Un homme stationné sur un parking agressé par six adolescents armés d’un tournevis et d’une bombe de déodorant près du Havre

Par Robin Lefebvre
3 avril 2024 13:52 Mis à jour: 3 avril 2024 13:52

Samedi 30 mars, en milieu d’après-midi, un trentenaire a été pris à partie par six adolescents armés d’un tournevis et d’une bombe de déodorant sur le parking d’une piscine, près du Havre. Ces derniers tentaient de le voler.

Heureusement que les forces de l’ordre n’étaient pas loin. Ce 30 mars, à Montivilliers, près du Havre (Seine-Maritime), un homme de 35 ans a été victime de violences de la part d’un groupe de jeunes voyous, rapporte Actu.fr.

Il est aux alentours de 15h15 quand la police et la BAC (brigade anticriminalité) sont alertées. Un trentenaire, stationné sur le parking de la piscine Belle Étoile, est agressé par six adolescents qui « tentent de l’extorquer », précise une source policière.

Deux commencent à le frapper, alors qu’il est au volant, et quatre autres font « le guet ». Arrivés, les agents de la BAC s’approchent « discrètement », détaille une source policière. Voyant les policiers fondre sur eux, les mal élevés cherchent à décamper, mais sont piégés par la BAC, cachée à proximité.

Armés de tournevis

Ils parviennent à interpeller quatre adolescents, dont les deux soupçonnés d’avoir porté des coups. Tous ont entre 14 et 15 ans. Les policiers découvrent non seulement que ces malfrats en devenir ont utilisé une bombe de déodorant comme un gaz lacrymogène, mais aussi qu’ils étaient armés d’un tournevis. Ils ont finalement été placés en garde à vue pour tentative d’extorsion avec arme en réunion.

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.