Dernière calamité en date: le syndrome de la mort subite de l’adulte

Par Joseph Mercola
30 juin 2022 17:02 Mis à jour: 30 juin 2022 17:02

Les médias du monde entier ont commencé à mettre en lumière un phénomène médical appelé « syndrome de mort subite de l’adulte » (SADS) – des personnes qui meurent sans aucun signe de maladie ou de problème de santé sous‑jacent. Elles s’effondrent simplement pendant la journée ou ne se réveillent pas le matin. Le SADS n’est pas un phénomène nouveau, mais l’augmentation soudaine de cet événement rare jusqu’alors est inquiétante.

Résumé

  • ‑ Ces dernières semaines, les médias du monde entier ont commencé à mettre en avant un phénomène médical appelé « syndrome de mort subite de l’adulte », ou SADS. Les médias se démènent manifestement pour masquer la réalité des décès liés aux vaccins anti‑Covid. Il est plus acceptable d’accuser les stéroïdes, par exemple.
  • ‑ Les facteurs sous‑jacents du SADS : des myocardites non diagnostiquées, des conditions inflammatoires et d’autres circonstances qui provoquent des irrégularités dans le système électrique du cœur, déclenchant ainsi un arrêt cardiaque.
  • ‑ Si le SADS était connu auparavant, ce qui est nouveau, c’est la fréquence de cet accident cardio‑vascuaire auparavant rare. En Australie, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute met en place un nouveau registre SADS « pour collecter plus d’informations » sur le phénomène.
  • ‑ Les données compilées par le Comité international olympique font état de 1101 morts subites chez des athlètes de moins de 35 ans entre 1966 et 2004, ce qui nous donne un taux annuel moyen de 29, tous sports confondus. Cependant, entre mars 2021 et mars 2022 (une seule année) au moins 769 athlètes ont subi un arrêt cardiaque, se sont effondrés et/ou sont morts sur le terrain, dans le monde entier.
  • ‑ Parmi les athlètes de la FIFA, les décès soudains ont augmenté de 420% en 2021. Jusque‑là, chaque année, environ cinq joueurs de football mourraient en pratiquant ce sport. Entre janvier et mi‑novembre 2021, 21 joueurs de la FIFA se sont effondrés et sont morts subitement.

SADS est l’acronyme du terme anglais « sudden adult death syndrome » ou « sudden arrhythmic death syndrome ». [1] Ce syndrome a été identifié pour la première fois en 1977. Les facteurs sous‑jacents du SADS (qu’il s’agisse de la mort subite de l’adulte ou d’une arythmie) comprennent une myocardite non diagnostiquée, des conditions inflammatoires et d’autres circonstances qui provoquent des irrégularités dans le système électrique du cœur, déclenchant ainsi un arrêt cardiaque. [2] [3] [4]

Chronologie de la fréquence du SADS

Selon la British Heart Association, il y a environ 500 cas de décès liés aux SADS au Royaume‑Uni chaque année. [5] L’Office britannique des statistiques nationales (ONS), en revanche, fait état d’un nombre de décès beaucoup moins important. [6] L’ONS a recensé un total de 128 cas de SADS (tous groupes d’âge confondus, qu’ils soient répertoriés comme cardiaques ou inconnus) en 2016, 77 cas en 2017, 70 en 2018, 107 en 2019 et 139 cas en 2020.

Bien que les données sur l’incidence du SADS pour 2021 et 2022 soient difficiles à obtenir, l’incidence a apparemment suffisamment augmenté pour susciter des inquiétudes dans certains pays. Avant la pandémie, le SADS était l’acronyme de « sudden arrhythmia death syndrome », qui était rare et sur lequel peu de recherches étaient menées, si ce n’est pour mentionner qu’il représentait environ 30% des décès cardiaques inattendus chez les jeunes. [7]

Mais aujourd’hui, ce n’est plus si rare, et en général ce sont les stéroïdes qui sont mis en cause. Le nombre de morts subites chez les jeunes adultes s’accumule sur l’ensemble du monde. Les chiffres sont si inquiétants qu’en Australie, par exemple, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute a mis en place un nouveau registre SADS « pour collecter plus d’informations » sur le phénomène. [8] [9]

Selon un porte‑parole, il y a environ 750 cas de décès liés au SADS par an sur le registre du Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute concernant l’État de Victoria, touchant des personnes de moins de 50 ans. Aux États‑Unis, le nombre moyen de décès annuels parmi les enfants et les jeunes adultes dus au SADS serait d’environ 4000. [10]

Depuis le lancement des vaccins Covid, les nouvelles regorgent de rapports de personnes jeunes, en bonne santé et souvent athlétiques qui meurent « sans raison » et les médecins se disent « déconcertés » par ce phénomène. En Australie, les médecins et les scientifiques exhortent toutes les personnes de moins de 40 ans à faire contrôler leur cœur, même si elles sont en bonne santé et en pleine forme. [11]

Honnêtement, toute personne avec un minimum de bon sens peut clairement voir la corrélation entre les vaccins, dont on connaît bien maintenant la capacité à provoquer une inflammation cardiaque, et l’augmentation des morts subites chez des personnes jeunes et en bonne santé.

Malaises et décès de centaines d’athlètes suite aux vaccins

Parmi les athlètes, l’incidence de la mort subite se situait jusque‑là entre 1 sur 40.000 et 1 sur 80.000 [12]. Selon une étude [13] des décès parmi les athlètes de compétition entre 1980 et 2006 aux États‑Unis, il y a eu un total de 1866 athlètes qui se sont effondrés suite à un arrêt cardiaque et/ou sont décédés subitement. Ces 1866 cas couvrent une période de 27 ans, ce qui nous donne une moyenne annuelle de 69 cas aux États‑Unis.

Les chiffres [14] compilés par le Comité international olympique font état de 1101 décès soudains chez des athlètes de moins de 35 ans entre 1966 et 2004, soit un taux annuel moyen de 29 décès soudains, tous sports confondus. Or, rien qu’entre mars 2021 et mars 2022 (une seule année) au moins 769 athlètes ont eu un arrêt cardiaque, se sont effondrés et/ou sont morts sur le terrain, dans le monde entier. [15]

L’organisation Good Sciencing, qui tient le compte des décès d’athlètes suite aux vaccins, estime à 1090 le nombre d’arrêts cardiaques et à 715 le nombre total de décès. [16] Actuellement on attend la confirmation de vaccination de dizaines d’autres athlètes morts ou blessés subitement.

Parmi les athlètes de la FIFA, le nombre de morts subites a augmenté de 420% en 2021. [17] Jusque‑là, environ cinq joueurs de football mourraient en pratiquant ce sport chaque année. Entre janvier et mi‑novembre 2021, 21 joueurs de la FIFA se sont subitement effondrés.

Les vaccins anti‑Covid clairement associés à des lésions cardiaques

Un article d’opinion paru en avril 2022 dans la revue Frontiers in Sports and Active Living met en évidence la corrélation entre l’inflammation cardiaque induite par le vaccin anti‑Covid et la mort subite d’origine cardiaque chez les athlètes [18] :

« L’augmentation de la MCS [mort cardiaque subite] liée au Covid semble être due, au moins en partie, à des antécédents récents d’infection et/ou de vaccination qui induisent une atteinte inflammatoire et immunitaire qui blesse le cœur. »

« Un mode de vie malsain qui peut inclure une mauvaise alimentation ou un surentraînement peut probablement être un facteur contributif. L’incidence apparemment accrue de myocardite et de péricardite pendant le Covid‑19 et dans la période post‑vaccination, ainsi que de MCS [mort cardiaque subite], constitue un risque sérieux non seulement pour les athlètes mais aussi pour tous les autres et constitue un motif sérieux pour donner l’alerte. »

« À mesure que la population vieillit et que la popularité de la course à pied, du cyclisme et d’autres sports d’endurance augmente, la charge du risque de MCS peut potentiellement augmenter aussi. Un message de santé publique fort et clair devrait mettre l’accent sur la santé et la forme physique. »

Un signal qui ne peut être passé sous silence

Dans un article Substack du 13 juin 2022, le Dr Pierre Kory a également commenté cette dernière tentative d’expliquer les décès dus aux vaccins anti‑Covid. [19]

« J’ai récemment publié une compilation [20] de preuves bien référencées détaillant la catastrophe humanitaire historique qui s’est progressivement déployée à travers le monde dans la plupart des économies avancées avec un bon système de santé. Cette catastrophe a été le résultat d’une campagne mondiale de vaccination de masse menée par les experts en pharmacologie des BMGF/OMS/CDC qui ont ciblé de manière illogique (mais rentable) un coronavirus en mutation rapide. »

« Ils l’ont fait avec ce qui s’est avéré être la protéine la plus toxique utilisée à des fins thérapeutiques dans l’histoire de la médecine. Dans des flacons mélangés à des nanoparticules lipidiques, du polyéthylène glycol et qui sait quoi encore. »

« J’ai cité des études et des rapports montrant une augmentation massive des décès cardiovasculaires et des handicaps neurologiques (et autres) chez les adultes en âge de travailler, à partir de 2021 seulement. »

« Un signal inquiétant se dégage des statistiques originales des essais cliniques [21], des statistiques du VAERS [22], des statistiques des assurances‑vie [23], des statistiques liées aux invalides [24], des rapports sur les arrêts cardiaques d’athlètes professionnels [25], de l’augmentation des appels d’ambulance pour des arrêts cardiaques chez des gens trop jeunes gens pour subir une crise cardiaque [26], et de l’augmentation massive des maladies et des manipulations des statistiques [27] dans les bases de données du département de la Défense. »

« Ces événements étant toujours plus admis par le citoyen moyen (et les journalistes occasionnels), une nouvelle ‘campagne de désinformation’ pathétique a été lancée. Elle visait à faire passer le décès de tous ces jeunes gens pour un simple besoin de sensibilisation à une maladie rare appelée le syndrome de mort subite de l’adulte (SADS). En aucun cas ce ne pouvait être des exemples par légions de décès dus aux vaccins. »

« Les fact‑checkers ont également soutenu ce narratif, en qualifiant de conspirationnistes tous ceux estimant que les vaccins entraînent le SADS. »

« Ce qui est navrant, c’est le ton prétendument bien intentionné de ces articles. Si vous avez un lien de parenté avec quelqu’un de jeune mort soudainement, on vous informe que vous devriez aller voir un cardiologue et vous assurer que vous n’avez pas un ECG [électrocardiogramme] anormal. »

« Une fois qu’il s’avérera normal, ils vous diront certainement de vous faire vacciner, une absurdité au sommet d’une montagne d’absurdités dues au secteur bio‑médico‑médiatico‑ industriel depuis un peu plus de deux ans. »

Retour en force des maladies « réprimées par le Covid »

Les médias tentent également de faire croire que l’augmentation du nombre de maladies n’est pas liée aux vaccins Covid. « Les maladies réprimées pendant le Covid reviennent sous des formes nouvelles et bizarres », selon CNBC le 10 juin 2022. [28]

L’article poursuit en expliquant comment des virus autres que le SRAS‑CoV‑2 « réapparaissent maintenant de façon nouvelle et inhabituelle ». La grippe, le virus respiratoire syncytial (VRS), l’adénovirus, la tuberculose et la variole du singe ont tous « connu des pics et des comportements étranges au cours des derniers mois », note CNBC.

Aucune mention, cependant, de l’immunodéficience acquise par la vaccination (baisse de la fonction immunitaire). L’organisme devient plus vulnérable aux infections et aux maladies chroniques de toutes sortes, y compris les maladies auto‑immunes. [29] Stephanie Seneff, chercheuse au MIT, explique les mécanismes de ce phénomène dans « Covid Vaccines and Neurodegenerative Disease ». [Les vaccins Covid et les maladies neurodégénératives, ndt.]

Il a également été démontré que le vaccin Covid active des virus latents, notamment l’hépatite C [30], le cytomégalovirus [31], le virus de la varicelle et du zona [32] et le virus de l’herpès [33]. Il n’est pas surprenant que Moderna travaille actuellement sur un nouveau vaccin pour la « prévention du cytomégalovirus latent ». [34]

Il s’agit encore une fois d’un cas où un laboratoire pharmaceutique crée un « remède » contre un problème de santé initié par son propre produit. CNBC cite des « spécialistes de la santé » qui attribuent la baisse de l’immunité aux confinements Covid, au port du masque et aux vaccinations infantiles manquées. [35]

Les amputations de bras, de jambes, de doigts et d’orteils (conséquences des caillots sanguins post‑vaccinaux) sont également mises sur le compte d’une autre cause. [36] Dans ce cas, les médias accusent l’hypercholestérolémie [37], ignorant totalement le fait que l’hypercholestérolémie est répandue depuis des décennies mais les gens perdent leurs extrémités en nombre choquant depuis tout récemment seulement.

Quant à l’augmentation du nombre de caillots sanguins et d’accidents vasculaires cérébraux, elle est attribuée au tabagisme, à la grossesse et aux contraceptifs. [38] Pourtant, les caillots sanguins et les accidents vasculaires cérébraux figurent parmi les effets secondaires les plus courants des vaccins Covid. Le plus ridicule de tous, cependant, est l’affirmation selon laquelle un produit chimique « nouvellement découvert et hautement réactif » dans l’atmosphère terrestre est soupçonné de déclencher des maladies cardiaques. [39]

Quiconque possède ne serait‑ce que la moitié d’un cerveau, voit clairement comment les autorités et les médias se démènent pour détourner la responsabilité des coupables les plus évidents, à savoir les vaccins anti‑Covid.

Toutes ces maladies et affections imputées à diverses causes à tort et à travers, du cholestérol aux mystérieux produits chimiques atmosphériques, sont des effets secondaires connus du vaccin. Le problème est si évident qu’on ne peut même plus le contourner.

Rapports d’infirmières de première ligne

Dans son article Substack du 13 juin 202240, le Dr Pierre Kory partage également des informations privilégiées provenant d’une infirmière chevronnée en soins intensifs qui a souffert de lésions dues à la coagulation du sang, d’une hémorragie spontanée imparable et d’une hypertrophie des ganglions cervicaux après sa deuxième dose de Pfizer.

Elle a déposé un rapport auprès du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), qui a depuis disparu. Les numéros de lot des vaccins qu’elle a reçus étaient associés à de mauvaises réactions neurologiques et à la formation de caillots. Elle a également perdu accès à son hématologue‑oncologue à cause d’un vaccin.

Ce dernier n’avait qu’une quarantaine d’années, d’après son témoignage, pourtant il est désormais incapable de pratiquer. « Il y ‘croyait vraiment’ et il était dans le déni jusqu’à ce que ce soit lui qui soit atteint », a‑t‑elle expliqué au Dr Kory.

Le grand hôpital de cancérologie où elle travaille voit maintenant s’empiler des milliers de dossiers à traiter alors qu’auparavant le nombre moyen de dossiers se situait entre 250 et 400 par trimestre. L’hôpital manque de lits ou d’espaces de perfusion, et il a pris un grand retard dans les traitements par radiothérapie.

Toutes sortes de cancers apparaissent : cerveau, lymphe, estomac, pancréas, sang et cancers des YEUX. « Surtout chez les jeunes récemment vaccinés. » Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont en forte augmentation chez les personnes ne présentant aucun facteur de risque ou de comorbidité. Dans un mail au Dr Kory, elle écrit [41] :

« Questionnez‑moi sur quoi que ce soit. Je vous donnerais un scoop en interne provenant des étages et des chambres. Il faut que cela cesse. Ils doivent admettre la fraude et le crime et ARRÊTER. Il faut que les coupables soient tenus pour responsables et que les décrets prennent fin. Ils le SAVENT MAINTENANT et beaucoup le savaient déjà à l’époque. »

« Je ne sais pas si vous allez lire ceci, mais je vous suis tous sur Substack et Twitter (ceux qui ne sont pas encore bannis !) et je lis TOUS les chiffres. J’ai moi‑même été une souris de laboratoire à cause d’un problème lié à un accident de voiture il y a des années – je sais comment ça se passe. Il y a tellement d’imposture. »

Dans un autre mail, l’infirmière anonyme poursuit :

« Nous avons perdu 4 praticiens à cause des effets secondaires graves des rappels ‘fortement encouragés’. Deux d’entre eux ont été hospitalisés, un a été placé en unité de soins intensifs… Tous avaient entre 30 et 40 ans. Ils n’avaient pas besoin de rappels… Tous avaient déjà contracté le Covid, les anticorps N étant entièrement mesurables. »

Anomalies cardiaques en abondance

Ses collègues de l’unité de cardiologie signalent également « de nombreuses anomalies… qui n’ont jamais existé auparavant », notamment des thrombus massifs qui remplissent toute l’artère. Certains embaumeurs ont documenté ce phénomène inédit. [42] Ils ont également du mal à faire face au nombre sans précédent d’arrêts cardiaques. Le Dr Kori écrit [43] :

« Elle m’a dit… que dans certaines équipes de nuit, les infirmières voient plus d’arrêts cardiaques dans un seul service que jamais auparavant, et chez des patients d’un âge plus jeune que jamais. »

« Dans certains services, il y en a tellement que les chariots de réanimation roulent directement d’un arrêt à l’autre parce que la pharmacie, surtout pendant les postes de nuit, ne peut pas se réapprovisionner assez vite. Cette situation s’est produite peut‑être une fois dans toute ma carrière, lorsque deux arrêts cardiaques se sont produits au même étage ou dans la même unité dans un court laps de temps. »

Et si le personnel médical n’ose toujours pas s’exprimer publiquement, cette situation déplorable devient toujours plus tangible, omniprésente dans des conversations privées. Ici même, cependant, les infirmières parlent en code par peur des représailles, en se référant aux effets secondaires du Covid de manière vague, elles évoquent « ce problème ».

Désormais, a aussi raconté l’infirmière, le statut vaccinal est clairement indiqué en haut du premier écran du dossier médical lorsqu’on soupçonne ou sait que le vaccin est lié au problème « mystérieux » ou « complexe » du patient. Peut‑être est‑ce le signe d’un retour opportun à la réalité. Espérons‑le.

Article original du 20 juin 2022 sur Mercola.com

Sources et références

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Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

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