont révélé aucun élément d’azote ou de phosphore. L’azote et le phosphore sont des conditions sine qua non pour une origine biologique », explique le Dr Thorp à Epoch Times.
« Je ne m’attendrais pas à ce que l’échantillon de vaccin resté à température ambiante pendant plusieurs semaines soit négatif pour ces deux éléments qui définissent une source biologique. Bien sûr, l’ADN ou l’ARN se décomposerait, mais en tant qu’étudiant en chimie, je ne m’attendrais pas à l’élimination complète de l’azote et du phosphore de ces anciens échantillons. »
Le Dr Janci Lindsay, toxicologue et biologiste moléculaire, déclare pour Epoch Times : « Les travaux du Dr Nagase ne doivent pas être mis de côté. Nous devons tenir compte du fait que d’autres personnes ont trouvé des éléments ‘contaminants’ similaires dans les flacons. Ceci devrait nous inciter à prendre des mesures immédiates pour déterminer la nature de la ‘contamination’. »
« En attendant, le programme d’inoculation devrait être interrompu. Ce serait la réponse logique si les gouvernements du monde entier étaient réellement intéressés par la santé et la sécurité de leurs citoyens. Le fait de ne pas le faire en dit long sur la véritable intention de ce programme », ajoute‑t‑elle.


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