James Corden en larmes alors que Paul McCartney dévoile l’histoire incroyable derrière «Let it Be»

Par Robert Jay Watson
21 juillet 2019 20:00 Mis à jour: 27 août 2019 17:44

Pendant des générations et des générations, les chansons des Beatles ont procuré rire, joie et consolation aux mélomanes et au grand public, à mesure qu’elles grandissaient et passaient.

Des paroles émouvantes de « Blackbird, » « Blackbird singing in the dead of night/Take these broken wings and learn to fly, » (« Blackbird », « Un merle chantant en pleine nuit / Prends ces ailes brisées et apprends à voler »), à l’ode touchante au fils de John Lennon dans « Hey Jude, don’t make it bad/Take a sad song and make it better, »(« Hey Jude », « Hey Jude, ne fais pas ça, c’est mal mal / Prends une chanson triste et améliore-la »), plusieurs des moments les plus émouvants du groupe à succès sont ceux du chansonnier et chanteur Paul McCartney.

Le génie de McCartney pour créer des chansons chaleureuses et sincères qui entraînent les auditeurs dans un voyage émotionnel est sans pareil, et même aujourd’hui, plus de 50 ans plus tard, elles sonnent toujours vrai.

1962: l’auteur-compositeur-interprète Paul McCartney des Beatles. (© Getty Images)Keystone/Getty Images)

L’an dernier, McCartney a fait un voyage de retour dans le passé à Liverpool, la ville natale des Beatles (s’arrêtant à Penny Lane, bien sûr), avec James Corden pour un épisode de Carpool Karaoke. Les deux ont revisité la célèbre rue tout en écoutant la chanson, et McCartney a même chanté quelques-unes des premières chansons qu’il a écrites quand il n’avait que 14 ans, dont une intitulée « I Lost My Little Girl ».

Les deux se sont même arrêtés pour ajouter la signature de Paul McCartney à l’enseigne de la rue Penny Lane, très prisée, avec un marqueur. Ensuite, ils ont pris un selfie ensemble avec le nom de la rue derrière eux. Un James Corden ébloui, a été visiblement subjugué en visitant ce lieu historique avec la personne qui l’a rendu célèbre dans le monde entier.

L’humoriste et animateur du Late Late Late Show a plaisanté : « Quelqu’un va arriver et dire: ‘Ce n’est pas lui’. Ils ne le croiront jamais ! » Les deux hommes ont visité une série d’entreprises locales dans la rue, enchantant les résidents et les propriétaires de magasins. Ils se sont arrêtés au Penny Lane Barber Shop pour une coupe de cheveux, en écho aux paroles de la chanson.

« Dans Penny Lane, il y a un coiffeur qui montre des photos de chaque tête qu’il a eu le plaisir de connaître. Et toutes les personnes qui vont et viennent,  s’arrêtent et disent hello. »

Mais c’est lorsque les deux ont parlé et chanté l’incroyable ballade de McCartney « Let It Be » que les larmes ont commencé à couler. D’abord, c’était au tour de Paul de se rappeler l’une de ses plus grandes sources d’inspiration, sa mère Mary McCartney. « J’ai fait un rêve dans les années 60, explique Paul, où ma mère décédée [en 1956] est venue me voir dans le rêve, me rassurant et me disant : ‘il faut juste laisser faire.' »

Pour Paul, le don de ces paroles positives de sa mère a aidé sa musique à en inspirer tant d’autres. « When I find myself in times of trouble/Mother Mary comes to me/Speaking words of wisdom/’Let it be. » (« Quand je me retrouve dans les temps difficiles/Ma mère Marie vient à moi/Parler de sagesse/’ Laisse les choses se faire’. »)

Pendant que les deux chanteurs chantaient la chanson incroyablement touchante, James Corden a commencé à pleurer en se souvenant de la façon dont on lui avait présenté cette chanson. « Je me souviens de mon grand-père, musicien, et de mon père qui me disait : ‘On va te jouer la meilleure chanson que tu aies jamais entendue.' »

Lorsqu’il a dit à quel point son grand-père aurait aimé être dans la voiture, Paul a simplement répondu : « Il l’est. »

Comme l’a dit McCartney, « C’est le pouvoir de la musique. C’est bizarre, n’est-ce pas, comment ça peut te faire ça ? » Pour terminer l’émission, les deux hommes se sont retrouvés dans un pub de Liverpool, où ils ont présenté un spectacle impromptu qui a ravi et enthousiasmé le public.

Le duo final de « Hey Jude », avec James Corden et Paul McCartney haranguant la foule dans une interprétation palpitante, a fait chanter les gens à tue-tête et s’embrasser les uns les autres.

Le pouvoir de la musique est bien vivant !

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