Un policier était sur le point d’émettre une contravention. Mais un mot sur le pare-brise l’a fait changer d’avis

2 janvier 2019 20:11 Mis à jour: 5 avril 2019 19:46

Il est dit : « Laissez votre conscience vous guider. » Dans ce contexte, cette maxime a été appliquée par les deux parties. Tout a commencé quand un agent de parking a vu une voiture garée en infraction. Alors qu’il était sur le point d’émettre une contravention de stationnement au contrevenant, il a remarqué un petit mot sous les essuie-glaces, ce qui l’a fait changer d’avis.

L’agent Jim Hellrood, un agent de stationnement de Wausau, au Wisconsin, était de service pour vérifier les parcomètres lorsqu’il a vu un compteur qui avait expiré. C’est à ce moment qu’il a remarqué une note sur la voiture en infraction.

L’agent Hellrood a déplié la note et a été plutôt surpris du message que le conducteur a laissé.

Elle disait : « Ayez pitié de moi, s’il vous plaît. Je suis rentré à pied… pour être prudent. » Il y avait un petit smiley dessiné à la fin du message. L’agent Hellrood a été surpris que le conducteur ait saisi l’occasion d’écrire une note et de laisser sa voiture dans un endroit où elle serait assurément chargée d’une contravention.

Au lieu d’infliger une amende, l’agent Hellrood a laissé un avertissement au conducteur, car il a apprécié son geste honnête et a remercié ce dernier d’avoir pris le risque d’être condamné à une amende plutôt que de boire et de conduire.

La police de Wausau a affiché sur sa page Facebook, avec le message, une photo de l’avertissement : « Pitié accordée, juste un avertissement : Jim Hellrood, agent de contrôle du stationnement, peut apprécier les gens qui font des choix sûrs et qui ont un bon sens de l’humour. C’est pour ça qu’il a récemment donné un avertissement à un véhicule laissé dans un lot avec compteur pendant la nuit. »

Illustration – Shutterstock | peterfactors

Le jugement de cet officier est juste, n’est-ce pas ?

Prenez garde, conducteurs, ne conduisez pas en état d’ébriété. Parfois, il est plus courtois de marcher.

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La danse d’un policier devant un ascenseur

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