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Un bâtiment du marché de Rungis transformé en morgue pour accueillir les victimes du virus du PCC

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Marché international de Rungis en banlieu parisienne.

Photo: : MARTIN BUREAU/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

Un hall du marché de Rungis dans le Val-de-Marne, le premier marché de France, a été réquisitionné jeudi 2 avril pour accueillir les cercueils des victimes du virus du PCC, a annoncé la préfecture de police.
Il pourra « accueillir les premiers cercueils dès ce vendredi et les familles pourront y avoir accès à compter de lundi », a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Le préfet de Police, Didier Lallement, a décidé d’ouvrir ce lieu « de grande capacité » pour répondre « aux besoins constatés et à venir » face à « la tension qui persiste sur l’ensemble de la chaîne funéraire, et qui devrait durer pendant plusieurs semaines encore », est-il précisé.
Epoch Times qualifie le nouveau coronavirus, à l’origine de la maladie COVID-19, de « virus du PCC » parce que la dissimulation et la gestion déplorable du Parti communiste chinois ont permis au virus de se propager dans toute la Chine avant d’être transmis dans le monde entier.

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Des conditions sanitaires « les plus dignes et acceptables »
Ce hall « excentré et isolé des autres pavillons » du marché de Rungis permettra de conserver, dans les conditions sanitaires « les plus dignes et acceptables », « les cercueils des défunts dans l’attente de leur inhumation ou crémation, en France ou à l’étranger ». Le lieu sera géré par un opérateur funéraire disposant de« toute l’expertise et de l’expérience requises pour accompagner les familles avec professionnalisme et humanité dans les moments difficiles qu’elles traversent », conclut la préfecture.
 Certains hôpitaux sont débordés par le nombre de décès, et l’un d’entre eux a dû louer en urgence deux camions réfrigérés pour conserver les corps. Le Haut-Rhin, premier foyer de l’épidémie, a constaté 38% de décès en plus par rapport à l’année dernière.
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