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Histoires anciennes

Les actes du passé déterminent les expériences d’aujourd’hui

The Epoch Times
27.11.2012
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Il y avait autrefois à Hangzhou un magasin d’étoffes. À l’âge de 50 ans, le propriétaire avait tenu son commerce depuis déjà plusieurs dizaines d’années. Malheureusement, son avarice n’avait pas diminué avec l'âge.

 

 

Une année, il y eut un incendie dans le quartier qui toucha le magasin. Derrière le magasin, il y avait une maisonnée d’indigents composée de trois personnes. Pour vivre, ils lavaient le linge des autres. Le seul moyen d’accès à leur maison était la porte latérale du magasin.

Quand le feu qui faisait rage atteignit leur maison, les trois occupants se mirent à hurler à l’aide. «Ouvrez la porte latérale!» Ils espéraient s’échapper par cette porte, qui était la seule issue.

Ils ne s’attendaient pas à ce que le propriétaire du magasin bloque la porte latérale par tous les moyens, lui permettant ainsi de sortir de l’entrepôt toute sa marchandise. Quand tout son stock fut mis en sécurité et que l’incendie fut terminé, la pauvre famille était déjà morte.

 

Une année plus tard, le propriétaire mourut subitement. Alors, une nuit, le fils fit un rêve dans lequel son père lui dit :

«J’ai assassiné la famille indigente qui vivait derrière notre maison. Le Roi de l’Enfer m’interdit de me réincarner en tant qu’être humain dans ma prochaine vie. Au lieu de cela, je me réincarnerai en porc. En fait, je suis déjà né chez un fermier à tel et tel endroit. Nous sommes quatre porcelets de la même portée. Je suis celui avec des taches. S’il te plaît, achète-moi à ce fermier pour m’épargner l’abattoir.»

Après que le propriétaire défunt a eu fini sa confession, il se mit à sangloter.

À son réveil, le fils sentit que ce rêve était trop réel pour être ignoré. Il suivit les instructions de son père et trouva le fermier et le porcelet tacheté.

Quand le porcelet vit le fils, il commença à geindre et se mit à agir comme s’il quémandait pitié. Le fils acheta le porcelet et lui prépara une pièce pour vivre. Il engagea également un serviteur pour prendre soin du porcelet. On lui faisait sa toilette quotidiennement et on le nourrissait de mets somptueux. En d’autres termes, le fils traitait le porcelet comme s’il était son père défunt.

Quelques jours plus tard, le fils rêva à nouveau de son père. Cette fois, son père lui dit : «J’ai commis des péchés impardonnables dans ma vie en tant que propriétaire du magasin d’étoffes. Maintenant que je me suis réincarné en porc, je ne dois pas mener une vie agréable d’homme riche ou je créerai encore plus de péchés. À partir de maintenant, ne me nourris plus de mets coûteux pour humains ou ne me lave plus comme un être humain. Nourris-moi juste avec les restes habituels. Autrement, je devrais faire face à des rétributions karmiques pires dans ma prochaine vie. Après ma mort, j’en suis venu à comprendre la loi de cause à effet et je ne peux rien faire autre que regretter ce que j’ai fait. Pour toi, par contre, il est encore temps de bien faire les choses. Tu dois chérir ta vie d’être humain et ne faire que de bonnes actions!»

 

 

Il y a un proverbe qui dit : «Si tu ne sais pas ce que tu as fait dans ta vie précédente, la réponse est dans les bonnes et mauvaises choses que tu rencontres dans ta vie actuelle. Si tu veux savoir si tu auras une bonne vie dans l’existence suivante, regarde ce que tu as fait dans cette vie-ci.»

 

 

 

Source : fr.clearharmony.net

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