Un bébé girafe a été retrouvé mort dans son enclos du zoo de Miami le samedi 16 mars. Il n’y a aucun témoin de l’accident.
Tout juste après avoir fêté ses trois mois d’existence, un girafon nommé « Saba » est mort d’une fracture du cou au zoo de Miami, selon le quotidien américain USA Today. C’est au matin du 16 mars qu’un membre du personnel a trouvé sa dépouille sans vie.
Aucun témoin n’a vu ce qui s’est produit. L’hypothèse la plus plausible est que la jeune girafe, née le 15 décembre dernier, aurait été effrayée par quelque chose pendant la nuit et aurait ensuite percuté la clôture de l’enclos.
Aucune trace d’un quelconque prédateur n’a été repérée, selon le porte parole du zoo, qui avance qu’ « il pourrait s’agir d’une guêpe qui l’a piquée au milieu de la nuit ».
Selon la nécropsie effectuée par le centre de santé animale du zoo, le girafon a eu le cou brisé au moment du choc.
Zoo Miami celebrates the debut of its 60th giraffe born on Dec 15th. The female calf, born to 13-year-old Sabra and 6-year-old Malcolm, is healthy and exploring her habitat. Giraffes, listed as vulnerable, face conservation challenges. 📷 Ron Magill #ZooMiami #GiraffeBirth pic.twitter.com/ujIflWxNsr
— Zoo Miami (@zoomiami) December 28, 2023
Il s’agissait du soixantième bébé girafe né au sein du zoo de Miami, ce qui est « un bilan exceptionnel » pour ce genre d’établissement. Saba était de petite taille pour une girafe, mais elle est née forte et en bonne santé.
Les gardiens surveillent de près le troupeau de girafes depuis le drame. Elles ont toutes repris leur routine normale et ne présentent aucun signe particulier de stress ou de traumatisme.
Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?
Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.
