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Condos Point Vert

Un endroit où on aimerait habiter

Écrit par Sophie Brunswig, Epoch Times
03.04.2014
| A-/A+
  • Terrasse sur le toit du projet (Devler)

Chacun chez soi avec des espaces communs minimisés, c’est le parti pris proposé par Condos Point Vert à Montréal. Contrairement à beaucoup de ses homologues sur le marché immobilier, ce projet a voulu faire dans la simplicité et l’épuré. En effet, les espaces communs se limitent à une cour intérieure et une cage d’escalier. «C’est un style de vie, ça ne fait pas varier les frais de condos mensuels», nous assure Dina Aswar, courtière en immobilier du projet. «L’idée du projet, c’est un minimum d’espace commun et d’entretien pour la copropriété totale pour garder un certain contrôle sur les frais de condos.»

«C’est un projet intime, vert et de qualité. Les gens aiment garder leur intimité malgré qu’on vive en copropriété. On prend des décisions communément avec ces gens qui sont nos voisins, mais on n’a pas besoin d’habiter avec eux. Nous proposons des terrasses vertes gazonnées dans les penthouses et une cour intérieure verte – avec fontaine au centre. D’ailleurs, la clientèle est de plus en plus sensible au facteur environnemental.»

Les deux bâtisses proposent 35 condos, comprenant des 3 1/2 et des penthouses. Ces derniers sont composés de mezzanines et de terrasses privées – en bois et en gazon – et se situent tous au troisième étage. Le deuxième étage contient les 3 1/2. Le premier immeuble, rue Boyer, sera livré le 30 septembre 2014 et celui situé sur la rue Saint-André, en décembre 2014.

Les prix varient de 300 000 $ à 350 000 $ taxes incluses pour une unité moyenne en penthouse et à partir de 199 000 $ taxes incluses pour les petits 3 1/2. Les services d’un designer sont compris dans le prix.

  • Le projet Condos Point Vert (Devler)

Pour les personnes qui choisiront les unités présentées au rez-de-chaussée et semi-sous-sol, ces dernières sont fournies avec balcon et terrasse anglaise ainsi que garage privé pour certaines d’entre elles. Mme Aswar tient à ajouter que «la clientèle, ce sont déjà des gens du coin, la plupart n’ont pas de voiture et adorent leur quartier, ils ne veulent pas changer de routine». Pour cette raison, le promoteur ne propose pas de places de stationnement à l’intérieur.

Un quartier recherché

Situé entre les rues Boyer et Saint-André au coin Beaubien, Rosemont–La Petite Patrie est l’endroit idéal pour emménager quels que soient l’âge et la situation familiale. Vous vous trouvez à cinq minutes à pied du métro Beaubien et de toutes les commodités attenantes. La Plaza Saint-Hubert, le marché Jean-Talon à 10 minutes à pied, la SAQ au coin de la rue, la pharmacie Jean-Coutu... La position géographique est vraiment idéale. D’ailleurs, beaucoup de résidents du quartier sont des marcheurs qui utilisent les transports en commun et les vélos. Un parc à vélo extérieur abrité sera mis en place, entre les deux terrains dans la cour commune.

Un service adapté à chacun

Devler, le promoteur du projet, qui n’en est pas à ses débuts, est une entreprise familiale composée de deux frères. Ils ne s’impliquent que dans un seul projet à la fois, mais sont constants, et cela plaît aux clients puisqu’ils sont très présents. «Tu ne peux pas offrir autant à ton équipe de sous-traitants et à ton équipe de ventes si tu fais 50 projets en même temps. Toute demande est répondue très rapidement. Concernant les détails techniques, on revérifie toujours si les clients sont satisfaits.»

Dina Eswar nous confie que «lorsque je rencontre un client potentiel, j’essaie de poser autant de questions que le client a de questions. Il faut que je rentre un peu dans sa vie personnelle pour cibler la bonne unité. C’est difficile, car on voudrait plaire à tout le monde!».

 

Pour plus d’information, vous pouvez vous renseigner sur le site www.devler.ca.

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