Tennis: Swiatek abandonne en quarts de finale à Rome, à dix jours de Roland-Garros

Par Epoch Times avec AFP
17 mai 2023 23:10 Mis à jour: 18 mai 2023 06:57

La N.1 mondiale Iga Swiatek a abandonné, visiblement touchée au genou droit, au cours du troisième set de son quart de finale contre la N.6 mondiale Elena Rybakina à Rome mercredi soir, à dix jours de Roland-Garros (28 mai-11 juin).

Swiatek a renoncé à continuer à 2 jeux partout dans la manche décisive, après avoir remporté la première 6-2 et perdu la deuxième au tie-break, 7 points à 3. C’est au cours du jeu décisif, sur une course en position de défense, à 5 points à 3, que la Polonaise de 21 ans a manifestement ressenti une douleur au genou.

Simple précaution à l’approche de Roland-Garros, dont elle est tenante du trophée, ou blessure plus sérieuse? Il faudra patienter pour en savoir plus.

Swiatek semblait partie pour une victoire de plus sans encombre, quand elle s’est échappée 6-2, 4-2. Mais la Kazakhe, qui ne lui réussit décidément pas, a trouvé les ressources pour revenir dans la partie et égaliser à une manche partout, au-delà de minuit.

La N.1 mondiale connaissait jusque-là une saison sur terre battue, sa surface de prédilection, quasi idéale, avec un titre à Stuttgart (Allemagne) et une finale à Madrid, perdue contre la N.2 mondiale Aryna Sabalenka.

Swiatek était double tenante du titre dans la capitale italienne.

Pour une place en finale, Rybakina affrontera la Lettonne Jelena Ostapenko (20e), elle lauréate de Roland-Garros en 2017. L’autre demi-finale opposera l’Ukrainienne Anhelina Kalinina (47e) et la Russe Veronika Kudermetova (12e).

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.