L’article « Pourquoi l’humanité existe-t-elle » montre un retour à la morale pour l’Amérique, affirment certains lecteurs

Par Catherine Yang
9 mai 2023 16:59 Mis à jour: 9 mai 2023 16:59

Lorsque Rosina Yriart a lu l’article « Pourquoi l’humanité existe-t-elle » de M. Li Hongzhi, elle a ressenti l’espoir que l’Amérique puisse retrouver son sens spirituel et moral. Elle l’a partagé avec plusieurs de ses amis qui ont trouvé le message intéressant. Lorsqu’Epoch Times a récemment publié un second article de M. Li, Mme Yriart, une pilote, l’a de nouveau partagé avec ses amis, et le relisait chaque fois qu’elle le partageait.

« Je pense que M. Li nous donne quelque chose de facile et d’agréable à lire, qui nous apporte du bonheur dans la journée et nous inspire », a confié Mme Yriart. « Nous sommes de bonnes personnes, nous devons l’être, Dieu est en nous, Dieu est amour, et cela change notre attitude. »

M. Li est le fondateur du Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa, une pratique spirituelle basée sur les principes universels de vérité, compassion et tolérance. Ces trois mots ont tellement inspiré Mme Yriart que lorsqu’elle a appris l’existence du Falun Gong en lisant le premier article, elle les a notés sur une carte pour sa petite-fille. La spiritualité des jeunes dans notre pays est un sujet qui la préoccupe beaucoup et elle était heureuse de voir que la jeune femme réfléchissait au message.

Mme Yriart raconte que son petit-fils de 14 ans lui avait dit il y a quelques années : « Je suis athée. » Il n’était pas le seul parmi ses camarades, et elle en avait le cœur brisé pour lui et pour l’éducation que la plupart des jeunes reçoivent aujourd’hui. Elle pense que les nombreux rituels des religions organisées sont probablement un obstacle qui les sépare encore plus de la spiritualité, et c’est pourquoi elle a trouvé le Falun Gong intéressant.

« Cela pourrait les ouvrir à la spiritualité et leur faire comprendre qu’ils sont des êtres spirituels et qu’ils n’existent pas parce qu’un génie a inventé l’IA », a-t-elle dit.

« Ce pays possède la seule Constitution au monde qui repose sur la croyance que le Tout-Puissant est le seul à pouvoir nous accorder la liberté », a-t-elle dit. « Et c’est cette liberté qui permet aux gens ordinaires d’accomplir des choses extraordinaires. Je pense que c’est la raison pour laquelle ce pays a réussi. Mais aujourd’hui, entre nos politiciens, nos fonctionnaires non élus et nos entreprises avides de gains, ils contournent la Constitution et ses croyances, et c’est pourquoi nous sommes dans une situation si chaotique. »

L’article le plus récent « m’a fait réfléchir », a dit Mme Yriart. J’étais au lit et je réfléchissais au fait que Dieu est en chacun de nous, qu’il est amour, et je me suis dit : « Et les gens qui n’acceptent pas le Créateur ? Ces personnes ne savent pas ce qu’est l’amour désintéressé, le don, la compassion et la gentillesse. Ces personnes sont tout à fait capables de haine, et nous la voyons tout autour de nous aujourd’hui, et de gains égoïstes. Ils détruisent d’autres vies afin d’obtenir ou de maintenir le contrôle, causant beaucoup de souffrance. Ils ne tiennent pas compte de la vie et alors ils sont très malheureux et ils se plaignent. »

« Mais ils n’acceptent pas que Dieu nous donne une chance de nous racheter, de devenir meilleurs, d’être heureux. Je pense que le seul moment où [nous] les humains pouvons être vraiment heureux, c’est lorsque nous acceptons le Créateur, et que nous acceptons qu’il y a un Dieu bon et aimant », a ajouté Mme Yriart.

« Le message simple de M. Li est très enveloppant et il touche profondément. Je pense que pour les jeunes qui ont rejeté l’Église catholique ou le christianisme en général à cause de ses rituels et de ses traditions (…) les enseignements du Falun Gong, de M. Li, sont très attrayants parce que c’est quelque chose de nouveau. Je pense que les jeunes peuvent vraiment y adhérer. Et en même temps, c’est le même message d’amour du christianisme. C’est absolument magnifique. »

Le Falun Gong a été présenté au public en Chine en 1992 et, en moins d’une décennie, on estimait à 100 millions le nombre de personnes pratiquant cette discipline spirituelle en Chine. Depuis, le mouvement s’est répandu dans une centaine de pays et le texte principal, le « Zhuan Falun« , a été traduit en 40 langues.

Cependant, en 1999, le Parti communiste chinois (PCC), craignant la popularité grandissante du Falun Gong et son retour à la culture traditionnelle, a lancé une campagne de persécution impitoyable pour éradiquer le Falun Gong en ayant recours à une propagande mondiale, des arrestations illégales et des prélèvements forcés d’organes sur des prisonniers d’opinion vivants.

« Alors que le christianisme est à nouveau attaqué, nous avons beaucoup à apprendre de M. Li Hongzhi et du Falun Gong », a affirmé Mme Yriart. Aujourd’hui, les églises américaines sont la cible du gouvernement et de la culture, ce qui n’est pas sans rappeler les cultures tyranniques que nous avons déjà vues dans le monde, a-t-elle expliqué. Bien que le Falun Gong soit ouvertement persécuté par le PCC, un grand nombre de pratiquants n’ont pas perdu la foi ni le courage, et Mme Yriart estime qu’il y a une leçon à tirer de cette expérience.

Une voie morale

Chester Vidacovich, aujourd’hui à la retraite, partage le point de vue de Mme Yriart. « De nos jours, les choses se dégradent très rapidement », a-t-il déclaré, principalement en ce qui concerne la morale et l’éthique.

« J’essaie de vivre une vie morale et éthique autant que possible, comme Jésus l’a enseigné », a dit M. Vidacovich qui a trouvé que l’article exprimait la façon dont il essayait de vivre sa vie et ses croyances. « Tout ce qui est dit dans l’article serait bénéfique pour les gens s’ils s’y conformaient. »

John Sommers, ingénieur et géomètre à la retraite, a lu plusieurs fois l’article “Pourquoi l’humanité existe-t-elle ».  Il en a fait un résumé pour lui-même.

« Chaque fois que je le lis, je le trouve encore meilleur, je vois de plus en plus de choses qui me plaisent », a-t-il dit.

« À l’heure actuelle, l’Amérique est probablement dans le pire état qu’elle a été depuis ma naissance et j’ai 77 ans. Cela est dû à beaucoup de choses mentionnées dans l’article, et ces choses doivent être abordées », a souligné M. Sommers. « Il y a des moyens de sortir de la situation dans laquelle nous nous trouvons. »

La prière et la méditation font partie de la vie quotidienne de M. Sommers, qui pense que l’article pourrait inciter d’autres personnes à adopter de telles pratiques. Ce simple rituel permet de se connecter aux valeurs et vertus humaines essentielles, explique-t-il, et ramènerait l’Amérique sur la voie de la spiritualité.

« Il ne s’agit pas d’un article de type religieux », a souligné M. Sommers. « Il dit simplement quelle doit être la solution. C’est tout à fait correct. C’est un article qui demande de l’action. »

Carol Lazano, qui travaillait dans le système judiciaire et a récemment pris sa retraite pendant la pandémie du Covid, a estimé que l’article parlait de choses similaires à la façon dont elle essayait de vivre sa propre vie, de réparer nos erreurs et de faire le bien autour de nous.

« Cela vaut vraiment la peine de lire et d’essayer d’en tirer quelque chose, surtout pour quelqu’un qui n’a pas de spiritualité », a dit Mme Lazano. « Je me souviens que je me sentais plus légère après l’avoir lu. »

Pamela Williams, une ancienne professeure de musique, n’avait jamais entendu parler du Falun Gong avant de tomber sur une brochure dans le cabinet d’un médecin lors d’un rendez-vous. À sa grande joie, un article du fondateur du Falun Gong est paru peu après dans le journal Epoch Times.

« J’ai été fascinée par la manière douce dont il s’exprimait et par le fait qu’il n’insistait pas », a-t-elle dit. Mme Williams a ajouté qu’elle pratiquait le tai-chi depuis plusieurs années et qu’elle aimait étudier les philosophies orientales, mais il est difficile de trouver aujourd’hui une activité spirituelle ou religieuse qui ne pousse pas les gens à s’inscrire à des cours ou à adhérer à une association. Le Falun Gong, qui est offert gratuitement et organisé par des bénévoles, était rafraîchissant.

« J’espère que l’article a plu à d’autres personnes (…) L’autre chose qui m’a beaucoup impressionnée, ce sont les trois mots utilisés par l’auteur [vérité, compassion, tolérance] », a dit Mme Williams. « L’article m’a laissée une sensation merveilleuse tout comme une symphonie. »

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