Chapitre 6: S’emparer des efforts de toute une nation pour persécuter

Par Zhang Tianliang
7 octobre 2019 22:56 Mis à jour: 10 mai 2021 06:16

Epoch Times est fier de republier «Une persécution sans précédent : la destruction de la bienveillance humaine» (« An Unprecedented Evil Persecution: A Genocide Against Goodness in Humankind » éd. Dr. Torsten Trey et Theresa Chu. 2016. Clear Insight Publishing). Le livre aide à la compréhension des prélèvements forcés d’organes en Chine en expliquant la cause profonde de cette atrocité: le génocide commis par le régime chinois contre des pratiquants de Falun Gong.

Zhang Tianliang (Shujia Gong), Ph.D., ancien Professeur adjoint de l’université de George Mason, est le Doyen du Département des Sciences et des Arts Libres à l’Académie des Arts de Feitian basé à New York. Il est un chroniqueur reconnu à Epoch Times et présentateur à New Tang Dynasty Télévision et chroniqueur invité à Voice of America. Il est l’auteur de China’s Path to Peaceful Transition.

Le 29 juillet 2014 l’agence de presse Xinhua, porte-parole de la propagande du Parti communiste chinois (PCC), a publié cette information qui a retenu l’attention du monde entier : Zhou Yongkang, ancien membre du Comité permanent du Politburo et secrétaire du Comité des Affaires politiques et législatives du Comité central du PCC, est placé sous contrôle judiciaire pour présomption de « graves violations de la discipline ». Zhou Yongkang est le plus important haut-fonctionnaire à faire l’objet d’une enquête pour corruption, depuis que le PCC a établi son régime, il y a plus de 60 ans.

L’accusation de « corruption » est en réalité un leurre. La véritable raison de la mise en examen de Zhou Yongkang a été de prévenir le coup d’État que ce dernier préparait avec Bo Xilai  et d’autres complices. Leur but était de renverser le président Xi Jinping[1] et de le remplacer par Bo Xilai, avec le soutien de l’ancien président Jiang Zemin et Zeng Qinghong . Par conséquent, Xi Jinping n’avait d’autre choix que d’écarter Zhou Yongkang, Bo Xilai ainsi que leurs soutiens cachés.

Le fait qui motivait cette tentative de coup d’État remonte à une dizaine d’années, lorsque Jiang Zemin et sa faction ont consacré les ressources de la nation toute entière à la répression du Falun Gong, ce qui a entraîné une dette de sang écrasante. La seule façon d’éviter qu’un scandale public n’éclate était de reprendre le pouvoir et de poursuivre la politique de persécution. Bo Xilai était le candidat sélectionné le plus à même d’accomplir cette tâche.

Depuis l’établissement au pouvoir du PCC, différentes persécutions se sont succédé et ont rendu le peuple chinois vulnérable face aux violences du régime. Celui-ci a persécuté le personnel militaire du Parti nationaliste chinois, il a réprimé différents groupes religieux et sociaux ainsi que les propriétaires fonciers dans les villes et les campagnes, il a ciblé et tué un grand nombre de vies au cours de la longue décennie de la Révolution culturelle. De même, « l’incident du 4 juin » également connu sous le nom de « massacre de la place Tiananmen », a montré au monde entier la détermination du PCC à appliquer des traitements cruels. En tenant compte de ce contexte qui perdure et considérant la résistance pacifique, durable et étendue des pratiquants de Falun Gong, on se rend alors compte à quel point la persécution menée par le PCC reste cruelle et acharnée.

L’ancien secrétaire général du PCC Jiang Zemin a changé la devise de Deng Xiaoping : « Focaliser toutes les ressources et les efforts sur le développement économique » en « Focaliser toutes les ressources et les efforts sur la répression du Falun Gong ». Il a transformé la structure des autorités nationales pour mettre en œuvre une telle politique. Cet article analyse la gravité de la persécution du Falun Gong de ce point de vue.

I. La première résistance non violente, durable et de grande envergure que le PCC ait connue

Dans toute son histoire, le Parti communiste n’a jamais mis plus de trois jours pour supprimer définitivement un groupe ou un individu. Jiang Zemin était donc convaincu qu’il ne lui faudrait pas plus de trois mois pour éradiquer le Falun Gong. Cependant il a été confronté à la résistance pacifique et persistante des pratiquants de Falun Gong. Cette résistance se caractérise par trois traits caractéristiques : sa persévérance, son ampleur et sa non-violence.

La persécution menée par le PCC dure depuis plus de quinze ans. Dès le début, les pratiquants de Falun Gong en Chine continentale ont affiché publiquement des dépliants, distribué des CD, accroché des banderoles, distribué les Neuf commentaires sur le Parti communiste. Ils ont aussi subi l’emprisonnement et la torture dans les geôles du PCC. Pourtant, peu importe la sanction encourue, ils ont persévéré à grande échelle. Les pratiquants de Falun Gong, hors de Chine, ont créé et géré diverses plates-formes médiatiques, pour dénoncer les dirigeants communistes responsables de la persécution. Ils ont contourné le blocus Internet du PCC, renoué avec la culture traditionnelle chinoise et ont présenté la danse classique chinoise à travers les représentations annuelles du spectacle Shen Yun. Toutes ces activités ont pris de l’ampleur et se sont renforcées au cours des quinze dernières années.

II. De la devise « Focaliser toutes les ressources et les efforts sur le développement économique » à la devise « Focaliser toutes les ressources et les efforts sur la répression du Falun Gong »

(1) Un investissement financier considérable

Le coût de la persécution du Falun Gong est considérable. Pour un dollar américain ou une minute de temps utilisé par les pratiquants de Falun Gong, le régime peut investir des milliers ou des dizaines de milliers de dollars américains et plusieurs jours ou mois en contre-offensive. Pour donner un exemple très simple : quand à l’étranger, les pratiquants de Falun Gong (développeurs de logiciels) ont mis au point des systèmes pour briser le blocus Internet en Chine, la réplique du PCC a consisté en un immense investissement dans la recherche et le développement pour renforcer le contrôle d’Internet.

Des dizaines de milliers de mises à jour du pare-feu ont eu lieu, et les données exportées à une vitesse supérieure à 2 Tbits (térabits par seconde) devaient être filtrées.[2] [3]  Par exemple, quand les pratiquants de Falun Gong ont intenté un procès contre Jiang Zemin, le PCC a envoyé un grand « groupe d’intérêt spécial » faire pression sur le Conseil d’État, le ministère de la Justice, les tribunaux et tout le personnel concerné aux États-Unis. Il a de plus fait de grandes concessions sur le commerce afin d’échapper à une enquête plus approfondie sur Jiang Zemin.

Une enquête a démontré que le PCC a dépensé l’équivalent du quart de son produit intérieur brut (PIB) dans la persécution des pratiquants de Falun Gong. La quantité des ressources utilisées pour financer la persécution est équivalente aux moyens de financement d’une guerre.[4]

(2) Le lourd tribut de la persécution

Sur le plan de sa politique intérieure, le PCC n’avait d’autre choix que d’ajuster sa structure organisationnelle et de créer le « Bureau 610 » pour réprimer le Falun Gong. Cet organisme illégal mobilise toute la sécurité publique, l’appareil législatif et judiciaire, y compris le corps des magistrats. Il a aussi monopolisé les services secrets, les affaires diplomatiques, les finances, l’armée, la police armée, les institutions médicales, la communication de masse, etc.[5] Le PCC affirme que la supériorité du socialisme réside dans « la concentration du pouvoir pour faire du bon travail ». Le Bureau 610 est le type d’organisme qui peut mobiliser pratiquement toutes les ressources nationales à travers les canaux des grandes institutions. Pour résumer, il est une deuxième autorité centrale en dehors du Comité permanent du Politburo. Cette autre autorité centrale a été dirigée par Li Lanqing, ancien vice-premier ministre du Conseil d’État et ami proche de Jiang Zemin. Puis Luo Gan  a assumé une autorité spécifique de commandement et de contrôle tandis que le pouvoir central était directement contrôlé par Jiang Zemin.

Face à la résistance déterminée et sans compromis du Falun Gong, la frustration et l’humiliation de Jiang Zemin lui ont fait intensifier, sans relâche, la persécution, amplifiant encore le massacre. En 2002, avant le 16eme Congrès national, Jiang Zemin a effectué sa dernière visite officielle à Chicago où il a été accueilli par des assignations en justice et des plaintes portant sur les violations des droits de l’homme contre les pratiquants de Falun Gong.

D’une part, les procès intentés par les pratiquants de Falun Gong peuvent avoir des répercussions sur le règne de terreur de Jiang Zemin. De l’autre, la majorité des membres du Comité permanent du Politburo ne voyait aucun intérêt dans la persécution. En tant que Secrétaire général, pour s’assurer que son pouvoir demeure intact, Jiang Zemin a opéré avant la fin de son mandat un changement fondamental au sein du Comité permanent du Politburo. Il a placé deux de ses hommes de main comme huitième et neuvième membres du comité qui en comptait sept à l’origine. Li Changchun a eu en charge la propagande anti Falun Gong, tandis que Luo Gan était chargé de veiller à ce que la persécution violente contre les pratiquants de Falun Gong se poursuive.

Jiang Zemin a également remplacé le nom d’usage de « commandement central » du PCC, par le titre de « leadership collectif ». Cet acte délibéré et efficace a retiré à son successeur Hu Jintao son autorité sur Li Changchun, sur Luo Gan et leurs portefeuilles politiques respectifs.

Le PCC est passé de l’État de dictature à un système « oligarchique », avec un noyau de neuf membres du Comité permanent, dans lequel chaque poste a des responsabilités spécifiques et indépendantes. Cela a eu deux conséquences :

1) En tant que membre du Comité permanent du Politburo, Luo Gan a eu un rôle instrumental qui lui a permis de mobiliser les ressources du pays, afin de poursuivre les politiques répressives de Jiang Zemin.

2) Les missions des neuf membres du comité étant devenues indépendantes, l’autorité de Luo Gan n’a été ni contrôlée ni contestée. Cette importante restructuration organisationnelle a été orchestrée par Jiang Zemin, essentiellement pour poursuivre la persécution des pratiquants de Falun Gong.

Au cours de cette même période, Jiang Zemin a également pris une décision qui a choqué la communauté internationale. Après le 16eme Congrès national en 2002, il a demandé au général Zhang Wannian de procéder à un coup d’État paramilitaire, en proposant une motion spéciale, visant à faire réélire Jiang Zemin président de la Commission militaire centrale, pour une durée prolongée. Jiang Zemin était prêt à consacrer encore deux années supplémentaires à la résolution de la question du Falun Gong. Toutefois, en 2004, lorsque la persécution est devenue de plus en plus difficile à soutenir, il n’a eu d’autre choix que de se retirer de la plus haute position de pouvoir du PCC.

Sur le plan diplomatique en apparence, le PCC donnait à l’époque une place centrale à la question de Taïwan, du Tibet et aux sujets pro-démocratiques. Mais en réalité, la question du Falun Gong était son unique préoccupation. Ainsi, dans son édition du 9 mars 2001, le « Washington Times » rapportait que Zhu Qizhen et Li Daoyu, anciens ambassadeurs chinois aux États-Unis et Zhang Wenpu, ancien ambassadeur chinois au Canada, s’étaient réunis avec Condoleezza Rice, l’ancienne conseillère américaine à la Sécurité nationale : au cours de la réunion, sans prévenir, l’un des anciens ambassadeurs chinois a présenté un discours préparé et l’a lu. Le document mettait l’accent sur comment le Falun Gong constituait une menace pour le gouvernement chinois. Selon l’article, Condoleezza Rice aurait été « irritée par la tirade des diplomates chinois et a mis fin rapidement à la réunion après vingt minutes de lecture du discours. »[6]

(3) Tentatives d’assassinat et coup d’État manqué

Lors d’un banquet, Liu Jing, ancien directeur adjoint du Bureau 610, a révélé que la direction du PCC était divisée en deux factions sur la question du Falun Gong : le désaccord de Hu Jintao, successeur de Jiang Zemin à la tête de l’État chinois concernant la répression du Falun Gong, lui a valu les réprimandes et l’opposition sévère de Jiang Zemin, lequel a par la suite tenté de l’assassiner.[7]

Le 15 novembre 2006, le magazine Trends basé à Hong Kong a publié une information sur l’incident de l’année baptisé « l’incident du 1er mai », date à laquelle Hu Jintao a failli être assassiné en mer Jaune. Une enquête officieuse a révélé que les ordres d’assassinat venaient de Jiang Zemin lui-même. C’est l’amiral Zhang Dingfa qui avait été désigné pour exécuter la mission d’éliminer Hu Jintao. Fin 2006, la mort de Zhang Dingfa a été annoncée. Il n’y a eu ni deuil ni panégyrique. L’agence de presse Xinhua et Le quotidien de l’Armée de libération ont gardé le silence sur la question. Seules les Nouvelles de la Marine chinoise ont publié un bref article.[8]

Au cours du 17eme Congrès national en 2007, en raison de l’interférence de Hu Jintao, Jiang Zemin n’a pas réussi à placer Bo Xilai, son loyal favori et partenaire consentant dans les crimes contre le Falun Gong, comme successeur de Hu Jintao. Cependant, il a été en mesure de positionner Zhou Yongkang, un autre de ses hommes aux mains tâchées de sang, à la place de Luo Gan en première position au sein du Comité permanent du Politburo — et de garantir ainsi la poursuite de la persécution du Falun Gong. L’étape suivante pour Jiang Zemin était d’initier un programme avec Zhou Yongkang et Bo Xilai pour préparer un coup d’État et se débarrasser de Xi Jinping en 2014.

(4) Troubles au sein de la population et multiplication des plaintes

Aujourd’hui, la Chine déborde de mécontentements et d’agitation sociale. C’est non seulement la conséquence directe de la persécution du Falun Gong, mais aussi une situation délibérément fabriquée par le Comité des Affaires politiques et législatives.

On peut dire qu’aussi longtemps qu’il y aura un semblant de justice sociale, les mauvaises intentions de Jiang Zemin d’éradiquer un collectif si important de la population ne pourront aboutir. Dans une société saine, des principes tels que : la liberté d’expression, la liberté de croyance, la liberté de la presse, la liberté de réunion, la liberté d’opinion et la liberté de manifester, la liberté d’avoir un système judiciaire indépendant, etc., sont autant de moyens de maintenir la justice sociale. La tâche première du Bureau 610 est d’être un obstacle qui entrave la justice sociale et retarde son développement.

Ainsi, la société chinoise est devenue une sorte de jungle où s’imposent des lois telles que « le plus fort survit » ou « le fort dévore le faible », et qui ne laissent aux victimes aucune possibilité d’être protégées ou de faire valoir leurs griefs. Les plaintes s’élèvent et s’accumulent, créant une situation semblable à une cocotte-minute soumise à une intense pression.

Ce genre de scénario est propice au Comité des Affaires politiques et législatives. Plus la situation est chaotique, plus le peuple va lui accorder de l’attention et des responsabilités et plus ses ressources seront accrues. Quand l’ensemble du régime communiste doit compter sur la persécution des pratiquants de Falun Gong pour se maintenir, le Comité des Affaires politiques et législatives devient alors l’autorité de contrôle la plus élevée. Actuellement, maintenir la stabilité du PCC représente pour le pays un budget de 700 milliards de yuans RMB, soit environ 95 milliards d’euros chaque année. La somme dépasse celle allouée par le gouvernement aux dépenses militaires.[9]

Le fait que le Comité des Affaires politiques et législatives puisse être sollicité à tout moment pour mobiliser la police armée dans la répression des troubles civils, et que les procédures de mobilisation militaire soient complexes accroît le pouvoir de ce Comité qui peut alors composer avec la Commission militaire.

Jiang Zemin a utilisé le Comité des Affaires politiques et législatives comme moyen de promouvoir l’ascension de Bo Xilai au sommet des marches du pouvoir, car c’était précisément la seule garantie pour que Bo Xilai détienne le pouvoir absolu.

Conclusion

De la création du Bureau 610 en 1999, à la réélection forcée de Jiang Zemin en tant que président du Comité militaire en 2002, de l’ajout délibéré de deux nouveaux membres au Comité permanent du Politburo (l’un chargé de la « politique et du droit » et l’autre de « la publicité et de la propagande ») au cours du 16eme Congrès national de 2002, à l’abolition du pouvoir central de Hu Jintao par la transformation du Comité permanent en un système « oligarchique », du renforcement des pouvoirs du Comité permanent du Politburo et de l’augmentation des dépenses liées au « maintien de la stabilité », par la création d’une deuxième autorité centrale, à la planification minutieuse des assassinats et des putschs ; les réajustements de la structure du pouvoir par le PCC au cours des quinze dernières années, ont tous été conçus pour protéger les ressources dédiées à la répression du Falun Gong.

Le PCC monopolise toutes les ressources publiques et dispose d’un pouvoir absolu, sans restriction, alors que la communauté internationale continue d’investir des capitaux importants en Chine grâce à l’investissement, le commerce, et aux bonnes relations. Quoi qu’il en soit, les dépenses allouées à cette persécution et les questions connexes qu’elle génère sont telles que même la Chine, deuxième puissance économique mondiale de par son PIB, semble débordée.

Étant donné que la base de la persécution du Falun Gong est de détruire les mécanismes qui maintiennent la société en s’attaquant à l’esprit de compassion et à la bonté et en encourageant les mauvaises actions, il en résulte que les victimes ne sont pas seulement les pratiquants de Falun Gong, mais la société toute entière qui est confrontée à l’insécurité. À l’heure actuelle, les responsables gouvernementaux et la population sont dans des camps opposés. Il existe, en outre, la question des problèmes environnementaux et sociaux provoqués par la décadence morale au niveau national et qui sont directement liés à la persécution.

Dans l’histoire de la Chine, quatre empereurs avaient pris des mesures désastreuses pour annihiler le bouddhisme, mais aucun de ces incidents n’a duré plus de six ans ou n’a couvert davantage qu’une zone géographique limitée. De même, en Occident, les chrétiens ont été persécutés par l’Empire romain. Cependant ni la Chine ancienne ni l’Empire romain n’avaient la capacité de contrôler tous les aspects de la société, ni de garantir une gamme complète de dispositifs de sécurité organisationnelle et financière, comme il en est du PCC. En outre, ce dernier a le pouvoir de verser les ressources de toute la nation dans la mise en œuvre exclusive de la persécution, avec une large gamme de procédés extrêmes de tortures et de lavages de cerveau, tout en bénéficiant de la protection de l’armée et de la police armée, pour organiser à grande échelle des prélèvements d’organes sur les pratiquants de Falun Gong – et tirer profit de ces assassinats.

Après 17 années d’activités de persécution et de contre-persécution, la situation apparaît clairement : les manifestations du Falun Gong contre la persécution se poursuivent et persistent, tandis que le régime chinois n’est plus en mesure de maintenir le statu quo et se trouve au bord de la désintégration.

Dans toute l’histoire de la civilisation humaine, pas un seul empire n’a duré plus de mille ans, en revanche il y a eu des croyances qui ont duré plus d’un millénaire. Aussi dénuée de conscience que la persécution puisse paraître, la rétribution du bien et du mal finira par se manifester.

[1] Les correspondants à Pékin de l’agence de presse japonaise Kyodo News ont déclaré : « Il semble qu’outre l’enquête pour corruption, Zhou Yongkang aura probablement à faire face à des enquêtes au sujet d’un coup d’État. »

http://www.bbc.co.uk/zhongwen/simp/china/2014/07/140730_zhou_ yongkang_japan.shtml

[2] CNNIC a annoncé la distribution des exportations internationales du réseau Internet de Chine (CIN) à la fin de juin 2013. La bande passante internationale d’exportation totale du principal réseau internet de base de CIN avait atteint 2,098 150 Mbps.

http://data.lmtw.com/yjjg/201307/91967.html

[3] Un test de proxy de l’Université de Harvard montre que les sites Internet liés au Falun Gong sont la cible du plus important blocus Internet de la part du PCC.

http://cyber.law.harvard.edu/publications/2005/Internet_Filtering_in_China_ in_2004_2005

https://opennet.net/studies/china#toc4a

[4] Recueil des rapports sur la persécution du Falun Gong de l’Organisation mondiale pour enquêter sur la persécution du Falun Gong (WOIPFG).

http://www.zhuichaguoji.org/node/23256

[5] Rapport d’enquête sur l’implication systématique du « Bureau 610 » dans la persécution du Falun Gong

http://www.zhuichaguoji.org/node/23202

[6] Sur le Ring http://www.washingtontimes.com/news/2001/mar/09/20010309-021538-9115r/

[7] En 2002, Liu Jing a révélé des divergences internes au sein de la direction du PCC au sujet de la répression du Falun Gong.

http://www.epochtimes.com/gb/12/4/9/n3560912.htm

[8] Le secret derrière les trois rencontres pour l’effroyable assassinat de Hu Jintao.

http://www.epochtimes.com/gb/12/5/27/n3598251.htm

[9] Les points de vue du Congrès national du peuple et de la Conférence consultative politique du peuple chinois sur les dépenses militaires chinoises et les frais de « maintien de la stabilité »

http://www.bbc.co.uk/zhongwen/simp/china/2014/03/140305_ana_china_npc_ army.shtml

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