Une femme prie tous les jours devant la fenêtre d’un hôpital alors que son mari dans le coma lutte contre le virus du PCC

Par Louise Bevan
2 août 2020 21:33 Mis à jour: 2 août 2020 21:33

Lorsque l’époux d’une résidente de Tomball, au Texas, a été placé dans un coma artificiel pour aider son corps à combattre le virus du PCC*, son épouse a fait le vœu solennel de se rendre à l’hôpital tous les jours pour prier pour lui, en se tenant aussi près de son chevet qu’elle était autorisée à le faire.

*Epoch Times désigne également le nouveau coronavirus, responsable de la maladie du Covid-19, comme le « virus du Parti communiste chinois » (PCC), car la dissimulation et la mauvaise gestion du PCC ont permis au virus de se propager dans toute la Chine et de créer une pandémie mondiale.

Priant dans la rue devant la fenêtre de l’hôpital de son mari, David, pendant deux semaines, Michelle Gutierrez a tenu bon sa promesse et gardé une foi inébranlable. En parlant à l’édition en langue anglaise du journal Epoch Times, Michelle a expliqué que son mari est sous respirateur artificiel et oxygénation extracorporelle, une thérapie de type ECMO, pour le soutien cardiaque et respiratoire.

Michelle écrit une lettre à son mari bien-aimé tous les matins et tous les soirs, puis l’envoie par fax à l’hôpital.

« Les infirmières la lui lisent », dit-elle. « L’infirmière m’appelle de sa chambre tous les jours et lui met le téléphone à l’oreille pour que je puisse lui parler, prier et lui lire la Bible alors qu’il est toujours dans le coma. »

(Avec l’aimable autorisation de Michelle Gutierrez)

En septembre prochain, Michelle et David célébreront leur dixième anniversaire de mariage. En restant forte et inébranlable dans sa foi, elle fait face aux difficultés espérant que lorsque son époux se réveillera, il pourra se souvenir de ses messages et prières, rapportait Fox 26 Houston.

« La première chose que je fais à 19 h, c’est de lui envoyer un texto pour lui faire savoir que j’ai tenu ma promesse de prier pour lui », a déclaré Michelle à la chaîne.

Ne pouvant pas être à ses côtés, je lui dis : « Chéri, je suis là pour te soutenir », poursuit-elle, « …Je sais que même s’il est dans le coma, si j’étais là, il pourrait toujours m’entendre. »

(Illustration – digitalskillet/Shutterstock)

David, bien que n’ayant aucun problème de santé sous-jacent, a développé de graves symptômes après avoir été testé positif au virus du PCC.

Les médecins du CHI Saint Luke’s Health à l’hôpital Woodlands ont décidé que le placer dans un coma induit faciliterait les meilleures chances de survie pour David, selon le rapport Fox.

« Ne pensez pas une seule minute que vous ne pouvez pas attraper ce virus », a supplié Michelle. « Vous le pouvez […] n’importe qui peut l’attraper. »

(Avec l’aimable autorisation de Michelle Gutierrez)

Au moment de la rédaction du présent article, le séjour de David dans l’unité de soins intensifs de l’hôpital dure depuis trois semaines, et ce n’est pas fini. Michelle et sa famille ressentent la pression, mais la fidèle épouse a un mécanisme d’adaptation ; debout dans la rue, sous la fenêtre de l’hôpital de son mari, Michelle écoute de la musique pour garder le moral.

Elle partage volontiers son histoire et celle de son mari dans l’espoir de donner de l’endurance à d’autres personnes qui pourraient se retrouver dans des situations similaires.

« Ne perdez pas espoir », renchérit-elle, « ne perdez pas espoir et ne perdez pas la foi. »

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