Appel à candidature du concours international de peinture réaliste de NTD : une renaissance dans la tradition artistique divine

Par Arnaud H.
14 juin 2025 16:41 Mis à jour: 15 juin 2025 03:05

À l’ère des néons étourdissants et des écrans omniprésents, avons-nous encore la capacité de percevoir le murmure discret du pinceau sur la toile ? Dans le tumulte de la vie moderne, savons-nous toujours nous émouvoir du silence solennel de l’art véritable ?

Aujourd’hui, le concours international de peinture réaliste organisé par New Tang Dynasty Television, partenaire média d’Epoch Times, s’ouvre avec une gravité discrète. Porté par des idéaux de pureté, de compassion et de beauté, il nous invite à retrouver, à travers le langage immortel du réalisme classique, la lumière originelle de la sensibilité artistique. Un pèlerinage de l’âme – un retour vers la source lumineuse de l’art.

La grâce infinie du Bouddha, Yuan Li (Japon).

Regard de vérité, écho de l’âme

Depuis la Renaissance, la peinture à l’huile réaliste incarne l’un des sommets de l’art occidental. Elle est saluée pour son humanisme profond et sa fidélité inégalée à la réalité. Dans cet espace sacré où le regard rencontre l’esprit, la vérité s’exprime à travers la transparence des couches picturales. Face à ces œuvres, nous sommes invités à renouer avec une perception lucide du monde, à retrouver cette sérénité et cette honnêteté que le vacarme quotidien nous fait trop souvent oublier.

Dans le chaos du présent, notre clarté intérieure s’estompe. Le pouvoir de la peinture réaliste réside non seulement dans la technique, mais aussi dans sa capacité à réveiller en nous le désir de pureté et d’innocence. Elle exige courage – celui d’affronter la vérité – et force – celle de revenir à l’essence de l’âme.

Ce concours est comme un sanctuaire spirituel au milieu du tumulte. Il ramène l’art à ses fondements : la vérité et la sincérité. Les artistes s’y expriment avec une attention extrême, une pensée vaste comme l’océan. Les pigments et les traits y deviennent poésie. Chaque tableau devient un miroir – non seulement de la réalité représentée, mais aussi de l’âme de l’artiste, et de celle du spectateur. Dans ce silence, nous ne voyons pas seulement un autre, mais aussi une part de nous-mêmes.

Le moment du bain, Clodoaldo Geovani Martins (Brésil).

Conserver la clarté dans le tumulte

Aujourd’hui, le monde de l’art n’échappe pas aux dérives. Soumis aux pressions du marché, il cède parfois à la surenchère visuelle. Les œuvres tape-à-l’œil, sensationnelles, voire volontairement absurdes pullulent, tandis que la beauté profonde et la noblesse de l’esprit s’effacent sous les artifices. L’art devient un outil pour séduire, un objet de consommation, oubliant sa vocation première : élever l’homme.

La transmission des techniques classiques, elle aussi, s’est affaiblie. Ces disciplines rigoureuses, transmises au fil des siècles, s’éteignent comme une flamme vacillante. Les trésors techniques des grands maîtres européens ne sont souvent plus compris que comme des légendes. Dans un monde de gratification instantanée et d’attention dispersée, les jeunes artistes peinent à se discipliner ou à saisir la signification élevée de leur art. Les fondations s’érodent, lentement.

Dans ce contexte, le concours international de peinture réaliste de New Tang Dynasty surgit comme un retour à la tradition, un espoir pour l’avenir. Ce n’est qu’en adhérant à la vérité, à la compassion et à la beauté, en préservant les exigences techniques et éthiques, que l’art pourra continuer à guider l’évolution de la civilisation.

Détermination face à la persécution, Qing Xin.

L’art comme culture morale : élever par l’esthétique

Comme la littérature, l’art possède une fonction éducative. La véritable beauté est source de purification. Elle est comme l’eau claire qui nettoie la poussière, ou comme une cloche qui résonne à l’aube et au crépuscule, réveillant les consciences. Elle ne fait pas qu’émouvoir : elle affine. Elle ne fait pas que décorer : elle éclaire.

Les grands maîtres d’antan cultivaient non seulement la technique, mais aussi la vertu. Un esprit pur donne naissance à une vision profonde. Une conduite vertueuse se traduit par une œuvre lumineuse. Dans l’acte de création, chaque geste devient prolongement de l’être. Ainsi, ce concours exige plus que la maîtrise technique : il appelle à une élévation intérieure – une rigueur morale et spirituelle.

Pour vraiment voir le monde, l’artiste doit d’abord clarifier son esprit. C’est dans la transparence intérieure que naît la vitalité authentique. Ce n’est pas la simple ressemblance qui donne vie à une œuvre, mais la présence de l’âme. Le miracle de la peinture réside dans le regard transmis. Derrière la main se trouve le tempérament ; sous les couleurs, le caractère. La maîtrise naît du travail du cœur.

Ce concours affirme les fondements éthiques de l’art : ancré dans la vérité, dirigé par la vertu, orienté vers la beauté. L’artiste y manie le pinceau comme on cultive l’esprit ; il peint non pour séduire, mais pour élever. L’œuvre devient alors acte de foi, réceptacle de valeurs éternelles.

Yin et yang, Sandra Kuck.

L’art comme héritage du divin

L’art humain naît de la vénération du divin et du désir de comprendre la dimension spirituelle de l’existence. À travers l’histoire, la véritable création n’est jamais une simple expression matérielle, mais une révélation de la sagesse céleste. L’art inspiré par la culture divine est un pont entre l’homme et le ciel, une fusion de l’âme et du geste.

Les artistes anciens considéraient la peinture comme une pratique de cultivation intérieure. Avec révérence, ils cherchaient l’harmonie avec la vérité. Leurs œuvres brillent d’une lumière intuitive et d’une force spirituelle.

Quand une époque perd ses repères, et que les valeurs vacillent, l’art devient un acte de résistance morale. Il est la vigie silencieuse de la conscience, une lanterne de vérité. L’artiste doit s’ancrer dans la sincérité et la bonté, tout en cultivant une technique rigoureuse. C’est ainsi qu’il trace un chemin dans la nuit – ravivant chez les autres un sentiment de bienveillance, d’ordre et d’espérance.

Manger et ne pas être mangé, Jesus Ingles Canalejo.

Le sang de la technique, l’empreinte de la civilisation

La grande peinture n’émerge pas du néant. Elle prend racine dans la culture et dans l’histoire. De Jan van Eyck et ses innovations techniques, à Raphaël et son harmonie parfaite, jusqu’à Titien et sa puissance colorée, la tradition réaliste s’est construite grâce au génie de générations successives. Leurs chefs-d’œuvre ne sont pas que formes sublimes : ils portent les idéaux mêmes de la civilisation.

Cet héritage, dense et précieux, est aujourd’hui fondement et inspiration. Le concours invite à revenir aux techniques classiques, à la pensée des anciens maîtres. Par l’étude rigoureuse et l’humilité, les artistes peuvent puiser non seulement dans le geste, mais dans la signification.

Au sommet, le réalisme pictural dépasse la simple reproduction. Il devient quête de vérité. Les idéaux de pureté, compassion et beauté sont une invitation à réactiver la mémoire culturelle et spirituelle de l’humanité. Préserver cette tradition, c’est préserver la lumière même de notre civilisation.

Raviver la peinture classique n’est pas une imitation, mais une renaissance. Dans un monde où la formation traditionnelle s’estompe, nous devons revenir aux sources. Que les toiles ne portent pas seulement de la peinture, mais la sagesse retrouvée.

Entre générations, Pablo Roque.

Union du fond et de la forme : l’Orient rencontre l’Occident

Bien que le réalisme soit un joyau de l’Occident, sa profondeur résonne avec la sensibilité orientale. Le principe chinois d’« unité entre la forme et l’esprit » rejoint la quête occidentale d’âme incarnée. Que ce soit dans la notion chinoise de qi et de résonance, ou dans la maîtrise de l’anatomie et de la lumière à l’occidentale, les deux traditions expriment un même désir humain de beauté.

La force du réalisme ne réside pas dans l’imitation froide, mais dans la captation de l’instant vivant. Dans la pensée chinoise, saisir l’esprit, c’est révéler l’essence. Pour cela, l’artiste doit être serein. C’est là que le geste devient éveil. Une expression subtile peut contenir un monde. Entre les traits se glissent le sentiment et la morale.

À une époque où l’art vogue au gré des modes et où l’intériorité se raréfie, ce concours rend à la tradition réaliste sa dignité, son exigence, son sens. Il n’est pas qu’une scène de talents, mais un manifeste de valeurs : peindre pour élever, pour révéler le bien, pour transmettre la foi à travers la forme et illuminer l’âme.

Des artistes du monde entier s’y réunissent pour peindre l’humanité : ses gestes, ses regards, ses décors. Chaque détail – tissu, architecture, lumière – devient trace de culture et de morale. Chaque trait porte la marque du temps et de la mémoire. Dans les chefs-d’œuvre des anciens, on sent le souffle des siècles. Aujourd’hui, ce parfum est rare, mais dans les œuvres de cette nouvelle génération, on retrouve sa pureté – noble, lumineuse, intacte.

Esther se prépare à être reine, Mary Phillips.

Conclusion

En un temps de vacarme et d’accélération, le concours international de peinture réaliste de New Tang Dynasty s’élève tel un phare – gardien de la foi artistique et de la dignité humaine. Lorsque les repères s’effondrent, il rappelle les principes éternels de pureté, de compassion et de beauté. Il appelle les artistes à l’authenticité, et la société à la mémoire.

Ce n’est pas une simple démonstration technique – mais un éveil de conscience, une restauration de la foi culturelle. Les artistes y approchent la toile avec respect, y déposant leur révérence pour le ciel et pour l’humanité. Dans ces œuvres, on ne voit pas seulement de la maîtrise – mais du sacré.

Là où la vertu et la technique s’unissent, où la forme épouse l’esprit, la beauté devient lumière de l’âme. Le concours international de peinture réaliste de New Tang Dynasty n’est pas qu’un podium d’excellence – c’est un sanctuaire de renaissance artistique, un bastion de la lumière civilisationnelle. Dans cette célébration du réalisme, nous retrouvons l’émerveillement, ravivons la flamme intérieure, et écrivons ensemble un nouveau chapitre de l’histoire éternelle de la culture humaine.

Pour en savoir plus : oilpainting.NTDTV.com
Date limite d’inscription : 31 juillet 2025
Inscriptions : Reg.NTD.com

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.