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Vie de quartier à l’européenne

21e arrondissement

Écrit par Sophie Brunswig, Epoch Times
28.04.2014
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  • Une place centrale pour développer une vie de quartier (épicerie fine, bistrot, café, etc.). (Prével)

Le nom de ce projet de Prével est né d’une envie d’instaurer une vie de quartier à l’européenne, en faisant un joli clin d’œil à la capitale française qu’est Paris. «On voulait donner une touche européenne au projet. Donc Paris comprend 20 arrondissements, et le 21e est situé à Montréal! L’âme du projet réside dans le concept de vie de quartier à l’européenne. C’est situé dans le Vieux-Montréal, on veut proposer une offre commerciale axée sur l’alimentation et créer une expérience unique pour les acheteurs. C’est comme ça que le projet a démarré!», nous confie David Deschênes, directeur du marketing de Groupe Prével.

 

Deux îlots au total

Le projet a la particularité de s’articuler autour d’une place publique, en direction de la rue Queen, «tout va se construire autour de ce square-là. On voulait garder la perspective sur le centre-ville», déclare M. Deschênes. Au total, huit phases séparées en deux îlots sont prévues, le deuxième n’est pas encore développé. La première phase, pour une livraison à l’automne 2015, comprend 122 unités réparties sur 14 étages. L’ensemble du projet comportera de 800 à 900 unités. «On ne parle pas nécessairement de tours. Les hauteurs sont différentes et la densité est intéressante. On voulait aussi conserver une percée visuelle sur le centre-ville. Les quatre bâtiments auront 14 ou 15 étages pour équilibrer les volumes», explique-t-il.

«À titre comparatif, on ne tombe pas dans une grosse densité comme les projets au centre-ville», nous rassure M. Deschênes. Le marché immobilier étant ce qu’il est actuellement, la construction des futures phases peut être répartie sur quatre à dix ans. «On préfère consolider ce qu’on a actuellement et se concentrer pour améliorer le produit le plus possible», ajoute le directeur. Le prochain îlot se développera en temps et lieu d’ici quelques années, selon l’évolution du marché immobilier.

Un souci d’accessibilité

«On répond à un besoin primaire : on essaie de créer des milieux de vie et d’innover tout en offrant un bon rapport qualité-prix, sans tomber dans le luxe et le haut de gamme. À première vue, pour quelqu’un qui ne connaît pas le marché, les prix au pied carré – 420 $ ici – peuvent sembler élevés, mais comparés à ceux du centre-ville, ils ne sont pas les plus chers car on a le souci de rendre la propriété accessible. On propose toujours un bon rapport qualité-prix, on ne tombe pas dans l’extrême, on optimise les espaces», développe-t-il.

Ainsi la gamme de prix est variée et s’étend de 148 500 $ à 591 000 $, taxes en sus, pour des superficies allant de 285 pieds carrés à 1312 pieds carrés. Les électroménagers sont inclus dans toutes les unités. Trois étages de stationnement souterrain seront également construits.

Le projet propose un concept de pied-à-terre : «On s’est fait dire qu’un certain pourcentage de notre clientèle sont des gens d’affaires. Le besoin est là. Pour eux, acheter un pied-à-terre revient moins cher que de payer cinq nuitées d’hôtel par semaine. Tout est fonctionnel, avec lit escamotable et mobilier intégré optionnel», illustre le responsable du marketing chez Prével.

Un nouveau concept d’agriculture urbaine

Un classique chez Prével, on retrouve dans toutes ses constructions des espaces communs : toit-terrasse avec piscine, espace barbecue, centre sportif, piscine intérieure, hammam, etc. Toutefois, le projet du 21e se distingue par la présence de jardins d’agriculture urbaine, dans la lignée des Fermes Lufa qui exploitent des fermes sur les toits à Montréal de manière commerciale. Ainsi, chaque semaine, les personnes qui désirent s’inscrire reçoivent un panier de légumes de saison. «L’offre commerciale fait la différence. On mise beaucoup sur la vie de quartier, la rue McGill. Ce concept d’agriculture urbaine est vraiment intégré au projet. Il va chercher une clientèle de foodie de par l’offre de ces produits de qualité. On espère vraiment créer un milieu de vie différent. Pas besoin d’aller chez Metro ou au IGA», déclare M. Deschênes avec enthousiasme.

Des espaces communs chaleureux

Le directeur du marketing nous explique en quoi le chalet urbain se distingue : «On s’adresse à une clientèle différente. On l’appelle le grand salon. C’est un endroit plus posé où le style lounge est accentué : boire un verre de vin, relaxer, lire, travailler un peu sur l’ordinateur. C’est une terrasse dont on peut profiter 365 jours par année. La section qu’on a développée comprendra beaucoup de végétation et créera un réel jardin même en hiver, avec de grandes fenêtres donnant toute la luminosité, comme une serre. Ça va être très intéressant! C’est une manière de redéfinir le chalet urbain. Prével veut toujours innover de manière à ce que les espaces communs soient fréquentés autant que possible et invitants pour le client.»

Une expertise de 35 années

Le Groupe Prével a fêté ses 35 ans d’expérience et d’expertise en 2013. Que ce soit dans la réalisation de nouveaux concepts de condos ou à l’interne face aux employés, le désir d’authenticité et de «plaisir de vivre» – slogan de la compagnie – se fait sentir. Le partenariat des deux présidents, Jonathan Sigler, ingénieur en construction, qui s’occupe du côté administratif ainsi que des finances, et Jacques Vincent, responsable du produit, de la mise en marché et des partenaires, connaît un succès. Les paroles de Jacques Vincent, «quand on fait ce qu’on aime, on le fait mieux!» est un peu la maxime de Prével. «On n’est pas une grosse entreprise, mais on y témoigne un grand engagement. Les employés ont à cœur la réussite du projet. On s’investit dans le service à la clientèle. On est parmi les meilleurs en la matière», s’enthousiasme M. Deschênes.

  • Grand salon aménagé pour un bien-être 365 jours par année. (Prével)

Prendre aussi en compte la revitalisation des quartiers délaissés importe pour Prével. Être pionnier dans un quartier permet d’offrir des prix un peu plus compétitifs. «Cela va de pair avec l’envie d’innovation constante et le désir de créer des milieux de vie, des espaces communs», ajoute-t-il. Le projet a été mis en place, pensé et créé en collaboration avec le groupe IBI-CHBA qui œuvre depuis près de trente ans dans le domaine de l’architecture, du design urbain, de l’urbanisme et de l’architecture.

Vers un développement durable

«Le 21e arrondissement n’est pas nécessairement un projet vert mais, par des actions, il devient un projet pour éveiller une conscience orientée vers le développement durable. Le concept d’agriculture urbaine qu’on a développé en est un bon exemple. Il s’agit d’une évolution aux projets de toits verts. Ça aide à tempérer la température ambiante, en plus de réduire les coûts en électricité. Dans bien des projets, l’entretien des toits n’est pas adéquat. On a donc trouvé une solution pour contrer ça. De là notre concept d’agriculture urbaine. Reste à mettre en place de petits détails techniques», commente M. Deschênes.

Au-delà de la mise en place qualitative pour les futurs résidents, le côté humain est très important pour Prével, et créer une relation avec ses clients est primordiale. Pour David Deschênes, il est essentiel de rappeler que «chaque fois qu’une nouvelle phase est terminée, on organise un barbecue de bienvenue au cours duquel nos employés sont aussi invités pour tisser des liens avec les clients. De cette façon, les nouveaux résidents voient qui sont les acteurs du projet. De plus, l’aboutissement du projet suscite souvent chez les employés une grande fierté.»

Prenez plaisir à découvrir les condos modèles exposés au 1020 rue William, à proximité de la station Square-Victoria.

Pour plus d’information, visitez : www.prevel.ca.

 

 

 

   

 

     

 

       

 

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