La vérité sur la myocardite induite par les vaccins

Première partie d'une série en deux articles

Par Rav Arora
20 janvier 2022 17:41 Mis à jour: 2 mai 2023 21:01

L’article suivant a été rigoureusement vérifié par le Dr Jay Bhattacharya, professeur de médecine à Stanford et expert en maladies infectieuses. Les affirmations scientifiques concernant la myocardite post‑vaccinale sont tout à fait conformes à la littérature médicale actuelle.

Au cours des derniers mois, j’ai dû faire face à des difficultés insurmontables pour publier mes essais sur la myocardite post‑vaccinale, dont les faits ont été soigneusement vérifiés et qui sont fondés sur des entretiens. Cette question me préoccupe personnellement pour des raisons évidentes : la population la plus à risque est celle des jeunes hommes. Mon point de vue sur la question a été pleinement éclairée par les meilleurs experts en maladies infectieuses et cardiologues ‑ d’institutions telles que Harvard et Stanford ‑ de cette liste (1).

Mon incapacité à publier ne serait‑ce qu’un seul article sur ce sujet semble m’éloigner honteusement de la motivation première qui m’a poussé à devenir journaliste il y a un an et demi : faire la lumière sur des histoires négligées, déformées et occultées par les médias libéraux dominants.

Trop, c’est trop.

Je ne peux tout simplement pas rester silencieux sur cette question pendant six mois de plus ‑ pas pendant que de jeunes hommes sont contraints et forcés de recevoir des injections supplémentaires du vaccin sans aucune donnée de sécurité.

La désinformation se répand comme un feu de forêt. La censure se métastase. Plus alarmant encore, notre régime universel de triple vaccination fait de plus en plus de victimes parmi les jeunes hommes. Et les médias conservateurs et libéraux ont totalement ignoré le problème.

Cette publication de Substack est exclusivement consacrée à la spiritualité, à l’expérience mystique et à la réalisation de soi. Pourtant, j’ai décidé de faire une exception et de publier une série d’essais en plusieurs parties sur les vérités méconnues entourant la myocardite induite par les vaccins. Cet essai long format en est la première partie. Je dois commencer par vous faire part de la goutte d’eau qui a fait déborder le vase :

Une nouvelle analyse du risque relatif de myocardite par des chercheurs d’Oxford a été publiée dans Nature Medicine le 14 décembre. Les auteurs ont constaté des taux plus élevés de myocardite induite par le vaccin que de myocardite due à l’infection chez les hommes âgés de 16 à 39 ans pour plusieurs doses de vaccin : Pfizer, doses 2 et 3, et Moderna, doses 1 et 2. Ce graphique compare les taux :

 

Toutefois, cette analyse sous‑estime le risque lié au vaccin dans certaines catégories démographiques. Comme le souligne le Dr Vinay Prasad, si les chercheurs utilisaient des données plus précises sur la séroprévalence de l’infection virale (ce qui augmenterait le dénominateur) et analysaient le risque chez les jeunes hommes âgés de 16 à 24 ans (le groupe le plus à risque), le rapport risque‑bénéfice pencherait davantage en défaveur de l’administration des doses de vaccin susmentionnées dans cette population.

L’incapacité du gouvernement et de la communauté médicale à reconnaître cette réalité scientifique fondamentale a conduit de nombreux jeunes hommes à prendre des décisions médicales irréversibles entraînant des dommages cardiaques avec des implications potentielles à long terme. Avant même de m’intéresser à ce sujet, j’ai appris l’existence de 3 cas avérés de myocardite post‑vaccinale chez de jeunes hommes nécessitant une hospitalisation dans ma seule ville :

Un jeune homme de 16 ans après la 2edose de Moderna ;
un jeune homme de 17 ans après la 1edose de Pfizer ;
un homme de 25 ans après la 1edose de Moderna.

L’homme de 25 ans, qui a demandé à rester anonyme, a été diagnostiqué comme souffrant de tachycardie ventriculaire et d’arythmie « à haut risque », c’est‑à‑dire de battements cardiaques irréguliers et dangereux qui entraînent un manque d’oxygène dans le sang. Il a passé 5 jours à l’hôpital après avoir ressenti des douleurs thoraciques lancinantes et des difficultés à respirer après la vaccination. Il doit maintenant s’absenter du travail pendant trois mois et ne peut faire aucune forme d’exercice physique. Les médecins lui ont dit que le simple fait de monter les escaliers de sa maison pouvait exacerber son problème cardiaque.

Je lui ai parlé personnellement et j’ai été dévasté par son témoignage :

« J’ai ressenti une telle pression pour prendre le vaccin. Je voulais vivre une vie normale et pouvoir voyager où je le voulais. Et maintenant, je suis pratiquement incapable de faire quoi que ce soit sans craindre de risquer ma maladie cardiaque… ma vie est ruinée pour au moins les prochains mois. »

Cet homme de 25 ans ne fait pas partie d’une minorité exceptionnellement petite de personnes vaccinées pour lesquelles cet effet secondaire ne pouvait être anticipé.

Comme cela a été établi depuis longtemps, la myocardite est l’effet indésirable le plus documenté des vaccins Pfizer et Moderna. Un certain nombre d’études ont établi que le risque de myocardite est fortement tributaire de l’âge et du sexe. Une étude israélienne a révélé que les hommes âgés de 16 à 29 ans couraient le plus grand risque, avec environ 11 hommes sur 100 000 développant une myocardite post‑vaccinale. L’année dernière, une étude préliminaire comparant les risques d’infection et de vaccination a révélé que les garçons âgés de 12 à 15 ans étaient 4 à 6 fois plus susceptibles de développer une myocardite à cause du vaccin que d’être hospitalisés pour une affection liée au Covid (au sens le plus large possible, y compris les cas fortuits ‑ ce qui signifie que le risque relatif de myocardite est probablement sous‑estimé).

Le point précis de causalité n’a pas encore été identifié par les scientifiques, car les vaccins sont expérimentaux par nature et leurs implications à long terme ne sont pas entièrement comprises. Un article récent du Wall Street Journal compile les principales hypothèses sur la cause de cet événement indésirable. L’une des théories émergentes concerne la manière dont le vaccin est injecté dans le corps :

« Les piqûres sont censées être injectées dans le muscle de l’épaule, également connu sous le nom de muscle deltoïde. Si l’injection atteint accidentellement une veine, cela pourrait faire passer une partie du vaccin dans le cœur par les vaisseaux sanguins. »

Quant au risque spécifique au sexe, certains scientifiques supposent qu’il est dû à des niveaux de testostérone plus élevés chez les hommes :

« Le fait que la myocardite semble se produire davantage chez les jeunes hommes après la vaccination que dans les autres groupes d’âge et de sexe suggère un lien avec l’hormone testostérone, qui est généralement à des niveaux élevés chez les jeunes hommes, selon les chercheurs. La testostérone peut intensifier une réaction immunitaire inflammatoire », selon le Dr Bozkurt, « entraînant une myocardite chez certains adolescents et jeunes hommes ».

Le risque systématiquement identifié chez les jeunes hommes dans différents pays, revues médicales et instituts de recherche justifie une grande prudence et une réévaluation de la vaccination complète des jeunes hommes en bonne santé, étant donné leur risque extrêmement faible de maladie grave ou de décès lié au Covid. Les responsables de la santé publique en Norvège, au Royaume‑Uni et à Hong Kong ont agi avec une prudence louable, en ne proposant qu’une seule dose du vaccin aux jeunes gens puisque les cas de myocardite sont regroupés après la deuxième dose. D’autres pays comme la Finlande, la France et l’Allemagne ont déconseillé l’administration du vaccin Moderna aux hommes de moins de 30 ans en raison des taux plus élevés de myocardite par rapport au vaccin Pfizer.

Cependant, le Canada et les États‑Unis ont tous deux adopté une politique de régime unique, ne formulant aucune recommandation médicalement adaptée pour les adolescents et les jeunes adultes.

Étant moi‑même un homme de 20 ans en bonne santé, qui a souffert de complications cardiaques mineures au début de l’adolescence (palpitations cardiaques irrégulières), j’ai décidé de ne pas me faire vacciner. En raison de ma décision personnelle en matière de santé, éclairée par mon médecin, mon bien‑être social et physique a été considérablement compromis. Le gouvernement canadien (tant provincial que fédéral) a mis en œuvre des politiques de vaccination coercitives et draconiennes, limitant les libertés des personnes non vaccinées dans divers secteurs de la société.

Une grande partie de ma vie sociale à Vancouver a été restreinte et ma capacité à maintenir une bonne condition physique ‑ une mesure préventive qui réduit le risque de maladie grave liée au Covid ‑ a été radicalement entravée. Comme le reste des Canadiens non vaccinés de plus de 12 ans, je n’ai pas le droit de faire de l’exercice dans un gymnase, de fréquenter les boîtes de nuit, les bars, les grands rassemblements et les mariages. Le pire, c’est que je suis maintenant enclavé au Canada et que je ne peux pas quitter le pays pour faire des apparitions médiatiques aux États‑Unis et rendre visite à ma famille en Inde. J’avais récemment prévu de me rendre en Floride pour participer à l’émission de Ben Shapiro, mais le gouvernement ne me laisse même pas prendre un vol intérieur.

Dans quel monde cela est‑il juste ?

Sous la pression du gouvernement, les organismes publics ont également intensifié leurs efforts pour rendre obligatoire la vaccination des jeunes. En Ontario, au Canada, la plus grande ligue de hockey pour jeunes (OMHA) a récemment décrété que tous les joueurs de 12 ans et plus devaient être vaccinés. Le président de l’OMHA, Bob Hill, a fait une déclaration sur la décision de la ligue :

« Nous savons que l’environnement entourant le retour au jeu est une réelle préoccupation pour une grande partie des familles de hockey … Notre jeu se pratique dans un environnement intérieur où il peut y avoir un contact étroit, et nous devons faire tout ce qui est possible pour réduire le risque de toute transmission autour de la patinoire. C’est un devoir pour nos joueurs, nos officiels et nos communautés. »

À moins d’être prêt à administrer à son enfant une piqûre de rappel insuffisamment testée tous les six mois, le raisonnement utilisé pour promouvoir les décrets de vaccination des enfants s’effondre lorsqu’on y regarde de plus près. L’efficacité des vaccins contre les infections diminue considérablement avec le temps (une idée qui, jusqu’à l’été dernier, était considérée comme une conspiration de droite). Une étude publiée dans The Lancet a montré une réduction de 55 % de l’efficacité du vaccin contre l’infection 5 mois après la vaccination, une tendance qui s’accentue avec le temps. Tout bénéfice public que la vaccination des enfants apporterait est temporaire et de courte durée.

J’ai demandé au Dr Mike Hart (connu pour son apparition dans le podcast de Joe Rogan), l’un de mes médecins consultants qui dirige une clinique médicale importante en Ontario, ce qu’il pensait d’un tel décret :

« Je ne pense pas que ce soit une bonne politique. Pour les populations vulnérables, les vaccins ont un sens ; mais pour les jeunes en bonne santé, les risques du vaccin peuvent dépasser les avantages. »

« Le risque de myocardite lié au Covid est beaucoup plus élevé que le risque de myocardite lié au vaccin dans la population générale, mais dans les groupes plus jeunes, les meilleures preuves disponibles suggèrent que ce n’est pas vrai. »

Malheureusement, les experts médicaux tels que le Dr Hart, qui prennent en compte à la fois les coûts et les avantages du vaccin, ont été marginalisés par les porte‑paroles de la communauté médicale qui sont bizarrement dévoués à la vaccination de tout le monde, quelle que soit la situation risque‑bénéfice individuelle.

Lorsque le Dr Sanjay Gupta, correspondant médical en chef de CNN, a participé au podcast de Joe Rogan et a été interrogé à plusieurs reprises sur le risque de myocardite chez les jeunes hommes, il a répondu que la plupart des patients atteints de myocardite présentent des symptômes légers et se rétablissent rapidement. Lorsque le Dr Oz, médecin célèbre, s’est vu poser la même question par FOX 29 Philadelphie au début de l’année, il a répondu de manière presque identique : la myocardite est une affection bénigne et facilement guérissable qui ne devrait pas décourager les adolescents en bonne santé de se faire vacciner.

Cependant, la myocardite est depuis longtemps documentée comme une cause de fatigue chronique, d’essoufflement et de douleurs thoraciques, entraînant des perturbations de l’activité physique. Un certain nombre de cardiologues de renom à travers le pays ‑ comme le Dr John Mandrola, le Dr Amy Kontorovich et le Dr Venk Murthy ‑ se sont prononcés publiquement contre la minimisation de la myocardite induite par le vaccin.

Selon le Dr Kontorovich, professeur de médecine et de cardiologie à la Icahn School of Medicine de Mount Sinai,

« La plupart des personnes touchées sont des jeunes gens qui étaient auparavant en bonne santé et qui doivent maintenant prendre au moins trois médicaments pour le cœur et risquent de ne plus pouvoir travailler en raison des symptômes, même si leur fonction cardiaque est ‘revenue à la normale' ».

Le Dr Venk Murthy, cardiologue à l’université du Michigan, a également fait remarquer,

« On conseille généralement aux personnes atteintes de myocardite de limiter leur activité, on les place sous un ou plusieurs médicaments et elles courent un risque accru à vie de complications cardiaques. Cela peut avoir de profondes conséquences. (…) [On] leur dit généralement de limiter leur activité pendant plusieurs mois, parfois plus longtemps. Cela signifie pas de sport. On dit à certains enfants de ne pas porter de livres à l’école. »

Pour tenter de minimiser ces risques réels et quantifiables, ceux qui ont les voix les plus puissantes dans la communauté médicale déforment de manière flagrante, par un tour de passe‑passe, la recherche scientifique sur les réseaux grand public. Lors de son apparition sur l’émission d’Erin Burnett sur CNN, le Dr Sanjay Gupta a abordé la préoccupation du public concernant la myocardite pour la vaccination des adolescents en présentant une étude concluant que la myocardite induite par l’infection présente un risque plus important que le vaccin.

Une lecture superficielle de l’étude révèle qu’elle n’a rien à voir avec l’analyse coûts‑avantages de la vaccination de jeunes hommes en bonne santé. Le taux de myocardite post‑vaccination de 2,7 pour 100 000 personnes provient d’une population très diversifiée (en âge et en sexe), l’âge médian de l’étude étant de 38 ans. De plus, le groupe d’âge spécifique le plus à risque de myocardite ‑ les 12 à 15 ans ‑ n’était pas inclus dans la population étudiée. La préoccupation alarmante concerne spécifiquement les jeunes hommes, et non la population générale. Et pourtant, le segment de CNN s’est terminé avec Erin Burnett résumant cette fausseté totale basée sur l’analyse étonnamment malhonnête de la question par le Dr Gupta :

« Le premier risque [vaccinal] dont on entend parler pour les jeunes garçons est la myocardite. Vous dites que le risque de contracter cette maladie est environ 5 fois plus élevé avec Covid qu’avec le vaccin. Je pense que c’est une statistique de base incroyablement puissante que les gens doivent connaître. »

Un autre clip viral de Joe Rogan parlant de la myocardite a été exploité par les médias pour promouvoir leur programme de vaccination universelle :

L’étude citée dans l’article de Rogan, qui conclut à un risque plus élevé de myocardite induite par une infection que par le vaccin, présente de graves lacunes. Comme l’a souligné Tracy Høeg, médecin praticien et épidémiologiste, les auteurs de l’étude sous‑estiment largement à la fois l’incidence des infections par le Covid (exagérant ainsi le risque d’infection) et la myocardite post‑vaccinale. Cette dernière est sous‑estimée par un facteur de trois ou quatre au moins.

En conséquence, les auteurs concluent fallacieusement que la myocardite post‑infection présente un risque plus élevé que la myocardite post‑vaccinale chez les jeunes hommes.

L’étude non encore examinée par des pairs publiée par des chercheurs d’Oxford le mois dernier est l’analyse la plus complète, la plus robuste et la plus rigoureuse du risque relatif de myocardite.

(Remarque : le Dr Høeg était le chercheur principal de l’étude irréfutable qui a révélé une incidence 4 à 6 fois plus élevée de myocardite liée au vaccin que de toute forme d’hospitalisation liée au Covid chez les garçons de 12 à 15 ans. Lisez la couverture de The Guardian ici).

* * *

Tout comme nos conversations sur le changement climatique, la justice pénale et le racisme, le sujet de la vaccination est douloureusement simplifié selon des schémas manichéens. Tout écart par rapport au soutien à la vaccination universellement obligatoire entraîne des accusations indéfendables d’être un « antivax » ‑ une réalité qui s’est abattue sur Jonathan Isaac, 23 ans, joueur de NBA non vacciné (qui a une immunité naturelle) dans une histoire trompeuse de Rolling Stone.

Ni le risque de Covid ni les effets secondaires des vaccins ne sont répartis de manière égale dans la population. Si le risque général est minuscule, le risque individuel de myocardite induite par le vaccin chez les jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans est d’environ 1 sur 2 000, selon une étude récente du Dr Katie A. Sharff, médecin spécialiste des maladies infectieuses. D’après ce calcul, un million d’administrations du vaccin dans ce groupe d’âge entraînerait 500 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes dont le risque de Covid est par ailleurs quasi nul.

Les implications de ces données sont dévastatrices si les autorités de santé publique continuent d’encourager, et pire, de rendre obligatoires les rappels pour les jeunes hommes, comme cela se fait à Princeton, NYU, Stanford, UMass Amherst, Dartmouth et d’autres grandes universités américaines (nous y reviendrons bientôt).

De nombreux membres des médias et de la communauté médicale encouragent à juste titre la vaccination pour prévenir les maladies graves ou la mort, mais réagissent à toute information qui délégitime ou remet en question la sécurité et l’efficacité de la vaccination, ne serait‑ce que par une sorte d’opposition religieuse stricte. « Sûr et efficace » est devenu un mantra utilisé pour faire taire l’opposition à la vaccination universelle.

Soutenir le vaccin signifie discuter honnêtement des risques réels de la vaccination dans des groupes démographiques spécifiques, sans minimisations ni exagérations motivées par des objectifs précis. En revanche, le fait d’obscurcir, de minimiser et d’induire en erreur le public sape la confiance dans le vaccin ‑ une innovation scientifique miraculeuse qui a transformé le cours de la pandémie en évitant des millions de décès et de cas de maladie grave.

L’honnêteté, la nuance et la compassion sont particulièrement nécessaires lorsqu’il s’agit de choix personnels en matière de santé. Nous n’avons qu’un seul corps à la naissance et nous devons prendre des décisions médicalement informées de notre propre gré, sans contrainte gouvernementale ni pression politique.

Experts médicaux qui ont éclairé l’analyse de cet essai : Dr Vinay Prasad, Dr Tracy Hoeg, Dr Jay Bhattacharya, Dr Martin Kulldorff, Dr Ramin Farzaneh‑Far, Dr John Mandrola, Dr Aseem Malhotra.

 

Article original paru dans Substack Noble Truths with Rav Arora.


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Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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