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[Vidéo] Un journaliste de TF1 affronte une tempête de grêle juste avant son direct devant le port de Cherbourg

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Photo: MIGUEL RIOPA/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 3 Min.

Le journaliste Guillaume Thorel s’est retrouvé en pleine tempête de grêle juste avant de prendre l’antenne au journal télévisé de 13 h ce jeudi 11 mars sur TF1. L’événement climatique l’a pris par surprise, mais il a gardé le sourire et sa bonne humeur. Le soleil est revenu juste à temps sur le port de Cherbourg où il se trouvait.
C’est la Presse de la Manche qui a repéré cette histoire insolite. Les téléspectateurs n’auraient probablement jamais su ce qui s’était passé quelques instants avant d’entendre les paroles de Guillaume Thorel au journal de 13 h. Tout sourire devant une mer calme et sous un rayon de soleil, personne ne pouvait se douter de ce que venait de traverser le journaliste.
Cependant, son collègue, le journaliste reporter d’images et monteur Antoine Santos a dévoilé sur les réseaux sociaux une vidéo montrant une scène qui s’est déroulée seulement quatre minutes avant la prise d’antenne en direct.

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La Ville de Cherbourg-en-Cotentin a profité du Tweet pour réagir avec humour, dénonçant une « fake news » : « On voit tout à fait que le port en fond est une photo. Et que c’est un tuyau d’arrosage et un gros ventilo qui reconstituent une tempête. Vous rejoignez les nombreux médias soudoyés par les offices de tourisme de régions qui envient notre douceur climatique », a-t-elle indiqué sur son compte Twitter.

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Antoine Santos a répliqué avec une photo de Guillaume Thorel tout sourire devant le même paysage, ensoleillé cette fois-ci, indiquant : « Ni vu ni connu… Le soleil revient quatre minutes après. » Ce à quoi la Ville de Cherbourg-en-Cotentin a répondu à son tour : « Merci d’avoir rétabli la vérité. Entre nous, c’est le charme du Cotentin : toutes les saisons en une seule journée. On ne s’ennuie jamais. »
D’autres internautes ont de leur côté ri en critiquant le parapluie pliable du journaliste, qui n’était manifestement pas fait pour affronter une telle tempête. Plusieurs d’entre eux ont suggéré à Guillaume Thorel de plutôt s’équiper d’un véritable parapluie de Cherbourg, de la marque haut de gamme du même nom, symbole du Made in France.