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Enlèvement ‘incompréhensible » d’un nourrisson en danger de mort

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Des journalistes se tiennent près d'un panneau indiquant l'entrée d'urgence de l'hôpital pour enfants Purpan à Toulouse, dans le sud de la France, sur la photo le 6 janvier 2018. Le procureur de Toulouse a alerté le public de l'enlèvement d'un nouveau né de 2 mois par son père. Le bébé nommé Tizio, en réanimation, a été pris le 5 janvier 2018 à l'hôpital Purpan de Toulouse par son père, un homme de 33 ans, selon le parquet.

Photo: REMY GABALDA / AFP / Getty Images

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Durée de lecture: 3 Min.

Un nourrisson de 2 mois en danger de mort a été kidnappé vendredi par son père à l’hôpital et une « alerte enlèvement » a été déclenchée samedi par le parquet de Toulouse (sud) pour retrouver Tizio.
Le petit garçon, alimenté par sondes gastriques et voies intraveineuses, « souffre d’une pathologie nécessitant la poursuite de soins immédiats, son pronostic vital est engagé à défaut de recevoir ces derniers dans les plus brefs délais », a précisé le parquet dans un communiqué.

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Le père de l’enfant, âgé de 33 ans, est un homme « grand, mince, porteur d’une barbe fournie et de cheveux longs bouclés bruns à noirs ». Il est susceptible de se déplacer à bord d’un véhicule Peugeot immatriculé dans le département de l’Ariège (sud).
La section de recherches de Toulouse a été chargée de l’enquête.

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Les parents de l’enfant, certes séparés, n’avaient a priori aucun problème. Ils s’entendaient bien. Et le père sans emploi passait tous les jours voir son petit garçon à l’hôpital.
 

Une pancarte indique ‘Alerte enlèvement – écouter la radio’ au-dessus du périphérique de Toulouse, le 6 janvier 2018. Le parquet de Toulouse a averti le -old infantile par son père d’un hôpital. Le bébé nommé Tizio, en réanimation, a été pris le 5 janvier 2018 à l’hôpital Purpan de Toulouse par son père, un homme de 33 ans, selon le parquet. (REMY GABALDA / AFP / Getty Images)

« Nous ne sommes pas dans le cas d’une volonté de soustraction d’un enfant par un parent », a estimé cette source proche du dossier, qualifiant cet enlèvement « d’incompréhensible ».

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(Captures d’écran Twitter)
R.B avec AFP