Épargnez en vue de financer les études postsecondaires de vos enfants, même si la fréquentation d’une université n’est pas dans les projets. Un régime enregistré d’épargne-études (REEE), par exemple, vous donnera droit à des subventions gouvernementales substantielles et à des économies d’impôt.



Les emplois n’exigent pas tous un diplôme universitaire, mais la plupart sont associés à une certaine forme d’accréditation ou à une formation particulière. Les électriciens, les policiers et les plombiers, par exemple, ont tous suivi une formation différente. L’argent d’un REEE peut servir à financer la plupart des formations.



En réalité, le REEE ne comporte que très peu de limites et il peut servir à financer la plupart des programmes d’études postsecondaires qui mènent à un diplôme, à un certificat ou à une qualification professionnelle, qu’ils soient offerts dans un collège, une école de métiers ou toute autre institution d’enseignement supérieur approuvée.



«L’idée fausse selon laquelle les REEE peuvent servir à financer uniquement les formations universitaires traditionnelles est très répandue», explique Andrew Haid, président et directeur général de girafe & cie, fournisseur novateur de REEE. «Les régimes d’épargne-études, comme notre REEE sans frais et sans souci, peuvent servir à payer les frais liés à de nombreux programmes d’études. Si la carrière que choisit un enfant exige une formation officielle dans un établissement d’enseignement approuvé, le REEE lui permettra de poursuivre cette formation.»



Une telle souplesse fera l’affaire des parents comme des étudiants. Le Canada a de plus en plus besoin de personnes de métier qualifiées, notamment des monteurs de charpentes métalliques, des machinistes, des plombiers et des coiffeurs stylistes1. Les étudiants qui choisissent ce type de carrière auront de nombreuses possibilités d’accéder à un emploi gratifiant après l’obtention de leur diplôme.

Vous trouverez d’autres renseignements en ligne, à l’adresse girafeetcie.com.

Sources : L’édition Nouvelles