Des reporters vietnamiens découvrent un réseau chinois de trafic d’humains

Une manifestation aux USA mettant en scène des prélèvements forcés d'organes en Chine.
Photo: Epoch Times
Les jeunes femmes vietnamiennes faisant l’objet de ce trafic en Chine sont généralement vendues pour le mariage, tandis que d’autres sont considérés plus valables en tant que banques d’organes.
Les trafiquants interviewés par les journalistes ont confié que les gens détenus dans des « camps pour les organes » peuvent rapporter des dizaines de milliers de dollars lorsqu’ils sont tués pour leurs organes.
Dans la ville chinoise de Guangzhou, les trafiquants ont parlé à un « commerçant » d’organes qui a révélé certains détails sur cette pratique et leur a même montré une courte vidéo sur les prélèvements d’organes, mais il a été réticent à en révéler davantage avant qu’on ne lui présente un patient provenant du Vietnam.
À l’hôpital d’État où les transplantations devaient être effectuées, les noms et les photos des médecins expérimentés dans la transplantation ont été accrochés sur les murs.
Bien que le trafic d’organes soit une industrie atroce, elle est très lucrative en Chine où elle est liée au Parti communiste ainsi qu’aux organisations criminelles.
Au cours des vingt dernières années, le régime communiste a tué des centaines de milliers de personnes innocentes pour extraire de leurs corps des cœurs, des foies, des reins et d’autres organes dans des hôpitaux à travers toute la Chine.
Selon les enquêteurs des droits de l’homme, la majorité des victimes des prélèvements d’organes forcés sont les pratiquants de la discipline spirituelle de Falun Gong interdite en Chine. Parmi les autres groupes victimes de cette pratique, on trouve des chrétiens, des Tibétains et des représentants de la minorité ethnique des Ouïghours.

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