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La forte et élégante façade néoclassique du Palais Royal de Turin brille en blanc sur la vaste place de pierre de la Piazza Castello. Les lignes fortes et les détails subtils des murs extérieurs dissimulent les pièces baroques richement décorées qui attendent à l'intérieur. (Tim Tregenza/CC BY-SA 3.0)
Construit de la fin de la Renaissance au XVIe siècle jusqu’au XVIIIe siècle, le palais royal de Turin fut le haut lieu de la maison de Savoie pendant plus de deux siècles. Aujourd’hui, on trouve plusieurs musées sur la vaste Piazza Castello. L’audacieuse et élégante façade strictement néoclassique cache en son sein des merveilles du baroque italien.
La famille royale de Savoie a fait édifier plus d’une vingtaine de maisons et palais à Turin et dans les environs. Le palais royal est le projet le plus fastueux de tous.
Le parc du palais s’étend à l’infini au cœur de la ville subalpine. Construit au XVIe siècle par Victor‑Amédée II, Charles‑Emmanuel III et Victor‑Amédée III, l’intérieur du palais a ensuite été modernisé dans le style baroque par l’architecte Filippo Juvarra, connu pour ses nombreuses églises, palais et décors de théâtre qui constituent des joyaux du rococo.
Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, le palais est connu pour abriter la chapelle du Saint Suaire, construite au XVIIe siècle, elle constitue une véritable prouesse géométrique de l’architecte mathématicien Guarino Guarini. Sur plusieurs niveaux, une myriade d’arcs et de fenêtres forment le dôme et la flèche. La conception intérieure est riche de symboles et de motifs mathématiques aux relations complexes.
Le palais abrite une grande collection d’objets artistiques, des tapisseries, des fresques, des décors en stuc, des peintures, des vases, etc. L’armurerie royale constitue une des plus riches collections d’armes au monde. Les musées royaux abritent des objets inestimables, dont un autoportrait de Léonard de Vinci et le suaire de Turin.
La forte et élégante façade néoclassique du Palais Royal de Turin brille d’une blancheur étincelante sur la vaste Piazza Castello. Les lignes fortes et les détails subtils des murs extérieurs dissimulent des pièces baroques richement décorées. (Tim Tregenza/CC BY-SA 3.0)La salle de bal du palais royal de Turin (empreinte Alfieri). C’est un espace opulent éclairé par huit lustres brillants. Un plafond richement détaillé avec des panneaux en retrait, ajoute de la profondeur et de la complexité, tout autant que les motifs du parquet. De grands piliers blancs s’étendent du sol au plafond et une peinture murale continue de femmes dansant court le long du haut des murs, sous des corniches peintes en or et des chapiteaux en bronze. (Guilhem Vellut/CC BY 2.0)L’armurerie royale de Turin a été conçue par l’architecte baroque Filippo Juvarra en 1733. Le plafond courbé surplombe un sol en damier de marbre qui s’étend du Palais Royal au Palais Madame. Avec plus de 5000 pièces d’armes et d’armures historiques, cette salle spectaculaire abrite une des collections les plus célèbres au monde. (Guilhem Vellut/CC BY 2.0)Le spectaculaire plafond peint à l’huile de l’Armurerie royale présente des scènes décrivant la vie d’Énée. Peintes par Claudio Francesco Beaumont, les peintures s’étendent le long du plafond à corniche orné d’un encadrement sophistiqué de cartouches et de magnifiques stucs dorés. (Guilhem Vellut/CC BY 2.0)L’escalier du palais royal de Turin a été construit par Benedetto Alfieri pour accéder aux bureaux de l’État. Des sculptures de la royauté italienne se dressent fièrement dans les absides et observent les visiteurs dans cet espace imposant. De subtiles nuances de jaune et de rose pâle grimpent sur les murs, richement recouverts de lambris, créant une dimension supplémentaire à chaque niveau. (Guilhem Vellut/CC BY 2.0)Des décorations en stuc doré encadrent des panneaux chinois décoratifs et de grands miroirs dans ce qui était autrefois des toilettes royales. Conçu par Filippo Juvarra, ce cabinet de toilette rococo présente un plafond peint représentant une scène de paysage, qui s’élève au centre vers le ciel avec des figures mythiques flottantes. (Ambra75/CC BY-SA 4.0)La chapelle du Saint-Suaire a été ajoutée au palais royal de Turin au XVIIe siècle. Construit par l’architecte italien Guarino Guarini, le dôme complexe est constitué de blocs de marbre qui s’emboîtent de manière à se supporter. La tour à plusieurs étages a été conçue pour inclure différentes formes géométriques qui contrastent à chaque niveau. Un motif de fenêtres entrelacées qui se mêlent à des arcs lisses et ondulés soutiennent et une flèche au fenêtres rondes. Un incendie a gravement endommagé la chapelle en 1997, entraînant un effort de restauration monumental qui a duré 28 ans. (Guilhem Vellut/CC BY 2.0)L’intérieur de la chapelle du Saint Suaire, d’un autre monde, met en valeur les magnifiques motifs des murs intérieurs du dôme. Des couches de marbre en spirale s’élèvent jusqu’à un point central doré, loin au-dessus. Une colombe en son centre représente le Saint-Esprit. L’architecte de la chapelle, Guarino Guarini, était mathématicien et prêtre. La dévotion de Guarini à créer une architecture à signification mathématique et religieuse est évidente dans ce chef-d’œuvre de forme et de lumière. (Guilhem Vellut/CC BY 2.0)Ce hall palatial, inspiré par l’architecture royale française, menait autrefois aux chambres de Victor-Amédée II. IL est appelé Galleria del Daniel en raison des plafonds peints par l’artiste du XVIIe siècle Daniel Seiter. Le plafond de Seiter comprend des représentations de Jupiter, d’Apollon et de l' »Apothéose d’un Héros », qui représente le mécène de Seiter, Amadée II. Une longue corniche peinte en or relie magnifiquement les bordures en or des plafonds et des murs. (Ambra75/CC BY-SA 4.0)La salle du trône du palais est couverte d’or et de cramoisi, mettant en valeur l’excès de luxe du palais royal. Le trône lui-même semble petit sous son dais dans cet espace hautement décoré et doté de miroirs. Une balustrade en or extrêmement complexe sépare le siège du roi de l’assemblée. (Guilhem Vellut/CC BY 2.0)
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