Jean Dujardin était l’invité de Quotidien, ce mercredi 28 septembre, pour parler du film Novembre de Cédric Jimenez. Ce long métrage retrace l’enquête menée par la police, au lendemain des attentats du 13 novembre 2015.
Les cinq jours de traque fébrile, à la recherche des terroristes du 13 novembre qui ont plongé Paris dans le deuil, c’est Novembre, le polar le plus attendu de cet automne. L’acteur principal Jean Dujardin, qui joue aux côtés de Sandrine Kiberlain, a répondu aux questions de Yann Barthès, ce mercredi sur TMC.
« Depuis cinq – six mois environ »
Dans ce long métrage – qui est l’une des œuvres abordant le plus directement la période des attentats et dont le cinéma commence à s’emparer sept ans après – Jean Dujardin incarne un policier à la poursuite des terroristes.
« Dans le contexte actuel, est-ce que c’est compliqué de montrer des flics qui font bien leur travail ? » a questionné Yann Barthès. Estimant qu’il n’y a « plus beaucoup de nuances sur cette terre », l’acteur a rétorqué qu’il y a « flic et flic, voyous et voyous ».
Ça rit jaune sur le plateau de Quotidien quand Jean #Dujardin affirme qu’il est le parrain de la BRI depuis 5 mois et que « sans les policiers ça serait le chaos » en France.
D’ailleurs, il n’est pas exclu qu’un cadre de la Nupes l’accuse d’être d’extrême droite prochainement. ? pic.twitter.com/JZhRkSHIo2— Nicolas Meizonnet (@NMeizonnet) September 30, 2022
« Moi j’ai la chance d’être parrain de la BRI [brigade de recherche et d’intervention] », a-t-il poursuivi, provoquant l’étonnement du journaliste, qui lui a aussitôt demandé depuis quand. « Depuis cinq, six mois environ », a-t-il répondu, soulignant être « très fier » de ce parrainage.
« Qu’on soit de gauche ou de droite, dès qu’on a un problème, on appelle les flics »
« Ils me parlent de leur vie, et puis ils me parlent de leur courage, ils me parlent parfois de leurs désillusions. C’est des humains, et a priori sans ces gens-là, c’est le chaos », a rappelé Jean Dujardin.
L’interprète d’OSS 117 a encore signifié : « Qu’on soit de gauche ou de droite, dès qu’on a un problème, on appelle les flics », interrogeant ensuite : « Alors les flics après c’est quoi ? » Une vaste question pour Jean Dujardin, qui a conclu, évasif : « Y’a pleins de choses dans les flics, c’est compliqué ! »
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