Anglais | Chinois | Coréen | Français | Allemand | Espagnol | Japonais | Russe | Ukrainien | Hébreu | Roumain | Bulgare | Slovaque | Tchèque | Indonésien | Vietnamien
Faites un don

Radioactivité, conséquences sur la santé et comment s'en protéger naturellement

Écrit par Gérard Camelin, La Grande Époque
08.06.2011
| A-/A+

  • compteur gygerr(攝影: / 大紀元)

Le risque de la radioactivité se caractérise par un rayonnement qui, tel un boulet de canon, peut casser les molécules qui constituent les cellules de nos organes et en particulier son précieux ADN.

Ainsi, on comprend mieux que, pour une même dose de radiations, les effets varient selon l’endroit percuté, le type de particule radioactive - le boulet - ou de rayonnement qu’elle émet. La durée de vie d’émission du bombardement par ces éléments qui va de quelques dizaines de jours à des centaines de milliers d’années est aussi un facteur déterminant d’une stratégie de défense.

Les différents organes touchés du corps réagissent aussi différemment selon l’état de santé du système immunitaire, la vitalité générale, l’âge de la personne et son mental ou sa psychologie au moment de l’agression. Tous ces facteurs méritent une prise en compte sur le long terme !

À la suite de la catastrophe de Fukushima du 11 mars dernier, les éléments les plus à risques en Occident sont l’iode-131 et le césium-137 qui sont très volatils. Les autres polluants sont très lourds et retombent très vite sur terre.

Toutefois, en mer, ils risquent de se concentrer dans la pyramide de la chaîne alimentaire. Ils ont été constatés dès le 5 avril à 150 kilomètres au sud de la centrale dans des poissons pêchés qui affichaient déjà 526 becquerels/kg de césium-137 dépassant le seuil limite au Japon des 500 Bq/kg.

Les principes de protection anti-radioactivité naturelle ou naturopathiques sont basés sur 4 principes d’action :

1 - Le principe de saturation ou absorption par une reminéralisation plus ou moins sélective : si nous avons suffisamment de minéraux dans notre organisme, les cellules sont saturées. Elles ne fixent et ne concentrent donc pas ou peu ces éléments très dangereux qui agissent sur des périodes très longues.

Chaque radio-élément absorbé par le corps est attiré vers les tissus et les organes dans lesquels l’élément stable ou son cousin est utilisé normalement. Dans ce but, le fameux équilibre acido-basique de notre organisme devient encore plus prépondérant. L’utilisation des acides gras polyinsaturés qui permettent de réparer les membranes des cellules, tissus nerveux, etc. sera aussi surveillée.

2 - Le principe de drainage et de chélation : certains aliments vont attirer à eux les corps radioactifs pour permettre leur évacuation de l’organisme par notamment les intestins. Le plus documenté sur ce point est l’alginate de sodium, un constituant important des algues cuisinées traditionnellement dans certains pays maritimes comme au Japon, le kelp, l’arame, le wakamé, le kombu et l’iziki. De plus les algues se cuisinent très bien et contiennent 56 minéraux et oligo-éléments indispensables à notre organisme. Les recherches déjà effectuées permettent de recommander des doses de 85 à 170 grammes d’algues par semaine selon les situations d’irradiation.

3 - Le principe de neutralisation des radicaux libres créés lors de l’exposition aux radiations par l’action des antioxydants et d’enzymes. Cette rubrique veillera à nourrir notre organisme de façon à élever au maximum le niveau de ces nutriments.

4 – Le principe qui utilise certains aliments ou plantes dont les principes actifs protègent de manière spécifique contre les différents effets généraux des radiations ou traitements aux rayons.

Plus de 204 718 434 personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations.