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Q&R Global: Le bénévolat dans votre pays est-il valorisé ou considéré  moins sérieusement?

Écrit par Epoch Times
31.03.2014
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  • Buenos Aires, Argentine
    Juan Carlos Santa Cruz, 53 ans, photographe

    J’approuve le travail bénévole, je le pratique aussi. J’ai beaucoup de connaissances, d’amis qui exercent ce type de travail. Ils œuvrent dans des refuges alimentaires pour enfants, les refuges alimentaires les plus anciens, dans ces lieux, ils les aident même à se laver, et pensent à les couvrir la nuit, etc. Dans le même temps, je perçois le bénévolat comme une bonne chose, c’est une activité noble, très louable. (Photo Courtoisie de Juan Carlos Santa Cruz)
  • Saragosse, Espagne
    Ernesto Sanchez, 46 ans, retraité ancien travailleur dans une ONG

    Pour moi, je ne pense pas que c’est valorisé. Il y a des gens qui ont dans l’idée que les ONG détournent les fonds. Les mauvaises actions de quelques-uns ont entaché l’image de beaucoup qui ont travaillé honnêtement et bénévolement pour d’autres. D’autre part, il y a des gens en Espagne qui ne comprennent pas pourquoi nous nous occupons des problèmes d’autres pays, alors qu’en Espagne beaucoup de personnes sont dans la nécessité à cause de la crise. (Photo Courtoisie de Ernesto Sanchez)
  • Maroochydore, Australie
    Darren Law, 34 ans, technicien dans les télécommunications

    Je pense que les bénévoles ne reçoivent pas suffisamment de reconnaissance. Ils sont vraiment importants dans toutes les entreprises, ils réalisent beaucoup de travail en second plan et ils apportent une aide réelle. Il y a beaucoup de conseils donnés et d’aide aux personnes défavorisées. (Photo Courtoisie de Darren Law)
  • Manhattan, New York, États-Unis
    Andrea Kline, 28 ans, fondatrice d’une société de chiens de randonnées

    Les gens veulent aider. Ils comprennent le bénéfice qu’il y a à aider les moins fortunés, mais je pense qu’ils n’ont pas beaucoup de temps disponible, parce qu’ils travaillent beaucoup, et ils sont vraiment occupés. Quand ils ont du temps libre, ils veulent le passer avec la famille. Les gens aiment vraiment aider. À chaque Thanksgiving, avant de prendre notre repas, nous allons à la soupe populaire. Je pense qu’en général les gens veulent aider, en réalisant de bonnes actions dans ce sens, en aidant quelqu’un. Les new-yorkais sont assez sympas et serviables, je pense. (Photo Courtoisie de Andrea Kline)
  • Salvador, Bahia, Brésila
    Jaguacira Andrade Menezes, 57 ans, entrepreneur social

    Dans notre pays, en dépit du taux élevé de pauvreté, malheureusement le bénévolat n’est pas valorisé comme il devrait l’être. Il existe un manque de prise de conscience de la part de nos dirigeants et des politiciens concernant la nécessité d’aider, de donner de meilleures conditions de vie à ceux qui n’ont pas de ressources. Dans un pays aussi grand que le Brésil, il existe une diversité de conditions sociales: des manques au niveau de la santé, de l’éducation et du logement pour une grande majorité, en particulier dans la région nord-est où la sécheresse y contribue. (Photo Courtoisie de Jaguacira Andrade Menezes)
  • Lima, Pérou
    Juan Carlos Vargas, 46 ans, Promoteur de ventes

    Les bénévoles ne sont pas valorisés dans mon pays. Le volontariat est une tâche très importante, donc je pense que les conditions doivent être améliorées. Je connais des personnes qui font du bénévolat et qui ne reçoivent rien. Des éléments tels que la nourriture ou un logement adéquat sont nécessaires quand ils se déplacent loin. L’État ne favorise pas beaucoup le bénévolat, seules les ONG sont prises en compte parce qu’elles reçoivent de l’argent de l’étranger. Certaines personnes pensent qu’elles perdront leur temps, parce qu’elles ont peu de moyens, parce que tout dépend des ressources économiques, et non de la perception d’un salaire. La décision de faire du bénévolat ne repose pas sur le versant économique mais sur l’altruisme. (Photo Courtoisie de Juan Carlos Vargas)
  • Dalby, Suède
    Sophia Roos, 21 ans, étudiante et à temps partiel surveillante d’enfants dans une maternelle

    Il s’agit vraiment d’un grand mérite. Travailler bénévolement, cela correspond à un statut élevé en Suède. Pour moi personnellement, c’est une bonne expérience me permettant de voir comment fonctionne réellement la vie. Je réalise trois emplois bénévoles différents, et cela me permet de beaucoup apprendre. (Photo Courtoisie de Sophia Roos)
  • Dubai, Emirats Arabes Unis
    Faisal Mohammad, 21 ans, étudiant

    Je pense qu’ils ne le considèrent pas aussi sérieusement qu’ils le devraient, comme cela se fait au Canada et aux États-Unis, mais lentement nous progressons comme dans le travail caritatif. (Photo Courtoisie de Faisal Mohammad)

Le bénévolat peut être très apprécié et bien pris en charge, et d’autre part il peut manquer de reconnaissance, et beaucoup ont besoin de l’aide apportée par les bénévoles dont le nombre se réduit. C’est ce que les journalistes d’Epoch Times de pays tels que l’Argentine et l’Espagne ont découvert quand ils ont questionné les habitants.

«Le bénévolat dans votre pays est-il valorisé ou considéré moins sérieusement?»

Recherchez la colonne Global Q&A chaque semaine. Les journalistes d’Epoch Times interviewent les gens tout autour de la planète pour en apprendre davantage sur leurs vies et leurs points de vue sur les réalités locales et mondiales. La dernière question de Global G&A, «Que signifie l’eau pour votre pays?»

Version en anglais: Global Q&A: ‘Is volunteer work valued in your country or seen as less serious?’

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