Halloween en musique : découvrez la Danse macabre
Saint-Saëns dévoila sa version musicale de cette allégorie de la mort en 1875. Aujourd’hui, elle est sans doute l’œuvre classique la plus étroitement associée au 31 octobre.

La magie de Shakespeare en douze minutes de musique
À 17 ans à peine, Felix Mendelssohn découvrait Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare.

Quand Mozart fait de la musique une peinture spirituelle
Quelque chose d’exceptionnel advient ici : un événement d’une beauté saisissante, qui transcende la vie ordinaire.

L’essence de la Symphonie n° 5 de Beethoven
La Symphonie n° 5 en ut mineur, opus 67 de Ludwig van Beethoven a l'honneur d'être, sans doute, la symphonie la plus connue du canon et, peut-être, le morceau de musique classique le plus connu jamais composé.

La Sonate au Clair de lune : qu’y a-t-il dans un nom ?
Si je commençais à vous jouer le premier mouvement de la Sonate pour piano no 14 en do dièse mineur, opus 27, no 2, de Ludwig van Beethoven, sous-titrée Quasi una fantasia, vous la reconnaîtriez immédiatement.

Le pianiste russo-américain Ignat Soljenitsyne perpétue l’héritage de son père, lauréat du prix Nobel
Ignat Soljenitsyne est un homme fragmenté à multiples talents.

« Für Elise » : le mystère du morceau de piano le plus populaire au monde
[caption id="attachment_2001857" align="alignnone" width="572"] La partition de Beethoven pour « Für Elise » (Domaine public)[/caption] Je suis sur le point de poser le couvercle du clavier de mon cours de musique de 6e année lorsqu'une élève particulièrement animée se précipite vers moi et me dit avec enthousiasme : « Professeur, je peux jouer Für Elise ! » Je l'encourage à le faire, mais le résultat n'est que les fameuses quatre premières notes, un mi et le ré dièse en dessous, répétées, jouées dans un va-et-vient sans fin.

Le nominalisme, moteur du mensonge
Comment en sommes-nous arrivés là ? Comment en sommes-nous arrivés à un point où la valeur d'un individu dépend de sa race, son sexe ou sa classe ? Comment en sommes-nous arrivés à croire que « l'équité » a moralement préséance sur la liberté ? Comment avons-nous été amenés à accepter que le genre n'ait aucune signification en dehors de celle donnée par chaque individu, peu importe son sexe ? Le véhicule qui nous conduit au bord de cet abîme s'appelle le nominalisme.
