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Une nouvelle édition d'Epoch Times en Australie

Écrit par Shar Adams, Epoch Times
10.11.2012
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  • Lumières du Nouvel An à Melbourne, en Australie. (Epoch Times)

Epoch Times ajoute une autre édition imprimée à son réseau d’informations international, avec le lancement d’une édition hebdomadaire à Melbourne, en Australie, dès le 8 novembre.

L’édition de Melbourne est une édition locale de l’édition nationale australienne, qui est publiée chaque semaine à Sydney depuis 2004, et marque une nouvelle étape dans l’expansion du journal.

L’édition Epoch Times phare est publiée à New York cinq jours par semaine.

D’autres éditions, hebdomadaires, sont publiées dans les grandes villes à travers les États-Unis et au Canada et des éditions de langue anglaise sont publiées à Londres, Hong-Kong et à Dublin.

Réseau d’informations multilingue et international, le journal Epoch Times est disponible dans 35 pays à travers le monde et publié en 19 langues.

Thomas Houston, le président d’Epoch Times, affirme qu’il est fier d’ajouter Melbourne à cette liste croissante.

«Epoch Times s’engage à apporter à nos lecteurs de Melbourne des reportages intègres, se concentrant sur la préservation des valeurs universellement reconnues de par le monde», a-t-il déclaré dans un communiqué.

Les premières éditions d’Epoch Times étaient en langue chinoise. Le journal est né grâce à un groupe de Sino-américains témoins de ce que les dirigeants chinois étaient capables de faire à leur propre peuple afin de rester au pouvoir – d’abord le massacre de la place Tian’anmen, puis la persécution et la volonté d’éradiquer la pratique du Falun Gong. Ils voulaient lever le voile en Occident, afin que tout le monde sache ce qui se passe réellement derrière la propagande enveloppant la Chine continentale.

L’édition anglaise est apparue sur le net en 2003, suivie d’une édition imprimée en 2004. Peu de temps après les éditions hebdomadaires ont suivi en Australie et au Canada.

L’Australien Matt Robertson qui couvre la Chine pour Epoch Times a été nominé pour recevoir le Media Peace Awards 2012 (prix des médias pour la paix 2012) par l’UNAA (United Nations Association of Australie), pour ses reportages sur les prélèvements forcés d’organes sur des pratiquants de Falun Gong.

Selon lui l’Australie devient de plus en plus liée à la Chine, d’un point de vue géographique et économique, c’est pourquoi il est essentiel que les Australiens aient une compréhension précise de la Chine moderne avec laquelle ils doivent traiter.

«Alors que la Chine se profile de plus en plus à l’horizon pour les Australiens, ceux-ci ont besoin de comprendre le pays et son appareil d’État plus en profondeur, d’une manière plus élaborée. Le travail qu’Epoch Times fait, pour rendre compte de ces vérités qui dérangent sur la Chine contemporaine, est donc crucial», a-t-il déclaré.

La journaliste Sonya Bryskine d’Epoch Times a également été nominée dans la catégorie Presse australienne par la Commission des droits de l’homme pour le Prix 2012 des droits de l’homme pour son article Confucius Institutes import discrimination.

L’article de Sonya Bryskine a mis en lumière la façon dont les lois australiennes sur l’emploi en milieu de travail ont été compromises par la politique d’embauche de l’Institut Confucius interdisant leurs enseignants d’avoir «une trace quelconque de participation au Falun Gong» ou tout autre organisme jugé «criminel» par le régime chinois. Ce qui implique des groupes parfaitement libres de fonctionner en Australie, comme les églises chrétiennes, les groupes prodémocratiques ou les Tibétains qui entretiennent des liens avec le dalaï-lama.

Ces questions d’intérêt public qui sont des plus sérieuses, continueront à prendre de l’importance alors que les relations entre l’Australie et la Chine dépassent progressivement le simple cadre économique.

Version anglaise: Epoch Times Expanding in Australia

Epoch Times est publié dans 35 pays et dans 19 langues

 

 

 

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