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« On n’a plus de travail, aidez-nous ! » : Emmanuel Macron interpellé en Maine-et-Loire par une infirmière en pleurs qui a perdu son travail

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Emmanuel Macron.

Photo: : LUDOVIC MARIN/POOL/AFP via Getty Images

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Durée de lecture: 2 Min.

Lors de sa visite mardi 15 mars aux réfugiés ukrainiens accueillis dans le centre d’accueil dans le Maine-et-Loire, Emmanuel Macron a été interpellé par une infirmière en pleurs qui a perdu son travail.
« On n’a plus de travail, aidez-nous ! », implore en larmes une infirmière. « Vous n’avez plus de travail ? »,  l’interroge le Président Macron.
« Pourquoi, pourquoi obligez-vous les soignants à se faire vacciner ? ». « Monsieur, vous savez très bien que ça ne fonctionne pas », poursuit la soignante tout en retenant ses larmes. « Monsieur comment on vit ? ». « S’il vous plaît, laissez-nous reprendre notre travail », implore l’infirmière en détresse.
La réponse du chef de l’État a été ferme : « Le gouvernement, à court terme, ne va pas enlever l’obligation vaccinale ».

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Un « effort de solidarité » pour les Ukrainiens
Emmanuel Macron a voulu témoigner de « l’effort de solidarité » à une partie des 63 Ukrainiens, dont une vingtaine d’enfants, qui y sont arrivés vendredi soir, plusieurs jours après avoir fui les bombardements russes et pris la route de l’exil, via la Pologne et l’Allemagne.
« Nous protégerons celles et ceux qui arrivent sur notre sol », a affirmé le chef de l’État en visitant, comme Président et non comme candidat à la présidentielle, le centre d’accueil de La Pommeraye près d’Angers, géré par l’association France Horizon.