PARIS – En cette veille de commémoration des 80 ans de l’armistice 1945, le Palais des Congrès a eu le privilège de recevoir Shen Yun pour la fin de sa tournée 2025.
Bruno Chambrillon dirige l’agence Hermès Communication depuis plus de 30 ans. Ce spécialiste de la communication en entreprises et en collectivités est venu vivre l’expérience de Shen Yun ce mercredi 7 mai.
« J’ai beaucoup aimé le spectacle ! C’est fascinant et politiquement intéressant », s’est enthousiasmé le chef d’entreprise. « C’est d’une précision absolue, des danses magnifiques et tout ce qu’on peut penser de la Chine et de la qualité de gymnastique et de danse ! »
Shen Yun signifie « la beauté des êtres divins qui dansent ». La compagnie présente la véritable culture traditionnelle chinoise de 5000 ans d’histoire, léguée par les divinités aux anciens Chinois. Autrefois, la Chine était d’ailleurs dénommée la « Terre du Divin ».
Pour M. Chambrillon, la technologie de Shen Yun est inspirante et renforce cette connexion au divin : « L’alliance du spectacle sur scène et les images derrière, la connexion qu’il y a eu en permanence était de grande qualité et permettait de se projeter effectivement dans les cieux et dans le divin ».
Cette spiritualité présente au sein des tableaux dansés et chantés de Shen Yun, est « très importante », estime ce spécialiste de la communication. « Nous, en France, nous sommes très sensibles au lien qu’il y a avec la religion, parce que nous sommes dans un pays de tradition religieuse ».
Pour Bruno Chambrillon, Shen Yun « peut ouvrir l’esprit de beaucoup de gens et permettre une autre approche de la Chine notamment, et du monde artistique chinois qu’on ne voit pas toujours de cette façon ».

« On retrace pas mal l’historique de la Chine et on apprend beaucoup »
Faire revivre le cirque Pinder, tel est l’objectif d’Alexandre Edelstein. Après sept ans d’absence suite à une liquidation judiciaire, le célèbre cirque a repris ses tournées sur les routes de France, grâce au petit-fils de Gilbert Edelstein, le propriétaire historique du cirque. En 2018, après avoir enregistré 60% de chiffre d’affaires en moins, celui-ci avait dû se séparer de ses artistes et de ses animaux. Cette année 2025 a vu le retour des jongleurs, des trapézistes et des clowns, mais sans animaux, objets de polémique en 2018.
Ce mercredi, c’est en spectateur qu’Alexandre Edelstein s’est rendu au Palais des Congrès, avec sa grand-mère Andrée, veuve de Gilbert Edelstein, pour découvrir Shen Yun. »Très beau spectacle ! Beaucoup de danse, beaucoup de culture à travers ce spectacle ; on retrace pas mal l’historique de la Chine et on apprend beaucoup, notamment sur des instruments, sur des mythes et de nombreuses histoires qu’on ne connaît pas forcément », s’est extasié le chef d’entreprise. Et d’ajouter : « Tout ça rythmé avec un orchestre sublime. Donc, magnifique spectacle ! »
Considérant le niveau artistique de Shen Yun « parfait », Alexandre Edelstein découvre « des artistes qui sont extraordinaires, lesquels, si j’ai bien compris, au niveau du spectacle chinois, sont de renommée là-bas. Exceptionnel ! Avec des prouesses techniques qui sont très, très impressionnantes et surtout une harmonie qui est parfaite ! »
Le directeur du cirque a apprécié de voir « beaucoup de tableaux qui correspondent justement à l’art divin et beaucoup de tableaux sur la religion et sur la culture chinoise ».
« Beaucoup de tableaux sont sur la compassion envers autrui. On en a vu plusieurs qui parlaient de cela et on ressent toute l’émotion au niveau des artistes qui performent sur la piste. »
Le spécialiste du spectacle a pu identifier l’un des aspects les plus extraordinaires de la danse classique chinoise : l’expression du yun chez les danseurs, la capacité d’exprimer leurs émotions les plus profondes sur scène.
Pour le directeur du cirque Pinder, Shen Yun, « c’est à la fois des traditions, des valeurs, une culture qui est apportée et de l’historique. Et avoir mis du numérique dans ce spectacle et avoir permis aux artistes aussi de se fondre dans le numérique, c’est super et je trouve que c’est une très bonne innovation. En tout cas, on se fond parfaitement dans le décor à travers l’histoire moderne et aussi le passé ».

« Une exécution dans l’ensemble et une discipline remarquable »
Jean-Marie Gilles est « venu tout spécialement » de Belgique afin de voir Shen Yun. « C’est extrêmement délicat et c’est remarquablement ensemble », a déclaré l’ancien ingénieur-constructeur et chef d’entreprise. « C’est vraiment de la culture chinoise très ancienne qui est respectée ! »
« Ce sont des danseurs de belle qualité, mais surtout avec une exécution dans l’ensemble et une discipline remarquable ! On sent très bien que tous ces artistes sont vraiment de grands artistes ! »
« Tout se fait en groupe et il n’y a pas la mise en valeur exclusivement de l’individu, mais du groupe », a estimé Jean-Marie Gilles.
Le chef d’entreprise a pu ressentir la connexion au divin à travers « la profondeur de l’inspiration. Oui, c’est évident ! »
M. Gilles a apprécié la présence de la spiritualité au sein de Shen Yun : « Dans toute la civilisation internationale d’aujourd’hui, on sent très, très bien qu’il y a une recherche très profonde des gens pour un retour à des divinités, à une croyance, à une conviction ».
L’ancien chef d’entreprise voit en Shen Yun »ce retour à la perfection, ce retour au fondamental ».
Epoch Times est partenaire de Shen Yun Performing Arts. Nous avons couvert les réactions du public depuis la création de Shen Yun en 2006.