Septembre 2020 aura marqué un changement sociétal profond. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité nous avons contraint des enfants à porter un masque dès leur plus jeune âge, sans aucun recul possible sur l’application d’un tel dispositif médical, ni aucun suivi ou étude d’impact menés par les instances gouvernementales !
Après 2 ans, force est de constater que cette mesure n’était pas sans conséquence, comme l’avaient dénoncé de nombreux professionnels de la santé et de l’enfance dès fin 2020.
Nous lisons dans la presse à grand tirage les alertes des services pédopsychiatriques débordant d’enfants ayant fait des tentatives de suicide, et ce dès l’âge de 6 ans. Plus d’enfants sont morts par suicide que du Covid.
Le rapport de la commission d’enquête Numéro 3703 datant du 16 décembre 2020 pour mesurer et prévenir les conséquences de la crise sanitaire sur la santé des enfants et des jeunes était lui aussi édifiant.
Nous avons à cet effet rédigé un bilan d’impact traumatique des mesures sanitaires sur la santé mentale des enfants et des jeunes, reprenant tous les éléments sur le sujet.
La souffrance des enfants est reconnue par les instances elles–mêmes. Mais visiblement en France on imagine encore enrayer la dépression des jeunes avec un numéro vert pour les ados et une participation à la prise en charge des chèques psy, tout en continuant d’appliquer les mesures responsables de la détresse des enfants et des jeunes.
En effet, le gouvernement envisage toujours dans son nouveau protocole de masquer les enfants comme en population générale, en cas de regain épidémique, document disponible sur le site de l’Éducation Nationale. Que doit–on en déduire ? Nous demande–t–on d’accepter de masquer nos enfants tout en connaissant les conséquences désastreuses sur leur santé ? En somme, de consentir à la destruction mentale de nos enfants ?
Aussi, à la veille de la rentrée scolaire l’heure des grandes décisions arrive, l’indignation des familles grandit et à juste titre. Les parents ne sont pas dupes, et n’adhèrent plus ! Nous connaissons tous désormais les conséquences qui pèsent sur nos enfants.
Notre association « Mamans Louves », qui représente près de 40 000 mères de famille a choisi de se saisir de ce sujet avec détermination, en menant une opération décisive à travers le territoire français pour la rentrée 2022, afin de lever ce voile d’omerta généré par la crise Covid.
Plus d’une centaine de lieux de rencontres sont organisés partout en France afin que les parents puissent enfin renouer un dialogue autour du sujet de préoccupation le plus important et prioritaire : les enfants. Nos constats sont très clairs : la majorité des parents que nous rencontrons ne veulent plus de ces protocoles sanitaires excessifs, et sont prêts désormais à refuser de masquer leurs enfants.
D’autre part, une étude allemande qui vient enfin d’être validée et publiée par une revue scientifique reconnue, Science Direct, indique que la teneur en dioxyde de carbone qu’inhalent les enfants avec le masque s’élève au–delà des niveaux de sécurité acceptables. Il s’agira donc désormais de se positionner fermement face à de telles dissonances, car il est simplement intolérable d’accepter d’être contraints d’appliquer des mesures que l’on sait destructrices pour nos enfants.
Il est grand temps que nous choisissions ensemble d’œuvrer à la protection des enfants. Nous sommes tous concernés par leur avenir.
Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.
