Plus de 20 photos du Tibet AVANT et APRÈS l’invasion, on dirait deux mondes complètement différents

10 août 2018 08:00 Mis à jour: 5 avril 2019 19:51

Au nom de la « libération » du Tibet, le Parti communiste chinois a complètement dévasté le pays des neiges, autrefois paisible, tuant les moines en masse et réduisant les sites religieux sacrés en ruines. Selon Comment le Spectre du Communisme Gouverne notre Monde (How the specter of Communism is Ruling our World), « sur les 2 700 temples qui existaient à l’origine au Tibet, il n’en est resté que 8 ».

Non seulement les Tibétains se sentent incomplets sans leur chef spirituel qui est maintenant en exil, mais l’inondation stratégique du peuple Han à Lhassa organisée par le régime, pour le motif de « soutenir le développement de la région », change toute la composition de ce Shangri-La autrefois isolé du reste du monde. Les Tibétains deviennent une minorité dans leur propre pays et la culture tibétaine est engloutie.

Nous avons ici une collection d’images du Tibet avant et après l’occupation chinoise :

thank you this beautiful photo, Markham GapoTsang Dakpa

Posted by TIBET on Wednesday, September 17, 2014

AVANT :
Des images rares de la période précédant l’invasion.
©YouTube Screenshot | BBC
Vêtements de cérémonie tibétains faits à la main
©YouTube Screenshot | BBC
Le Dalai Lama (ou Océan de Sagesse) est un leader à la fois spirituel et laïque.
©YouTube Screenshot | BBC
Ces petits moines voient probablement une caméra pour la première fois de leur vie
©YouTube Screenshot | BBC
Thubten Gyatso, le 13e Dalai Lama, a déclaré l’indépendance du Tibet en 1913 par proclamation écrite
©Free Tibet
Un défilé militaire en 1938.
Le drapeau tibétain est strictement interdit au Tibet aujourd’hui,
mais c’était un spectacle bienvenu avant l’invasion communiste.
©FreeTibet
Le 14ème Dalaï Lama (actuel) lors de sa cérémonie d’intronisation le 22 février 1940 à Lhassa.
©Wikipedia
Les cérémonies traditionnelles, bien que presque toutes interdites par le régime chinois aujourd’hui,
faisaient autrefois partie intégrante de la vie tibétaine.
©YouTube Screenshot | BBC
©YouTube Screenshot | BBC
Femme tibétaine portant un ensemble élaboré de bijoux précieux.
©YouTube Screenshot | Office of Strategic Services
Ces superbes jeunes filles sont un peu timides, elles essaient de garder leur sérieux.
©YouTube Screenshot | Office of Strategic Services
Des vêtements traditionnels
©YouTube Screenshot | BBC
« Sa Sainteté » ne doit plus être vue dans sa patrie.
Les photos de lui sont jugées illégales par le régime chinois.
©OHHDL
Une carte militaire américaine de 1941 montrant le Tibet en tant que pays.
©Tibettruth
APRÈS : L’idéologie communiste est opposée à toutes les religions.
©Wikipedia | John Hill
En 2008, la répression militaire à Ngaba a vu l’arrestation de nombreux moines.
©Wikipedia | SFT HQ (Students for a Free Tibet)
Des moines malmenés par la police chinoise.
Les pancartes qu’ils portent sur eux les étiquettent comme « séparatistes ».
©Wikipedia | SFT HQ (Students for a Free Tibet)
La ligne des drapeaux rouge sang du parti communiste implanté tout le long du Barkhor,
le parcours de dévotion le plus populaire pour les pèlerins et les habitants de Lhassa.
©Getty Images | Steve Allen
Mao voulait détruire le Palais du Potala, l’ancienne résidence du Dalaï Lama, afin d’écraser l’esprit du peuple tibétain. Il en a décidé autrement, sachant qu’il pourrait être utilisé pour faire de l’argent en tant que destination touristique. Encore une fois, le drapeau rouge sang bien en évidence du régime chinois est un rappel constant de qui est le patron ici.
©Getty Images | JOHANNES EISELE
Les monastères et la présence de patrouilles d’agents de sécurité chinois ne sont pas rares à Lhassa de nos jours.
©Getty Images | Robert Nickelsberg – Officers of Chinese People’s Liberation Army (PLA) strolling past Jokhang Temple, w. pious making obeisance outside, in Barkhor section of Lhasa, Tibet.
Le monastère de Ganden a été détruit par l’Armée populaire de libération en 1959.
Il fut considéré comme l’un des « trois grands » monastères universitaires Gelug du Tibet, avant d’être réduit en ruines.
©Wikipedia | Tashi0
Cette photo, prise en 1958, représente une scène courante de l’époque.

Mao a forcé les Tibétains à le déifier, comme ici au monastère de Ramoche.

Malheureusement, le Tibet n’avait aucune chance…

Mao a d’abord assuré la destruction des 5 000 ans de culture traditionnelle chinoise pendant la Grande Révolution culturelle,
puis il s’est tourné vers le Tibet…

Des amendes s’appliquent aux Tibétains qui refusent de chanter des chansons faisant l’éloge de la dictature chinoise.

Jun 19: Songs of PraiseA new loyalty campaign has been launched in the formerly independent Himalayan region of Tibet,…

Posted by Contact News on Monday, June 18, 2018

Lhassa est l’une des villes les plus surveillées sous l’occupation chinoise.
©Getty Images | China Photos

Le gouvernement tibétain en exil affirme que plus d’un million de Tibétains sont morts de causes non naturelles, conséquence directe de l’occupation chinoise.

Selon des chercheurs indépendants, le Parti communiste chinois cible les Tibétains et les Ouïghours pour le prélèvement d’organes à vif, bien que les pratiquants de Falun Gong restent les premières cibles en raison de la bonne santé de leurs organes.

Pour en savoir plus sur le prélèvement forcé d’organes, voir la vidéo, en anglais, ci-dessous :

Regardez la vidéo sur la situation difficile actuelle du Tibet, en anglais, ici :

Si cet article vous a inspiré, n’hésitez pas à le partager !

VIDÉO RECOMMANDÉE :

Un docteur témoigne de l’horreur des prélèvements d’organes forcés en Chine

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.