« Au nom du bien tout est permis » : le professeur Raoult dénonce un vaccin dont on a la preuve « qu’il ne marche absolument pas »

Par Emmanuelle Bourdy
3 février 2022 09:04 Mis à jour: 3 février 2022 09:04

Le professeur Didier Raoult s’est exprimé sur TV Libertés ce mardi 1er février 2022. Il a rappelé que « l’épidémie flambe », « au fur et à mesure qu’on fait le vaccin », soulignant que l’on est « sorti de la science » pour entrer dans l’ère de la « croyance » autour de ce vaccin contre le Covid, alors même que les faits prouvent qu’il n’est aucunement efficace pour lutter contre la pandémie. 

Ce 1er février 2022 sur TV Libertés, Didier Raoult, le Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, a livré son analyse sur l’efficacité du vaccin contre le Covid-19. L’infectiologue, qui s’appuie sur les données de l’université Johns Hopkins pour illustrer ses propos, a déclaré : « On est à 10 milliards de vaccins et il n’y a jamais eu autant de cas. » Une situation qui est la même aussi bien en France qu’aux États-Unis.

« C’est plus du tout de la science, c’est de la croyance, c’est de la religion »

L’infectiologue a tout d’abord mentionné « la volonté d’augmenter la couverture vaccinale pour un vaccin dont on a la preuve sous les yeux qu’il ne marche absolument pas ». Selon lui, il n’y a aucun intérêt démontré à vacciner une population qui n’est absolument pas à risque. « C’est les pays dans lesquels on a fait le moins de vaccins qu’il y a le moins de cas », a-t-il dévoilé.

Pour lui, on est devant une situation « compliquée » parce qu’on « sorti de la science ». « C’est plus du tout de la science, c’est de la croyance, c’est de la religion », a-t-il martelé. S’appuyant sur les propos du philosophe des sciences du XXᵉ siècle Karl Popper, Didier Raoult a expliqué que « si vous ne pouvez pas accepter que votre théorie est fausse, vous êtes sortis de la science et vous y croyez, quoi qu’il arrive ». C’est ainsi que vous développez « des comportements religieux qui sont ceux de l’exigence ».

« La seule manière d’empêcher l’obéissance, c’est d’avoir des voix alternatives »

Prenant l’exemple de deux grandes études, celle de Solomon Asch sur le conformisme et celle de Milgram, il a démontré comment, en utilisant pour l’un la soumission, et pour l’autre l’obéissance, les gens passaient du monde scientifique pour rentrer dans le monde de la conviction. Il a expliqué que, selon ces expériences, le fait de vouloir se sentir « comme les autres » pouvait influencer l’avis d’une personne et que les gens finissent par obéir à des choses qui n’ont pas de sens, car la clé est cette « obéissance », à laquelle ils adhèrent. « La seule manière d’empêcher l’obéissance, c’est d’avoir des voix alternatives. Donc à chaque fois qu’on fait de la censure, […] on empêche l’obéissance à une voix unique », a-t-il indiqué, rappelant la dangerosité de suivre « une voie unique », car on ignore où celle-ci nous mène.

Au passage, il en a profité pour féliciter « ceux qui résistent », et notamment Laurent Mucchielli, auteur d’un livre intitulé La Doxa du Covid. « Quand vous n’acceptez pas l’obéissance, on vous menacerait de tout », a-t-il stipulé.

« Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme »

Revenant sur le vaccin, il a mentionné qu’étant donné que celui-ci « est devenu quelque chose qui n’est pas connecté à la réalité » puisqu’il n’arrête pas l’épidémie, alors « le ton monte et devient de plus en plus agressif », faisant référence aux discours de « gens qui ont des fonctions administratives élevées » et qui proposent « de ne plus soigner les gens s’ils ne leur obéissent pas pour quelque chose qui n’a pas de sens ».

L’infectiologue a rappelé également la dangerosité de tels discours, étayant encore ses propos par des études et sondages qui montrent qu’aux États-Unis et en Angleterre, il y a respectivement 50 % et 30 % des démocrates qui sont « d’accord pour qu’on enferme les non-vaccinés », alors même que « les vaccinés sont aussi positifs que les non-vaccinés ».

« Vous ne pouvez pas foutre des gens en camp de concentration ou les enfermer à la maison ou faire des camps gigantesques pour maintenir les gens parce qu’ils ne vous obéissent pas, sinon vous tombez dans des choses qui nous rappellent une partie de la Deuxième Guerre mondiale », a-t-il dénoncé. « Quand on veut que les gens vous obéissent alors que ça n’a plus de sens, ça s’appelle le totalitarisme », a-t-il encore commenté, ajoutant également que lorsqu’on « menace les gens de ne plus les soigner ou de les enfermer, c’est de la dictature, et donc faut pas le faire ».

En outre, il a fait un aparté en pointant du doigt le confinement, une étude d’Hopkins ayant révélé qu’il n’avait servi à rien. Pour conclure, il a critiqué la presse en signalant qu’elle était « influencée » et ne donnait que les versions qui sont « acceptables et qui sont restreintes ». Il a également stipulé que sur les réseaux sociaux, « tout le monde a son opinion, il y en a qui sont extrêmes et fausses, et puis il y en a qui sont exactes et censurées ».

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