Le cancer expliqué autrement : ce que la médecine ignore ou refuse de dire, selon le Dr Paul Marik
Dans cet entretien, le Dr Paul Marik, ancien professeur de médecine et spécialiste des soins intensifs, propose un regard critique sur les fondements de l’oncologie moderne, largement structurée autour de la chimiothérapie. Il plaide pour une refondation de notre manière d’appréhender cette maladie complexe, estimant que notre compréhension actuelle reste trop rigide, trop parcellaire, et parfois conditionnée par des logiques économiques. Au cœur de sa réflexion : la cellule souche cancéreuse. Marik explique que ces cellules, souvent à l’origine des récidives, échappent aux traitements conventionnels, tandis que la chimiothérapie, sans éradiquer le mal à sa racine, affaiblit le système immunitaire et s’attaque aux cellules les plus vulnérables sans toujours atteindre les véritables moteurs de la maladie. Pour le médecin, il ne s’agit pas ici de rejeter la médecine classique, mais d’en interroger les angles morts avec rigueur. Aussi évoque-t-il des molécules marginalisées, mais soutenues, selon lui, par une littérature scientifique existante et solide : curcuma, thé vert, vitamine D, ivermectine… Substances discrètes, parfois décriées, mais dotées de propriétés biologiques qui, dit-il, mériteraient d’être examinées sans a priori, à l’aune des données, non des réflexes. Un appel à penser, pas contre, mais au-delà.