L’outil secret du communisme

Et pourquoi il arrive encore à monter les gens les uns contre les autres aujourd'hui

Par Joshua Philipp
10 novembre 2017 22:17 Mis à jour: 22 avril 2021 02:23

Malgré les nombreux progrès qu’il a fait naître, le 20e siècle a été le plus violent de toute l’histoire de l’humanité. L’écrasante majorité des violences qui l’ont ensanglanté et ont causé plus de 100 millions de morts, ont été causées par le communisme. Pourtant, cette idéologie politique reste présente à l’esprit de nombreuses personnes, et est encore acceptée dans nos sociétés.

Le communisme tente de séduire par l’apparence de la bonté et de la justice. Il veut convaincre qu’il représente la tolérance, le souci pour son prochain et qu’il a l’intention d’amener les gens au bonheur. Mais que ce bonheur ne peut être atteint que par l’éradication d’une partie de la société.

L’utilisation de la censure et de la répression a été la marque de fabrique de tous les systèmes communistes de l’histoire ; la promesse d’apporter la joie à travers la destruction de toute hiérarchie sociale s’est par contre toujours avérée être un mensonge. Le communisme a conduit de façon répétée à la famine, à l’oppression et au génocide. Pourtant, il jouit aujourd’hui encore d’une certaine popularité.

Pour comprendre pourquoi le communisme persiste, nous devons d’abord comprendre quel est l’outil fondamental qui lui permet de créer des révolutions violentes (et de convaincre les gens de se retourner les uns contre les autres). Et comment il utilise cet outil pour produire des leviers politiques, ce qui donne ensuite à ses partisans la possibilité de progressivement prendre le contrôle de la société.

La Fête de l’humanité, le 15 septembre 2007, Paris (crédit Olivier Peel Flickr)

Cet outil est la dialectique communiste, connue sous le nom de matérialisme dialectique. La dialectique est une méthode de raisonnement entre deux parties. Le matérialisme dialectique est utilisé pour formuler la vision communiste du monde, en réinterprétant toutes choses à travers un prisme absolument athée et basé sur la lutte.

Vladimir Lénine, le fondateur de l’Union soviétique, a décrit cette vision dialectique communiste comme étant la vérité dans un article paru en juin 1920 dans le journal communiste international Kommunismus : « Ce qui constitue l’essentiel, l’âme vivante du marxisme, l’analyse concrète d’une situation concrète. »

Les dirigeants communistes, en utilisant cette dialectique comme méthode pour analyser chaque problème, ont réécrit l’histoire de ce point de vue. Ils ont souligné l’importance de l’étude de la dialectique de Lénine et l’ont appliquée à l’histoire de la pensée humaine, de la science et de la technologie. Le successeur de Lénine, Joseph Staline, écrivait en 1938 que « le matérialisme dialectique est la vision du monde du parti marxiste-léniniste ».

Saul Alinksy, le maître à penser de la gauche radicale américaine, en 1963. L’agitateur professionnel a écrit Rules for Radicals, un livre qu’il a dédié à Lucifer et dans lequel il fourni les stratégies utilisées par les extrémistes de la gauche radicale. (CC BY-SA 4.0)

Le pape Pie XII, qui excommuniera plus tard tout catholique professant la doctrine du communisme, a décrit la nature de la dialectique communiste dans l’encyclique Sur le communisme athée en mars 1937.

Il y déclare que le matérialisme dialectique est l’outil utilisé par les communistes pour « exacerber les antagonismes » entre les différentes parties de la société. Il renferme l’idée que « le conflit qui porte le monde vers sa synthèse finale peut être accéléré par l’homme. C’est pourquoi ils s’efforcent de renforcer les antagonismes qui surgissent entre les diverses classes de la société. Ainsi, la lutte de classe avec sa haine et sa destruction violente, prend les aspects d’une croisade pour le progrès de l’humanité ».

La dialectique communiste, ajoutait-il, est aussi l’outil clé de la nature violente inhérente à cette idéologie. Elle préconise que tout ce qui résiste à la « violence systématique » soit anéanti.

Portrait du pape Pie XII, 1876-1958 (Crédit photo Wikipedia)

Un discours biaisé

Les formes traditionnelles de la dialectique, comme celle pratiquée par Socrate, cherchent à découvrir la vérité grâce à un échange d’arguments rationnels entre deux parties.

Parallèlement à cela, le philosophe allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel a posé les principes du matérialisme dialectique, qui ont ensuite été modifiés au cours de l’histoire par les dirigeants communistes, à commencer par Karl Marx, pour mieux répondre à leurs objectifs. En 1908, Lénine écrivait dans Matérialisme et empiriocriticisme que le terme « matérialisme dialectique » a été inventé par le philosophe communiste tchèque-autrichien Karl Kautsky et n’a été popularisé qu’après la mort de Marx et de Friedrich Engels.

La thèse centrale de la théorie de Hegel utilisée par le communisme, est que « la contradiction fait avancer ». Marx et Engels ont repris cet argument en modifiant la théorie de Hegel dans son ensemble. D’abord, en supprimant tous les éléments ne se rapportant pas au matérialisme, y compris la part qui concerne la religion et la morale.

Staline a écrit en 1938 dans son ouvrage Le matérialisme dialectique et historique, que Marx et Engels ont seulement retenu de la dialectique hégélienne son « noyau rationnel » et écarté tous ses idéaux moraux.

Staline décrivait cette nouvelle dialectique comme reposant uniquement sur le rejet du divin. Il ajoutait que la dialectique de Marx écarte les idées de Hegel sur l’« esprit universel » et la « conscience », et considère plutôt toute vie comme uniquement faite de « matière en mouvement ».

Les statues en bronze de Marx et d’Engels à Berlin, le 22 aout 2011. (Crédit photo Flickr)

L’inversion comme stratégie

Alors que la dialectique traditionnelle vise à comprendre la vérité et à unir en considérant les deux aspects d’une question, le matérialisme dialectique fait le contraire : Il examine différents sujets de la société et en identifie les opposés. Il considère alors ces points de vue contraires et radicaux comme « communistes » et les établit comme absolus et incontestables.

Mao Zedong, un des membres historiques du Parti communiste chinois, a basé sa dialectique sur l’inversion de nombreuses croyances religieuses et sociales des systèmes orientaux.

Il l’a décrit une fois comme utilisant une vue inversée de la théorie taoïste du Tao (ou yin et yang). Dans cette ancienne théorie,  les deux côtés opposés d’un élément sont considérés comme se complétant et s’harmonisant l’un l’autre, de sorte que deux deviennent un. Dans le livre Travaux choisis de Mao Zedong, Mao Zedong décrit ce principe comme étant deux forces opposées constamment en conflit entre elles, et que selon cette logique : « Un devient deux, deux devient quatre ». En d’autres termes, étape par étape, l’unité se divise.

La doctrine de Mao de « un devient deux » est le cœur de la vision révolutionnaire communiste, basée sur l’idée que, à la place de l’harmonie, le communisme doit inciter à la lutte entre parties, qu’il s’agisse de races, de classes sociales et même à l’intérieur d’un couple marié.

Sous l’angle de la dialectique communiste, l’objectif est que les individus remplacent leur croyance par l’athéisme, et l’harmonie par la lutte.

D’après le livre The Sword of the Revolution and the Communist Apocalypse de l’écrivain américain Cliff Kincaid, tous les dirigeants communistes ont adhéré à la pensée de Lénine selon laquelle le « cœur » de la dialectique est l’utilisation des contradictions.

Kincaid écrivait: « Les Soviets ont résumé le principe de la dialectique comme une ‘division en opposés’, alors que Mao Zedong a finalement exprimé toute la complexité de la logique dialectique dans l’expression ‘un devient deux’. »

Kincaid cite Alexander Markovsky, un émigré russe qui a étudié le marxisme-léninisme dans l’ex-Union soviétique : « Dans le monde du matérialisme dialectique marxiste, le changement résulte d’un conflit permanent entre les contraires, découlant des contradictions internes inhérentes à chaque événement, idée ou mouvement. Par conséquent, tout changement significatif dans une société, selon le marxisme, doit s’accompagner d’une période de révolte. »

En 1928, le théoricien marxiste Georgi Valentinovich Plekhanov écrivait dans Dialectique et Logique que la dialectique communiste suit trois lois: identifier, contredire et « exclure le milieu ».

L’approche de Plekhanov permet aux communistes de fabriquer des objets de litige en commençant par identifier un problème par développement matériel, en le « contredisant » ou l’inversant, puis en « excluant le milieu » en repoussant tout aux deux extrêmes, ce qui élimine la vaste diversité des points de vue modérés.

« Exclure le milieu » s’oppose à la sagesse séculaire partagée par les systèmes de croyances traditionnels comme ceux d’Aristote à Djalâl ad-Dîn Rûmî, et de Sakyamuni à Salomon. Ces théories traditionnelles reflètent ce que Lao Tzeu exprimait par: « Le mieux est de suivre la voie du milieu ».

Le communisme est basé sur l’idée que ses opinions sont une Utopie et l’aboutissement de tout développement. Marx soutenait que la lutte engendre l’évolution sociale et que le communisme en représentait l’aboutissement. Son système communiste incite donc à la lutte pour accélérer ce processus – qui nécessite l’effondrement économique, social et moral.

Pour cela, il utilise le matérialisme dialectique afin de créer une vérité inversée et de  la propager pour semer la discorde et détruire les traditions et les normes sociales.

L’idée d’ « exclure le milieu » suit l’idée d’  « Esprit de Parti » de Lénine ; toutes deux sont basées sur ses perspectives « utopiques ». Lénine classait chaque personne en seulement deux groupes : ceux qui soutenaient la révolution communiste et les autres, y compris les passifs et ceux défavorables à toute destruction.

Avec le matérialisme dialectique comme rouleau compresseur, les communistes ne lâchent rien. Si la partie adverse fait un compromis, ils gagnent du terrain. Ensuite ils maintiennent sans relâche la pression pendant que le camp adverse s’effrite progressivement. Lorsque la révolution violente échoue, le but du communisme est d’abord de pousser vers la « tolérance », puis vers « l’acceptation », et finalement vers « l’adoption » forcée.

Au cours de ce processus, chaque opposant reçoit une étiquette politique, ce qui lui permet d’être ensuite pris pour cible par les alliés des communistes. C’est le principe du « politiquement correct » formulé par Mao en 1957 et de son effort continu pour établir une autre perspective morale basée sur les objectifs politiques du régime communiste — avec inversion dialectique des problèmes, depuis leur racine.

Un manifestant d’extrême-gauche tient des pavés devant un graffiti sur lesquels on peut lire « Le désordre est impératif » avec le symbole anarchiste en dessous, lors du sommet du G-8 à Gênes, en Italie, en 2001. (SEAN GALLUP / GETTY IMAGES)

Une vision négative du monde

La vision communiste du monde, et de tous ses problèmes, est formée par l’inversion — avec l’aide du matérialisme dialectique comme outil.

Par le prisme de cette dialectique, la perception communiste du monde est d’une négativité envahissante. Son but est de modifier la perception d’une personne de manière à ce que tous ceux qui suivent sa doctrine interprètent les problèmes de façon inversée et prennent le chemin de cette inversion.

Comprendre ce point nécessite quelques explications : Nous avons tous une perception différente du monde qui nous entoure. Deux personnes qui regardent le même événement peuvent l’interpréter de façons différentes,  en fonction de leurs perceptions, façonnées par leur culture, leurs expériences, leur éducation et leurs croyances.

Le communisme cherche à changer la perception de chaque personne et à lui inculquer une « vision communiste du monde » via le matérialisme dialectique, qui inverse les normes sociales et ne fait ressortir que les points de vue négatifs.

Selon Kincaid, la dialectique communiste engendre une lutte contre les normes sociales en utilisant la logique de contradiction, qui suit le principe communiste de « lutte des contraires ».

D’après lui, pour que le communisme prenne le pouvoir, ses concepts inversés doivent détruire les anciennes conceptions de la société. En raison du fonctionnement du matérialisme dialectique et de la manière dont sont identifiés les sujets que les communistes combattent ou défendent, les stratégies et les politiques des mouvements communistes peuvent grandement différer d’un pays à l’autre.

Kincaid cite The Penkovsky Papers qu’Oleg Penkovsky a écrit en 1965 pour décrire le contraste de la pensée entre les penseurs dialectiques soviétiques et les autres.

Penkovsky disait qu’en donnant les mêmes informations à des généraux des Etats-Unis, de Grande-Bretagne et d’Union soviétique, « l’Américain et l’Anglais pourraient arriver à la même conclusion […] mais le général soviétique arrivera à des conclusions radicalement différentes des deux autres.»

C’est « parce qu’il utilise la dialectique marxiste, le processus logique de son esprit est totalement différent de celui de ses homologues occidentaux qui utiliseront une certaine forme de raisonnement déductif », écrivait Penkovsky.

Affiche « Arrachons le pouvoir » en 2012, France. (Crédit photo Flickr)

Une idéologie sombre

L’un des principaux changements que Marx et Engels ont opéré à la dialectique de Hegel, pour former la dialectique communiste, a été d’en éliminer tous les éléments spirituels. Pourtant, même en analysant le matérialisme dialectique d’un point de vue strictement anthropologique, il révèle une croyance sombre et destructrice.

Les méthodes d’inversion utilisées dans la dialectique communiste ne sont pas nouvelles. L’utilisation d’inversions pour créer des compréhensions alternatives a été un élément essentiel des pratiques occultes sombres qui construisent leurs croyances en inversant les interprétations et perceptions des pratiques traditionnelles.

Le concept d’inversion a été détaillé par le Centre de recherche sur le terrorisme dans un livre de 2016 : Blood Sacrifices: Violent Non-State Actors and Dark Magico-Religious Activities, édité par Robert J. Bunker (futurologue en résidence à l’Académie du FBI en Virginie en 2015 et professeur à l’Institut d’études stratégiques de l’US Army War College.) Le terme « magico » se réfère ici à la perception et à l’intention derrière les activités cérémonielles.

Il déclare que « nous, en tant qu’espèce, ne percevons pas une réalité objective, mais plutôt une série de schémas symboliques limités, médiatisés et liés, que nous, en tant qu’individus, supposons être la ‘réalité’ ».

Il affirme que nos perceptions de la réalité peuvent être modifiées par des systèmes externes qui influencent la façon dont nous interprétons le sens des questions, des événements ou des objets en tant que « symboles » dans le «processus de signification» de nos propres pensées.

Dans ces systèmes, l’idée de « magie criminelle » est décrite comme étant celle qui renforce la perception « qui agit comme une vision du monde s’opposant à celle qui domine socialement ».

Par exemple, un système qui s’oppose à la vision religieuse du monde inclurait des choses qui violent le point de vue religieux sur ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. Cela pourrait aller jusqu’à inclure « le vol d’enfants, le meurtre rituel et le cannibalisme. »

Si on applique ce concept à la géopolitique mondiale, l’élément de « magie criminelle » s’articulerait alors autour de la « perturbation et du renversement de l’ordre social, de la profanation de la tradition ou de l’histoire, et de l’inversion de la morale sociale ».

La forme la plus importante et la plus « dangereuse » de ces systèmes est « celui qui inverse les composantes essentielles de la vision du monde de chacun, dans le but spécifique d’acquérir la domination et le pouvoir par la peur et la terreur. […] Ce type de magie criminelle de type 2 est mentionnée par de nombreux occultistes comme le chemin de la main gauche ».

Le « chemin de la main gauche » ressemble étrangement aux méthodes dialectiques communistes pour engendrer la révolution.

Le professeur explique que le « chemin de la main gauche » n’hésite pas à sacrifier ses propres membres pour les utiliser comme des « pions à manipuler, à utiliser, et à jeter ». Ce sont, par exemple, les « idiots utiles » cités par Lénine, idéalistes qui aident les régimes communistes à prendre le pouvoir, quitte à mourir après sous ce même régime.

La magie noire encourage également ses partisans à devenir « de facto des sociopathes ». Ce que nous retrouvons dans le communisme par son rejet de la morale et sa croyance du besoin de générer la souffrance humaine pour faire avancer ses objectifs.

Le chemin de la main gauche « met en danger la survie de toute la société et de sa vision du monde » en dégradant intentionnellement la confiance dans les visions du monde existantes et en s’efforçant de contenir et de détruire celles qui s’opposent aux siennes.

La nature de cet outil

La nature de la dialectique communiste – l’inversions idéologique et la création de révolutions par le « chemin de la main gauche » a amené de nombreux écrivains à souligner ses similitudes avec le satanisme qui, dans ses formes originales, s’est développé en inversant les mœurs, les cérémonies du christianisme et du catholicisme.

Selon le livre Marx et Satan de Richard Wurmbrand, l’un des traits de la magie noire est l’inversion des noms et « les inversions en général imprégnaient tellement la manière de penser de Marx qu’il les utilisait partout. Il a répondu au livre de Proudhon La philosophie de la misère par un autre livre intitulé La misère de la philosophie. Il a aussi écrit : « Nous devons plutôt utiliser la critique des armes que l’arme de la critique. »

L’auteur a observé ces traits d’inversion dans la dialectique communiste en action. Mais il a également vu juste sur la nature de cette technique : elle est une chose qui, en fait, se rattache fondamentalement aux pratiques occultes, définies comme « démoniaques » d’un point de vue religieux.

Marc Tyrell, anthropologue symbolique et co-auteur de Blood Sacrifices, a expliqué dans un courriel qu’il décrit la théorie marxiste à ses étudiants comme « la dernière, grande hérésie chrétienne, puisqu’elle inverse beaucoup des structures mythiques du christianisme ».

Il a ajouté cependant que « les modes opératoires précèdent de beaucoup le christianisme » et que l’idéologie communiste peut être attribuée à des idéologies occultes plus anciennes.

Selon Tyrell, les idées de « bien » et de « mal » ne sont pas nécessairement binaires, puisque ces deux perceptions peuvent changer selon les points de vue sociaux, religieux et personnels. Pour expliquer plus clairement les différences entre le chemin de la main droite et le chemin de la main gauche, il les compare à des notions polaires telles que « Ordre et Chaos », « Droit et Anarchie » et « Prévisibilité et Incertitude ».

L’auteur décrit le chemin de la main gauche comme un « empoisonnement par le  chaos, l’anarchie et l’incertitude; l’évocation délibérée et la manipulation de ces réactions pour le gain personnel ». D’un point de vue spirituel, « il peut complètement détruire l’âme de ceux qui la suive », dit-il.

« Le Cambodge est probablement le meilleur exemple» d’un système de chemin de la main gauche », explique-t-il, en se référant aux communistes khmers rouges qui ont quasiment tué un tiers de la population du pays. Puis, il ajoute : « Nous pouvons trouver des exemples similaires dans presque tous les pays communistes ».

 

On estime que le communisme a tué au moins 100 millions de personnes, bien que ses crimes ne soient pas complétement recensés et que cette idéologie persiste toujours. Epoch Times s’attache à exposer l’histoire et les croyances de cette doctrine, qui a servi de base à la tyrannie et à la destruction des peuples depuis son émergence. On peut trouver la série complète de ces articles dans la rubrique « Histoire cachée du communisme ».

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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