Cet été, une agence qui fait la promotion des régions de Reno et du lac Tahoe, dans le Nevada, m'a invitée à faire une escapade de quelques jours. Vu que ma seule expérience antérieure du Nevada était ma participation à des congrès à Las Vegas, j'étais intriguée par les combinaisons d'art et de culture promises par le bureau local de tourisme et de congrès. J'étais aussi surprise et intriguée par l’assurance qui m’a été donnée que les paysages sont magnifiques dans un État que je croyais dans le désert.

Je suis si contente d'avoir accepté ce voyage qui a été rendu encore plus excitant grâce à mes amis de chez Lexus qui m'ont permis d'emprunter une belle Lexus IS 250C 2010 décapotable au toit dur rétractable, de couleur rouge matador mica brillant. Ils ont cru qu'elle serait idéale pour conduire sur les chemins pittoresques entre l'aéroport de Reno et South Lake Tahoe, et ils ont eu raison.

Je dois vous dire pourquoi ce coupé décapotable, au dernier rang dans la catégorie de luxe, est si merveilleux. Cette voiture est non seulement splendide et élégante, mais elle se conduit comme dans un rêve. La 250C était idéale pour les routes sinueuses que j’ai rencontrées dans les montagnes, en route vers mon premier arrêt au Cottonwood Ranch, un ranch de chevaux en exploitation et qui sert aussi de gîte touristique, à quelques kilomètres en dehors de Minden, NV. C'est vrai que la 350C a plus de «vroum vroum» sous l'accélérateur que la 250C (et coûte plus cher), mais la boîte de vitesse manuelle de la 250C était bien mieux pour affronter les courbes raides et les routes de montagnes sinueuses qui faisaient appel à des vitesses de 25 à 75 km/h. Un moteur plus puissant aurait été plus difficile à retenir sur certaines pentes plus abruptes et aurait pu me créer des problèmes avec les patrouilleurs qui semblaient être nombreux ce jour-là.

À vrai dire, je n'aurais pas dû être sur ces routes de montagnes sinueuses avant le lendemain, mais j'ai lu la carte à l'envers en partant de Reno et je me suis retrouvée sur la route panoramique 28 au lieu de rester sur la IH 395 sud. (Ne me demandez pas comment j'ai fait ça car je n'en ai aucune idée, mais mon mari serait content de vous expliquer que cela arrive assez souvent).

C’est un peu à cause de la beauté du paysage. Je voulais m'arrêter à tout moment pour m’imprégner de la vue de tous ces arbres, collines et plans d'eau qui apparaissaient soudainement, mais il y avait beaucoup d'autos derrière moi qui ne semblaient pas être prêtes à faire de même. J'ai eu plusieurs kilomètres à faire avant qu'une aire de repos puisse finalement me donner un répit et une chance d'examiner la carte routière du Nevada plus attentivement. Cela m'a permis de découvrir que j'étais déjà rendue au jour deux de mon voyage, 24 heures en avance.

En fait, la IS 250C de Lexus est assez impressionnante avec son toit rigide en trois morceaux qui se replie au toucher d'un seul bouton et en un clin d'œil. J'ai déjà été propriétaire de sept autres décapotables qui avaient toutes des toits mous ou «de toile» et j'avais parfois des problèmes terribles à les monter et à les descendre. Mais pas avec cette élégante décapotable : aussitôt dit, aussitôt fait.

Un conducteur avec plus de dextérité que moi aurait pu réussir probablement à abaisser le toit tout en manœuvrant les courbes serrées, mais je n'étais pas tout à fait prête pour essayer cela.

Le toit dur est fait d'un aluminium léger ainsi que le montage en quatre points. Si le paysage n'avait pas été si fantasmagorique, je suis certaine que les autres touristes auraient freiné pour me regarder bouche bée descendre le toit de la voiture du bout d'un de mes doigts. Un système qui règle la vitesse à laquelle le toit se monte et s’abaisse ralentit l'action lorsque le mouvement tire à sa fin dans les deux directions. De plus, les senseurs sonars du système intuitif d’aide au stationnement situés sur le pare-choc arrière vont arrêter le mouvement de la porte du coffre-arrière au début de l'opération si un obstacle (tel que ma grosse valise) était détecté.

Le coupé IS 250C décapotable 2-portes était juste de la bonne grandeur pour un voyage solo, mais aurait été assez confortable pour ma tendre moitié dans le siège du copilote s'il avait pu m'accompagner. Il a promis de le faire après m'avoir entendu vanter sans arrêt les beautés du Nevada.

J'ai fait le voyage complet de quatre jours en utilisant moins d'un réservoir d'essence, vu que la IS 250 consomme en moyenne 13,1 litres/100 km en ville et 9,1 sur l'autoroute. Le prix suggéré par le fabricant de ce véhicule est un raisonnable 52 000 $, mais après avoir ajouté les jantes en alliage graphite liquide de 18 pouces avec des pneus quatre saisons, des sièges avant chauffants et ventilés avec bordures de bois et les frais de livraison, le prix est monté à 58 125 $ pour le modèle à l'essai.

Après avoir appelé Barbara Flanagan, la propriétaire du gîte Cottonwood Creek Farm, pour qu'elle puisse me donner des directives un tournant à la fois jusqu'à l'autoroute, j'ai vite retrouvé mon chemin sur le terrain nivelé et le confort d'un chez-soi, loin de la maison, dans un ranch de luxe. Nous étions entourés d'arbustes de sauge, rehaussés par de belles vivaces et par une forêt enchantée que les propriétaires ont plantée après avoir pris des cours d'aménagement paysager à l'école secondaire du coin; une bonne douzaine de magnifiques chevaux arabes couronnaient le tout.

Après avoir admis que le Nevada m'avait donné une surprise touristique, je ne pouvais m'empêcher de remarquer que la IS 250C de Lexus, même avec son toit en place, avait l'air tout à fait formidable là-bas aussi.

Jo Ann Holt est une chroniqueuse automobile installée à Dallas, au Texas, et elle est membre du Texas Auto Writers Association (TAWA).