Appréhendé alors qu’il passait la soirée avec sa compagne et un couple d’amis, le mis en cause a insulté les militaires avant de cracher dans leur véhicule.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 avril à Aubignan. Le Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Carpentras a dû intervenir dans le cadre d’une soirée entre deux couples particulièrement alcoolisés qui venait de dégénérer.
Une fois sur les lieux, les militaires ont été copieusement injuriés par l’un des protagonistes. Incontrôlable, l’homme a commencé ensuite à cracher sur le sol en affirmant qu’il était contaminé par le virus du Parti communiste chinois (PCC), connu sous le nom de nouveau coronavirus.
Les gendarmes l’ont finalement appréhendé pour outrage avant de le placer en garde à vue. Loin de se calmer, le suspect a continué à cracher sur les vitres du véhicule des militaires pendant le trajet vers l’hôpital où il devait passer une visite médicale. Il aurait recommencé une fois dans sa cellule.
Durant son trajet à l’hôpital pour la visite médicale, il a menacé de mort un personnel et a craché à plusieurs reprises sur la vitre du véhicule des militaires…
https://t.co/OtjqZZ6RNw— La Provence (@laprovence) April 21, 2020
Un comportement qui lui vaut d’être poursuivi pour outrage et menaces envers les forces de l’ordre, ainsi que pour mise en danger par violation manifestement délibérée d’une obligation de sécurité ou de prudence.
Selon La Provence, le mis en cause était recherché depuis décembre 2019 pour refus d’obtempérer et conduite malgré l’annulation de son permis de conduire.
Il devra répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel de Carpentras au mois d’octobre.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.
