«Nous allons obtenir justice»: les familles s’unissent pour dénoncer les protocoles hospitaliers douteux qui ont conduit à la mort de leurs proches

Par Matt McGregor
17 juillet 2022 00:24 Mis à jour: 17 juillet 2022 00:24

Les détails des récits présentés par les familles dont des proches sont décédés à l’hôpital en raison de ce qu’elles appellent les « protocoles mortels » sont étrangement similaires.

Les patients, méprisés en raison de leur statut de non-vaccinés, ont reçu une combinaison de sédatifs et de remdesivir, un antiviral.

Ils ont tous été maintenus isolés, mal nourris et finalement placés sous respirateur avant de mourir.

Après leur mort, les familles ont été laissées dans la confusion, avec des histoires inconcevables auxquelles beaucoup ne croient pas – des histoires d’une cruauté administrative effrayante.

La FormerFedsGroup Freedom Foundation (FFFF) a recueilli environ deux-cent de ces récits dans le cadre du COVID-19 Humanity Betrayal Memory Project. Il s’agit de collecter un maximum d’information en ligne, de rassembler les témoignages sur le traitement apporté aux malades non vaccinés et d’engager des poursuites en cas de présomption d’abus.

« Ce sont des histoires horribles », explique pour Epoch Times Carolyn Blakeman, directrice chargée des médias et coordinatrice du groupe de travail de la FFFF.

Un grand nombre de ces décès survenus à l’hôpital se sont produits en 2021, après l’annonce de l’obligation vaccinale décidée par Joe Biden.

Dans certains cas, les personnes qui ne voulaient pas se soumettre au vaccin expérimental étaient licenciées, tandis que les patients non vaccinés hospitalisés étaient traités très différemment des autres.

L’expression « la pandémie des non-vaccinés » était utilisée par les responsables publics pour rejeter la faute sur ceux qui avaient choisi de ne pas recourir aux vaccins. Ces vaccins se sont par la suite révélés peu sûrs et moins efficaces que prévu.

Les témoignages rédigés par des personnes telles que Scott Schara, dans le Wisconsin, et Anne Quiner, dans le Minnesota, ont révélé des schémas récurrents dans le comportement des administrations hospitalières. Cette discrimination médicale et ces protocoles ont conduit au sacrifice purement inhumain de leurs proches.

Pour comprendre comment les responsables de la santé, les médecins et les citoyens se sont mondialement laissés manipulés, le Dr Robert Malone, pionnier de la technologie à ARNm, a avancé l’idée que beaucoup sont tombés dans une « psychose de masse ».

« Nous devons mener des enquêtes à grande échelle »

Brad Geyer, ancien procureur fédéral qui a travaillé pendant 21 ans au département de la Justice et au FBI, a déclaré à Epoch Times : « Nous avons trouvé ces témoignages si accablants, irrécusables et convaincants, c’est probablement exactement ce dont nous avons besoin pour rompre le silence. »

Le Dr Peter McCullough, cardiologue de renom qui s’est prononcé contre les protocoles Covid-19, est le président de la FFFF. L’ONG est basée dans le New Jersey. Elle regroupe d’anciens agents fédéraux, des procureurs, des avocats, des professionnels de la santé, des chercheurs et des bénévoles. Leurs efforts visent à dénoncer les pratiques frauduleuses liées au Covid-19, imposées par l’establishment médical rallié à des éminences marxistes qui noyautent les institutions américaines. Leur but est d’imposer l’inconstitutionnalité comme nouvelle norme sociale.

Le projet a plusieurs objectifs. Le premier est de constituer un dossier historique des événements en laissant s’exprimer ceux qui n’ont pas voix au chapitre dans les médias traditionnels. Selon Brad Geyer, les médias sont corrompus et filtrent les réactions de manière « sûre et efficace ».

Ensuite, la FFFF assure la représentation des victimes tout en constituant un dossier plus large et collectif pour les enquêtes sur les crimes contre l’humanité, poursuit M. Geyer.

Enfin, l’objectif est également de faire pression sur les élus pour qu’ils obligent toutes les personnes concernées à rendre des comptes.

« Pourquoi endormir des patients avec quinze médicaments différents, dont le fentanyl, les priver de nourriture et d’eau tout en les isolant de leur famille ? Nous devons mener des enquêtes à grande échelle. »

« Ils ont terrifié ces personnes en les maltraitant émotionnellement et psychologiquement »

Selon Caroline Blakeman, dans toutes ces histoires, il y a des points communs. Les proches des victimes remontent systématiquement des arguments médicaux identiques. Ce fut le cas, notamment, pour l’utilisation d’un respirateur.

« Quand j’entendais ça une fois, je l’entendais ensuite 200 fois dans des termes identiques : ‘Nous allons vous mettre sous respirateur pendant quelques jours pour que vos poumons se reposent’. C’est comme s’ils avaient tous reçu le même mémo sur ce qu’ils devaient dire à leurs patients. C’est insensé. »

Il y a aussi le « cocktail Covid » présenté à chaque patient, explique Mme Blakeman : une concoction de remdesivir, de vancomycine et de dexaméthasone pour les reins.

Chaque témoignage évoque également un mépris viscéral des médecins à l’égard des patients non vaccinés, poursuit Mme Blakeman.

« Ils ont terrifié ces personnes en les maltraitant émotionnellement et psychologiquement. Nous avons eu une victime dont le mari a littéralement dû la faire évader, avec des policiers qui les ont poursuivis dans le couloir jusqu’à leur voiture. Ils ont été traités plus durement que des prisonniers. »

Les entretiens, devenant des témoignages historiques, aideront les générations futures à se souvenir et à ne pas répéter ces atrocités, déclare M. Geyer.

« Imaginez que nous ayons pu interviewer tous ceux qui se trouvaient dans les camps de concentration », explique-t-il. « C’est ce que nous faisons ici en essayant de construire une machine qui fait la lumière sur ce qui s’est passé tout en permettant de déprogrammer suffisamment de personnes pour qu’elles s’engagent dans nos efforts visant à remettre à flot un gouvernement qui honore et respecte l’ensemble des droits associés à la citoyenneté, [dans nos efforts visant] à protéger nos droits constitutionnels. »

Autre objectif : mettre en place un « conseil de réhabilitation de l’humanité » composé de médecins qui n’ont pas été corrompus, tels que les Drs McCullough et Malone. Le but est de mettre au point un organisme administratif qui discuterait avec les médecins et les infirmières souhaitant se manifester et faire des révélations complètes sur ce qu’ils ont été amenés à faire en échange d’une amnistie. Il s’agirait aussi de les valoriser et de les défendre.

« Si nous pouvions créer une entité quasi-gouvernementale composée de médecins et de scientifiques pour gérer un programme de lanceurs d’alerte, au départ, ce ne serait qu’un mince filet d’eau. Mais finalement cela pourrait devenir un ruisseau puis, espérons-le, une rivière de témoignages de médecins et d’infirmières qui voudraient libérer leur conscience. »

Richard et Katrin Crum. (Avec l’aimable autorisation de Richard et Katrin Crum)

« Nos histoires sont étrangement similaires »

Parmi les personnes que la FFFF a interrogées figurent Katrin Crum, Aletha Chavez et Ashley Wines, qui ont également partagé leurs expériences avec Epoch Times.

« Cela fait huit mois que mon mari a été tué, et je dis qu’il a été tué parce que c’est exactement ce qui s’est passé », raconte Mme Crum. « Il n’est pas mort du Covid. Il est mort suite aux protocoles fédéraux Covid qui ont été dictés à tous les hôpitaux du pays. »

Mme Crum a créé le groupe privé Facebook C19 Widows/Widowers that want JUSTICE [Veufs/veuves qui réclament JUSTICE]. C’est ainsi qu’elle a rencontré Mme Chavez et Mme Wines.

Le groupe compte désormais 600 membres.

« Toutes nos histoires se ressemblent étrangement, et il y a une raison à cela », explique Mme Crum.

Le mari de Mme Crum, Richard, 58 ans, était directeur dans l’État de Washington d’une école privée qui accueillait des élèves en difficulté.

« Plus de 20 de ses anciens élèves ont assisté à ses funérailles et ont parlé de l’impact positif qu’il a eu sur leur vie », se souvient Mme Crum.

Au lendemain de sa mort (récit plus détaillé sur la page Web de la FFFF) Mme Crum a décidé de transformer son chagrin et sa colère en activisme, de s’engager à protéger les autres et à mener l’enquête par elle-même sur ce qui s’était passé.

« Lorsque la pandémie a commencé, les NIH [National Institutes of Health] et la FDA [Food and drug administration] ont établi des protocoles que les hôpitaux devaient suivre pour traiter les patients atteints du Covid », explique Mme Crum. « Jamais auparavant dans l’histoire de notre pays, une agence composée à trois lettres n’avait dicté aux médecins le traitement standard à donner aux patients. »

Ni les NIH ni la FDA n’ont répondu aux demandes de commentaire d’Epoch Times.

Le traitement individuel était laissé à la discrétion du médecin et faisait l’objet d’une discussion ouverte entre le médecin et le patient, rappelle Mme Crum.

« Mais maintenant, tout cela a été jeté par la fenêtre. Mon mari de 58 ans à Washington a reçu exactement le même traitement qu’une femme de 40 ans en Floride qui n’avait pas du tout les mêmes problèmes de santé que lui. »

Richard a été admis le 21 octobre et est décédé à l’hôpital le 5 novembre 2021. Mme Crum, qui avait obtenu la permission de le voir après 11 jours, était dans sa chambre alors que les infirmières tentaient de lui prodiguer un massage cardiaque.

« Il avait les poignets attachés, une plaie au visage à cause de son masque, et avait perdu 16 kg en 14 jours. »

Avant de mourir, un médecin a tenté de contraindre Mme Crum à accepter de changer l’instruction concernant son mari par celle de « ne pas réanimer ».

« J’ai continué à refuser, et finalement, à la fin de notre conversation, elle était tellement en colère qu’elle m’a dit : ‘Très bien, si vous ne le changez pas en NPR lorsque votre mari fera un arrêt cardiaque, je ne lui ferai pas de compressions thoraciques’ »

M. Crum a fait l’objet d’un rapport d’autopsie et de toxicologie privé qui énumère les conditions médicales ayant causé sa mort en dehors du Covid : une obstruction à 90% de l’artère principale de son cœur qui n’a pas été traitée tout au long de son séjour de 16 jours à l’hôpital, et une dose létale de fentanyl.

Les protocoles aggravent l’état de santé des patients comme son mari et entraînent leur décès, poursuit Mme Crum. Les hôpitaux bénéficient d’incitations financières importantes de la part du gouvernement fédéral dans le cadre de la loi CARES (Coronavirus Aid, Relief, and Economic Security) et du financement complémentaire des hôpitaux au titre du plan de secours américain.

Les hôpitaux sont remboursés pour l’admission ou le test positif d’un patient au Covid-19, c’est pourquoi il existe des témoignages comme celui de Mme Crum, dans lequel le personnel poursuit le dépistage du virus chez un patient, alors qu’il n’a pas été admis avec un test positif.

Par ailleurs, Mme Crum affirme que les hôpitaux étaient remboursés pour l’utilisation du remdesivir, la mise sous respirateur d’un patient et le décès d’un patient avec la mention Covid sur son certificat de décès.

Un programme pervers

Tom Renz, avocat des organisations America’s Frontline Doctors (AFD) et Make Americans Free Again (MAFA), qui s’opposent aux mandats fédéraux inconstitutionnels en matière de santé, s’est entretenu avec Epoch Times dans un article précédent au sujet des remboursements.

Tom Renz a expliqué que les hôpitaux bénéficiaient d’un financement fédéral grâce à la loi CARES, qui prévoit une augmentation de 20% du remboursement des hôpitaux pour les séjours hospitaliers consécutifs au Covid-19.

« Les lois sont structurées pour inciter les hôpitaux à tuer les gens. L’hôpital gagne plus d’argent si on meurt du Covid-19 que si on guérit. Pourquoi les hôpitaux ne reçoivent pas des incitatifs pour guérir les gens du Covid ? »

En juin, lors d’une réunion de la commission sénatoriale du Texas sur la Santé et les services sociaux, Bob Hall, sénateur du Texas, faisait allusion à des histoires comme celles recueillies par la FFFF : « Jamais auparavant nous n’avons vu le gouvernement s’interposer entre le patient et le médecin et usurper le droit du médecin à exercer suivant sa conscience, sa formation et selon ce qu’il sait être bon pour le patient. »

Bob Hall a déclaré qu’il s’agissait d’un problème « que nous devons résoudre » afin qu’il ne devienne pas « la norme », car non seulement les traitements hospitaliers n’aident pas, mais ils sont préjudiciables pour les patients.

« Combien de personnes entrent dans les hôpitaux américains et n’en ressortent pas à cause de ce programme pervers ? » interroge Mme Crum. « Un nombre très élevé. »

Roberto et Aletha Chavez. (Avec l’aimable autorisation d’Aletha Chavez)

« Je leur faisais confiance »

Le témoignage détaillé de Mme Chavez sur la mort de son mari Roberto dans un hôpital de Californie peut être consulté sur la page Web de la FFFF.

Roberto était shérif adjoint dans le comté de San Bernardino, il pratiquait la musculation et la randonnée tous les jours.

« On nous a expliqués qu’il était la personne la plus saine là-bas avec le Covid », se souvient Mme Chavez. « Il ne prenait jamais de médicaments, faisait de la musculation tous les jours et n’avait aucune comorbidité. »

Roberto avait connaissance des cas de négligence constatés dans les maisons de retraite et les hôpitaux à cause du Covid, ajoute Mme Chavez.

« Il ne voulait pas être admis, mais nous avons pensé qu’il devait entrer, recevoir un traitement contre les troubles respiratoires et rentrer à la maison, alors je l’ai emmené à l’hôpital. C’est mon plus grand regret après tout ce que j’ai appris depuis. »

Roberto a été hospitalisé dans la nuit du 17 août.

Dès le début, il a été isolé, traité avec négligence et irrespect en tant que non-vacciné. Il a été soumis à une série de protocoles que Richard Crum, ce qui l’a également mené droit à la mort, explique Mme Chavez.

« Il avait besoin d’aller aux toilettes avec l’aide d’une infirmière », se souvient Mme Chavez. « Il m’a demandé d’appeler le poste des infirmières au moins cinq fois, car elles ne lui répondaient pas. »

Mme Chavez a reçu un appel à 4 heures du matin d’une infirmière lui annonçant qu’il était tombé du lit.

« Je connais mon mari », explique Mme Chavez. « Il n’est pas resté allongé. Il s’est levé pour aller aux toilettes. »

L’infirmière a précisé à Mme Chavez que sa chute n’avait causé aucune blessure, mais qu’en perdant son masque à oxygène, il était entré en état d’insuffisance respiratoire. C’est pourquoi les infirmières ont demandé à ce qu’il soit placé sous respirateur alors qu’il n’avait jamais voulu de ce traitement.

« Nous avions échangé des textos et parlé au téléphone tous les jours, je savais qu’il allait bien », se souvient Mme Chavez. « Elles m’ont affirmé que sans respirateur, il finirait par mourir, j’étais sur la sellette. J’ai accepté. Quand on ne vous propose que cette solution, que pouvez-vous faire ? Je leur ai fait confiance. »

Le lendemain, son cœur s’est arrêté deux fois, et la troisième fois, il n’a pas pu être réanimé, poursuit Mme Chavez. Il est mort le 26 août 2021.

« Ce fut le pire jour de ma vie. »

Au début, Mme Chavez a pensé qu’il s’agissait d’une simple négligence, puis elle a fait appel à une société extérieure composée de médecins et d’infirmières pour examiner les dossiers médicaux de Roberto, qui ont fait apparaître de nombreux signaux d’alerte et, entre autres, le fait que Roberto avait été saturé de médicaments à interaction croisée alors qu’il était maintenu sous fentanyl.

« En approfondissant le sujet, j’ai découvert que mon histoire ressemblait à celle de beaucoup, beaucoup d’autres. »

Phillip et Ashley Wines. (Avec l’aimable autorisation d’Ashley Wines)

« Ils nous ont dit que c’était sa faute »

Ashley Wines, elle-même étudiante en soins infirmiers dont l’histoire plus détaillée se trouve sur la page web de la FFFF, a perdu son fiancé de 32 ans, Phillip Carron, le 14 octobre. Il avait été hospitalisé le 23 septembre 2021.

« Phil était agent immobilier à Bellingham, Washington », explique Mme Wines. « Il venait en fait de devenir directeur des ventes et premier vice-président de NW Premium Homes peu de temps avant que tout arrive. Notre avenir était tout tracé. »

Comme M. Crum et M. Chavez, il a été victime d’une discrimination totale en tant que non vacciné, explique Mme Wines.

« Lorsque j’ai essayé de lui apporter de la nourriture, une infirmière m’a crié dessus, pour me dire que, n’ayant pas été vacciné, il était destiné à mourir et qu’il ne pouvait ni manger ni boire jusqu’à la fin de son séjour ici », se souvient Mme Wines.

Initialement, Phillip devait être placé en observation, cependant, après avoir refusé d’être vacciné, il a été mis sous morphine pendant la nuit, ce qui, selon elle, a augmenté ses troubles respiratoires.

« Le lendemain matin, il a été envoyé aux soins intensifs et classépronostic vital engagé’ », se souvient Mme Wines. « Quelques jours plus tard, ils lui ont donné du précédex, un sédatif puissant, et du remdesivir. »

Après une dose de remdesivir, Phillip a souffert d’une insuffisance hépatique complète.

Les interrogations de Mme Wines sur les protocoles ont abouti à une interdiction complète pour elle de se rendre à l’hôpital. Elle ne pouvait plus communiquer avec Phillip et s’est donc appuyée sur la mère de ce dernier, Pam, comme mandataire.

Phillip est resté sous respirateur pendant 15 jours, il a perdu 39 Kg.

« 75% des infirmières étaient tout simplement méchantes. Chaque médecin était méchant. Les médecins se moquaient de nous. C’était de sa faute, il n’était pas vacciné. »

Mme Wines et la mère de Phillip, Pam, étaient auprès de Phillip le jour de sa mort. Elles sont parties deux heures avant son décès.

« J’ai travaillé dans un hospice. Je sais à quoi ressemble la fin de vie », se souvient Mme Wines. « Nous ne serions pas partis si j’avais pensé qu’il allait mourir. Pourquoi est-il mort deux heures après notre départ. »

« Nous allons obtenir justice »

« Les gens ne veulent pas croire que cela se produit », déclare Mme Crum. « Mais à mesure que d’autres histoires émergent, on ne peut plus le nier. »

Des centaines de personnes sont prêtes à se manifester pour partager des histoires identiques, poursuit Mme Crum.

« Il faut que cela cesse. Je pense que ceux qui ont mis en place ce système diabolique ont cru que nous allions simplement disparaître envahis par le chagrin. »

« Même si, à certains moments, c’est ce qu’ils souhaitaient faire, c’est devenu plus important que cela. »

« Nous allons nous battre. Nous voulons que ces protocoles cessent. Nous voulons tenir ces personnes responsables », insiste Mme Crum. « Nous allons obtenir justice. »

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