OPINIONS

Des notes prouvent que Barack Obama et Joe Biden sont impliqués dans l’enquête sur Flynn

juin 27, 2020 16:20, Last Updated: janvier 15, 2021 19:43
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Le scandale du Spygate continue de croître à une vitesse fulgurante.

Sans le faire savoir publiquement, le procureur général William Barr a nommé début janvier le procureur du district Est du Missouri, Jeffrey Jensen, pour se rendre au bureau du procureur américain à Washington et y mener une enquête secrète sur l’équipe Crossfire Hurricane du FBI et sur la façon dont le bureau du conseiller spécial Mueller a traité l’affaire contre l’ancien conseiller à la sécurité nationale du président Donald Trump, Michael T. Flynn.

Après avoir passé plus de deux ans à recueillir des documents ici au journal Epoch Times, je peux vous dire que l’affaire Flynn est l’une des affaires les plus étranges, les plus déchirantes, les plus déroutantes et les plus exaspérantes que le ministère de la Justice ait jamais traitées.

C’est le 24 avril que Jeffrey Jensen est soudainement apparu au tribunal du district de Columbia pour changer l’histoire en remettant des documents scellés à l’équipe de défense de Michael T. Flynn, un général trois étoiles de l’armée à la retraite.

Décrire ce que Jeffrey Jensen a trouvé à l’intérieur de ce bureau comme « explosif » est un énorme euphémisme. Les documents non scellés ont fait sauter l’affaire Flynn et ont révélé ce qui ne peut être décrit que comme un complot criminel organisé par des hauts fonctionnaires du FBI pour cibler et piéger un homme innocent dont ils savaient qu’il n’avait commis aucun crime.

Avant l’apparition soudaine de M. Jensen dans l’affaire Flynn, les médias pensaient connaître l’histoire complète du scandale du Spygate et de l’affaire Flynn.

À les entendre, Spygate était une théorie de conspiration farfelue pour détourner l’attention sur les très graves crimes de collusion russes qui auraient impliqué le président Trump et ses proches associés.

L’histoire – telle qu’elle a été écrite par les médias – a ensuite déclaré que M. Flynn était un traître vis-à-vis de son pays qui avait été surpris en train de mentir à des agents du FBI et qui a été condamné pour toujours pour avoir fait de fausses déclarations.

Mais l’histoire présentée par les grands médias était fausse.

Ce n’est plus une théorie de conspiration farfelue qui veut que l’équipe Crossfire Hurricane du FBI et le bureau du conseiller spécial Robert Mueller aient tous deux dissimulé des preuves à décharge dans l’affaire Flynn. C’est aujourd’hui prouvé et documenté.

Jeffrey Jensen a refait surface, cette fois-ci en quittant le siège du FBI, où il enquête depuis plusieurs semaines pour donner des preuves supplémentaires sous scellés à l’équipe de défense de M. Flynn.

Lorsque les nouveaux documents ont été descellés, ils ont révélé une bombe : le président Barack Obama et le vice-président Joe Biden étaient tous deux directement impliqués dans l’enquête du FBI menée sur M. Flynn, le nouveau conseiller de la NSA du président élu Donald Trump.

Peter Strzok, qui était l’ancien agent du FBI chargé de l’enquête de contre-espionnage de la campagne de Donald Trump, a été licencié par le bureau après la découverte de ses SMS échangés avec l’avocate du FBI Lisa Page. Ses notes manuscrites révèlent que c’est apparemment Joe Biden lui-même qui a évoqué l’idée d’utiliser la loi Logan comme prétexte pour cibler M. Flynn en vue de la fausse « enquête » qui a suivi.

Le problème majeur soulevé par la révélation des notes prises par M. Strzok est que Barack Obama et Joe Biden ont tous deux insisté de façon virulente à plusieurs reprises pour ne pas participer à une enquête du FBI.

Ces notes démontrent maintenant clairement que les deux hommes ont été malhonnêtes.

Pour le candidat démocrate présumé à la présidence, se retrouver soudainement au milieu du scandale croissant du Spygate et de la fausse enquête pour piéger M. Flynn est un énorme retournement de situation pour les élections de 2020.

La prochaine étape logique des révélations du Spygate serait que le département de la Justice des États-Unis (DOJ) révèle qui est le criminel qui a divulgué les appels téléphoniques entre M. Flynn et l’ambassadeur russe de l’époque, Sergey Kislyak, au Washington Post afin de placer une cible sur le dos de M. Flynn pour avoir soi-disant « violé la loi Logan », une loi adoptée en 1799 qui interdit aux citoyens d’engager une correspondance non autorisée avec des gouvernements étrangers.

Le député Chuck Grassley (républicain-Iowa) semble savoir quelque chose. La journaliste de CBS News, Catherine Herridge, a fait état de la récente lettre de Chuck Grassley à l’Office of Net Assessment (ONA) du Pentagone, demandant toute information concernant toute personne du bureau de l’ONA qui aurait révélé quoi que ce soit sur les communications téléphoniques Flynn/Kislyak aux médias.

Chuck Grassley voudrait également savoir à quel moment l’ONA a appris que l’un de ses contractants, le professeur Stefan Halper de Cambridge, a été directement impliqué dans l’enquête de contre-espionnage Crossfire Hurricane du FBI sur la campagne de Donald Trump.

Quelle différence deux mois peuvent faire. À la mi-avril, M. Flynn se dirigeait probablement vers la prison, les procureurs du bureau Mueller le poursuivaient avec colère, en l’accusant d’avoir rompu son accord de plaidoyer.

Le jour même où le premier lot de preuves à décharge a été descellé fin avril, le procureur principal du bureau de Mueller, Brandon Van Grack, a rapidement démissionné de l’affaire et n’a pas été revu depuis.

Maintenant, M. Flynn a été complètement innocenté, tandis que l’équipe Crossfire Hurricane et le bureau du conseiller spécial Mueller ont été accusés d’être incroyablement corrompus.

Imaginez cela.

En essayant d’ « attraper » M. Flynn par un coup monté, plus d’une dizaine d’anciens fonctionnaires corrompus et ivres de pouvoir se sont exposés à une responsabilité pénale potentiellement massive.

Michael Flynn va repartir en homme libre.

Mais eux ne le seront pas.

Brian Cates est un écrivain du Texas et l’auteur de Nobody Asked my Opinion… But Here is it Anyway ! (personne ne m’a demandé mon avis… mais le voici quand même !).

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Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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