Des législateurs, des experts et des organisations du monde entier condamnent l’attaque contre Epoch Times Hong Kong

Par Epoch Times
17 avril 2021 17:36 Mis à jour: 25 août 2023 19:15

Des législateurs, des experts et des organisations du monde entier ont décrié la dernière attaque contre l’imprimerie d’Epoch Times à Hong Kong, estimant qu’il ne serait pas surprenant que le Parti communiste chinois (PCC) soit à l’origine de cette attaque, qui vise à réduire au silence les articles critiquant le régime.

Lundi, à l’aube, quatre hommes masqués – dont deux brandissaient des masses – ont fait irruption dans l’entrepôt de l’imprimerie et ont brisé des machines et des ordinateurs pendant environ deux minutes avant de repartir avec un ordinateur. Aucun membre du personnel n’a été blessé au cours de l’incident.

Les intrus ont causé d’importants dégâts, et l’édition honkongaise d’Epoch Times a été contrainte de suspendre ses activités pendant un certain temps.

Michael McCaul, député républicain des États-Unis

« Ce n’est un secret pour personne que le PCC utilise, ou du moins soutient, des voyous en civil violents et anonymes dans le cadre de ses efforts pour écraser la dissidence à Hong Kong. Cet incident est une preuve supplémentaire que le PCC étend sa répression à Hong Kong, violant ainsi le principe ‘un pays, deux systèmes’. »

André Gattolin, sénateur français LREM

« C’est complètement inadmissible, c’est là encore une attaque réitérée à la presse, à la liberté d’expression et donc à la démocratie à Hong Kong. On voit là encore, et ça n’est pas la première fois puisqu’il y a déjà eu 4 incidents à Epoch Times, le mode opératoire révélateur d’un État autoritaire.

On peut très nettement et très clairement supposer que c’est une agression délibérée, organisée, dans la politique actuelle de totale répression qui se passe à Hong Kong. Après les lois sur la sécurité nationale, la loi changeant le mode électoral, on veut impressionner ceux qui osent encore parler. À défaut de s’en prendre aujourd’hui aux journalistes, on s’en prend aux moyens de diffusion. L’imprimerie, c’est l’endroit où finalement l’opinion est reproduite et démultipliée, et à ce titre-là, c’est effectivement scandaleux. En tant qu’ancien directeur de journal en France, je suis totalement solidaire avec l’équipe d’Epoch Times et bien évidemment avec la population de Hong Kong, qui voit chaque jour ses libertés se réduire.

C’est absolument terrible parce qu’il y a une chape de silence qui vient de se mettre sur Hong Kong. Finalement, quand on discute au niveau international avec les responsables politiques, tout le monde dit ‘c’est honteux, c’est scandaleux, c’est fini Hong Kong’. Mais non, il y a encore beaucoup à faire, et il y a surtout une population à protéger, il y a une rupture dans le droit international des accords sino-britanniques qui avaient été signés et couraient jusqu’en 2047 et qu’il n’y avait aucune raison de remettre en cause puisque aucune réserve n’avait été émise pour changer le statut ‘un pays deux systèmes’. Donc on le voit bien, l’offensive, la normalisation violente et dure continue à Hong Kong, et malheureusement, la communauté internationale reste extrêmement silencieuse. »

Scott Griffen, directeur adjoint de l’International Press Institute

« Nous sommes scandalisés par cette nouvelle attaque contre Epoch Times, qui survient à un moment où le gouvernement chinois supprime méthodiquement et brutalement les droits fondamentaux, notamment la liberté d’expression, de la population de Hong Kong.

Cette attaque doit faire l’objet d’une enquête complète et immédiate de la part des autorités, qui doivent demander des comptes aux responsables. Il doit y avoir une tolérance zéro pour les attaques contre les journalistes et les médias, et nous attendons une action rapide des autorités de Hong Kong. »

Michael Chong, député, porte-parole du Parti conservateur canadien en matière d’affaires étrangères

« Les dirigeants communistes chinois continuent de violer le droit international à Hong Kong en enfreignant les termes de la Déclaration conjointe de 1984, qui garantit la liberté de la presse et la liberté d’expression.

Cette attaque fait suite à l’interdiction faite par Pékin à la BBC de diffuser en Chine et à l’expulsion de dizaines de journalistes étrangers de la Chine continentale.

La répression d’une presse indépendante en Chine est inquiétante. Les conservateurs demandent au gouvernement Trudeau de prendre position et de s’élever contre la répression de Pékin à Hong Kong et contre une presse libre. »

La Société internationale pour les droits de l’homme (ISHR)

« En attaquant le journal, les auteurs veulent intimider les médias critiques et les dissidents », a déclaré Hubert Körper, porte-parole du comité de travail Chine d’IGFM.

Martin Patzelt, membre du Parlement allemand

« En tant que membre du Parlement fédéral allemand et membre de la commission des droits de l’homme et rapporteur pour l’Asie du Sud-Est, je condamne fermement ces actions et ces destructions répétées contre un journal indépendant comme une attaque contre la liberté de la presse et la liberté d’expression », a-t-il dit à Epoch Times.

« À Hong Kong en particulier, il est plus important que jamais qu’il continue d’y avoir des médias indépendants qui rendent compte clairement, comme Epoch Times l’a toujours fait avec des reportages indéfectibles et indépendants sur le mouvement pro-démocratique de Hong Kong et aussi sur les violations des droits de l’homme en Chine. »

« Je discuterai de cette question lors de la prochaine réunion du groupe de travail sur les droits de l’homme de la CDU/CSU et je m’efforcerai de faire en sorte que la question soit soulevée au sein de la commission des droits de l’homme. »

Ralph Norman, député républicain des États-Unis

« La tyrannie prospère lorsque ceux qui la dénoncent ne peuvent pas être entendus. Il s’agissait clairement d’une tentative de faire taire Epoch Times, et je condamne cette attaque dans les termes les plus forts possibles. Partout dans le monde, les ennemis de la liberté d’expression doivent être affrontés avec détermination, résilience et avec des voix encore plus fortes. Je vais fêter avec Epoch Times lorsque ses presses à imprimer tourneront à nouveau à Hong Kong. »

Tony Shaffer, président du London Center for Policy Research

« Les récentes attaques contre les bureaux d’Epoch Times à Hong Kong reflètent à la fois la nouvelle réalité politique où le gouvernement de Hong Kong est prêt à s’en remettre aux intérêts du PCC/RPC.

Ce genre d’attaques ne fera que se multiplier à mesure que le PCC/RPC[République populaire de Chine] s’enhardit à éteindre les voix de la liberté et du journalisme indépendant. »

Reporters sans frontières

« En laissant impunies les précédentes attaques contre des journalistes et en créant un climat de suspicion à l’encontre des médias indépendants, les autorités de Hong Kong encouragent ces violences », a déclaré Cédric Alviani, responsable du bureau Asie de l’Est de RSF, qui appelle la dirigeante de l’exécutif de Hong Kong, Carrie Lam, à « mettre fin aux attaques de son gouvernement, qui menacent l’indépendance des médias, et à rétablir la pleine liberté de la presse telle qu’elle est inscrite dans la loi fondamentale qu’elle est censée faire respecter. »

Ellie Cohanim, ancienne envoyée spéciale adjointe des États-Unis pour surveiller et combattre l’antisémitisme

« Le Parti communiste chinois tente de faire taire l’un de ses critiques les plus efficaces : @EpochTimes.

« Nous sommes témoins de cette violence sanctionnée par l’État. Epoch Times ne sera pas réduit au silence. #PCC »

Sir Iain Duncan Smith, député britannique

« La récente attaque contre l’imprimerie d’Epoch Times à Hong Kong est scandaleuse et constitue un crime contre une presse libre et indépendante.

Je déplore et condamne tout acte de sabotage contre les médias, qui devraient être libres de rendre compte sans craindre la violence, la répression ou l’intimidation. »

Pat Toomey, sénateur des États-Unis

« Le Parti communiste chinois étouffe activement tout semblant de presse libre à Hong Kong. Ces actions sont en contradiction directe avec la Loi fondamentale, et devraient servir de raison pour des sanctions plus importantes par le biais de la loi sur l’autonomie de Hong Kong. »

Henri Malosse, ancien président du Comité économique et social européen

« Je pense que ce qui s’est passé à Hong Kong est très inquiétant, car nous voyons que le Parti communiste chinois est en train de transformer Hong Kong en une province chinoise communiste normale.

Et toutes les violences contre le stand de Falun Gong et le bureau d’information montrent qu’ils ne considèrent pas du tout Hong Kong comme un système séparé, ils ont juste introduit leur dictature et leur politique de violence contre la liberté de religion, la liberté de pensée, la liberté politique à Hong Kong, comme dans d’autres parties de la Chine. »

Et ils montrent qu’ils ne respectent pas du tout les accords qu’ils ont passés avec le Royaume-Uni […] Donc c’est une violation claire du traité international, une violation claire de notre engagement. Et je pense que les gens en Europe, aux États-Unis, dans une autre partie du monde libre devraient réagir très clairement contre cette violation inacceptable. Et je voudrais envoyer toute ma sympathie au peuple de Hong Kong et en particulier, aux pratiquants du Falun Gong et aux militants de Hong Kong pour la démocratie. »

Porte-parole du ministère américain des Affaires étrangères

« Nous condamnons l’attaque contre l’imprimerie d’Epoch Times et exhortons les autorités de Hong Kong à mener une enquête approfondie et à traduire les auteurs en justice.

Les États-Unis sont préoccupés par les efforts accrus visant à réduire au silence les médias indépendants et à réprimer la liberté d’expression, notamment en prenant pour cible des journalistes pour des raisons politiques.

Nous sommes déterminés à défendre la liberté de la presse et un accès plus libre et plus large à l’information et aux idées dans le monde entier.

La liberté d’expression, y compris pour les membres de la presse, est essentielle à la transparence. »

Mike Pompeo, ancien secrétaire d’État des États-Unis

« L’attaque contre Epoch Times et contre la presse libre à Hong Kong est consternante, mais pas surprenante. Le Parti communiste chinois continue de démontrer qu’il n’honorera pas son accord sur la liberté du peuple de Hong Kong. Les États-Unis doivent envoyer un message clair : le fait de continuer à opprimer le peuple de Hong Kong et à éroder ses libertés, en particulier la liberté de la presse, ne sera pas toléré. »

Markus Wiechel (SD), membre du Parlement suédois

« C’est une terrible nouvelle. Epoch Times remplit une fonction extrêmement importante en tant que l’un des très rares médias indépendants à Hong Kong et qui s’occupe également de la critique non censurée, ce qui, pour le moins, est une fonction indescriptiblement importante. En ces temps où nous assistons à des violations récurrentes des droits de l’homme et des libertés fondamentales, qui incluent bien sûr aussi le droit à la liberté de la presse et d’expression, ceux qui se positionnent du côté de ces valeurs inviolables doivent aussi agir.

Je soulèverai moi-même cette question avec notre ministre des Affaires étrangères. »

Louie Gohmert, député républicain des États-Unis

« À une époque où la plupart des organismes de presse ne sont plus que des porte-voix de l’idéologie de la gauche radicale, Epoch Times se distingue comme un atout précieux dans la lutte pour la vérité et le reportage équitable. L’attaque contre son imprimerie de Hong Kong est une vieille bataille entre le bien et le mal, alors que des personnes malhonnêtes et avides de pouvoir s’attaquent à la liberté d’expression dans le monde entier. Espérons qu’il y aura des défenseurs courageux de la vérité qui feront entendre leur voix pour condamner cette barbarie. »

Byron Donalds, député républicain des États-Unis

« Alors que notre nation fait l’expérience de l’annulation de la culture et de la censure des voix conservatrices par les grandes entreprises technologiques, les tactiques des entreprises américaines et des médias grand public ressemblent à celles du PCC, et non à notre République constitutionnelle. L’attaque récente de l’imprimerie Epoch Times de Hong Kong est une attaque directe contre les libertés qui nous sont chères en Amérique et mérite une condamnation universelle. Le monde a vu de première main l’impact mortel du manque de transparence du PCC, et nous devons avoir plus d’organisations de journalistes qui dénoncent les atrocités de ce régime. »

Le Club des correspondants étrangers de Hong Kong

« Le Foreign Correspondents’ Club de Hong Kong condamne fermement l’attaque des presses d’impression d’Epoch Times et demande que les auteurs soient rapidement traduits en justice.

Le journal a diffusé des images de vidéosurveillance montrant les quatre assaillants en train de briser le matériel à l’aide de masses et a déclaré qu’ils avaient menacé le personnel de violence lors du raid matinal du lundi 12 avril.

La FCC insiste sur le fait que les médias doivent pouvoir opérer librement sans craindre la violence à Hong Kong, quelle que soit leur position politique.

L’imprimerie d’Epoch Times a été la cible d’une attaque similaire lors des manifestations de Hong Kong en novembre 2019. »

Lord Philip Hunt, membre du Parlement du Royaume-Uni 

« Je suis très choqué d’entendre cela. Epoch Times est un média indépendant extraordinaire à Hong Kong, qui n’a peur de rien et défend la liberté de la presse et les droits de l’homme. Puisse sa voix ne jamais être réduite au silence.

Mes meilleurs vœux à vous tous ».

Benedict Rogers, cofondateur et directeur général de Hong Kong Watch

« Cette attaque contre Epoch Times est un nouvel exemple déplorable des menaces croissantes qui pèsent sur la liberté des médias et la liberté d’expression à Hong Kong, et doit être condamnée sans équivoque. »

Lord David Alton, Royaume-Uni

« Le lauréat du prix Nobel Liu Xiaobo a dit un jour que ‘la liberté d’expression est le fondement des droits de l’homme, la source de l’humanité et la mère de la vérité.’ Ceux qui deviennent des ennemis de la liberté d’expression, qui fracassent les presses à imprimer ou menacent les journalistes, n’ont aucun respect pour les droits de l’homme et montrent leur peur de la vérité. Paradoxalement, leur recours à la violence, à l’intimidation et à la force brute révèle leur faiblesse et la nature de leur idéologie. »

Laura Harth, directrice de campagne des Safeguard Defenders (défenseurs des droits de l’homme)

« Je ne doute pas que l’un des principaux – sinon le plus grand – ‘crimes’ dont le PCC rend responsables les Hongkongais épris de liberté est d’avoir montré au monde entier le vrai visage de ce régime cruel. La presse libre de Hong Kong a ouvert une fenêtre d’une valeur inestimable sur la véritable nature du PCC et son mépris des valeurs universelles. Beaucoup d’entre nous se sont demandés combien de temps ces voix et ce personnel de presse courageux seraient autorisés à continuer, et malheureusement la réponse devient claire trop rapidement. […] Entre l’avertissement de Jimmy Lai depuis la prison, la démission d’Yvonne Tong et l’attaque flagrante contre l’imprimerie d’Epoch Times hier, l’intention du régime n’est que trop claire : imposer le même mur de censure et de contrôle qui règne en Chine continentale, empêchant le monde d’exercer son droit de savoir et sa possibilité d’agir en fonction de ces preuves.

Tout cela pendant que la propagande du PCC parcourt librement le monde, vantant le principe même de la liberté d’expression qu’il refuse à ses citoyens et utilisant la torture, les aveux forcés et les mensonges intentionnels pour répandre sa terreur politique dans le monde entier. Face aux preuves de plus en plus irréfutables de la guerre de l’information et de la loi menée par le PCC, qui impose de plus en plus sa répression au-delà des frontières, exactement comme les Hongkongais l’avaient prédit, le monde démocratique doit de toute urgence se ressaisir et suivre les traces des hommes et des femmes courageux qui continuent à gérer les quelques bastions de la liberté d’expression à Hong Kong. S’ils peuvent surmonter la peur suscitée par les menaces sans pitié du régime, nous le pouvons certainement aussi ! »

Anders Corr, éditeur du Journal of Political Risk

« Le sabotage de l’équipement d’Epoch Times à Hong Kong est la dernière attaque en date contre la liberté d’expression dans cette ville, qui depuis au moins les années 1990 subit une pression croissante de la part du PCC sous forme de menaces, de pots-de-vin et d’arrestations de ceux qui défendent les droits de l’homme et la liberté contre le totalitarisme. Cette attaque est une marque d’honneur pour Epoch Times, même si elle est coûteuse. Elle montre qu’ils produisent un journalisme percutant contre le PCC à un moment où la dénonciation du PCC est d’une importance capitale pour la liberté, non seulement aujourd’hui, mais aussi dans un avenir prévisible. L’utilisation de marteaux de forgeron contre une presse montre le genre de futur brutal auquel le monde peut s’attendre si le PCC n’est pas arrêté. Le temps pour y parvenir sans grand dommage mondial se fait de plus en plus court. »

Rick Scott, sénateur des États-Unis

« Les rapports d’attaques contre la presse libre sont extrêmement préoccupants. Le sénateur Scott sera toujours aux côtés des habitants de Hong Kong qui luttent pour leur liberté », a dit le bureau du sénateur Rick Scott (Parti républicain, Floride) à Epoch Times dans un courriel. « Maintenant plus que jamais, les États-Unis doivent défendre la démocratie et les droits de l’homme, et lutter contre l’agression de la Chine communiste et sa quête de domination mondiale. »

Devin Nunes, député républicain des États-Unis

« Les attaques violentes et répétées contre Epoch Times secouent la conscience », a dit le représentant Devin Nunes (Parti républicain, Californie) à Epoch Times dans une déclaration par courriel.

« Il est clair que le Parti communiste chinois et ses voyous de rue ne peuvent supporter qu’un média rapporte les faits concernant les déprédations du Parti. »

 Jim Banks, député républicain des États-Unis

Le représentant Jim Banks (Parti républicain, Indiana) a qualifié l’attaque de « répréhensible ».

« La liberté de la presse à Hong Kong est attaquée par le Parti communiste chinois », a déclaré Jim Banks dans un communiqué.

 Mike Doyle, député républicain des États-Unis

« Toute attaque violente contre les médias mérite la plus sévère des condamnations. »

Michelle Steel, députée républicaine des États-Unis

« L’attaque contre Epoch Times Hong Kong est une attaque directe contre la presse libre de Hong Kong », a déclaré la représentante Michelle Steel (Parti républicain, Californie). « Le Parti communiste chinois ne peut pas continuer à intimider et à porter atteinte à la liberté de la presse à Hong Kong. S’il est vrai que le PCC était derrière ces attaques, il doit être tenu pour responsable. »

Brian Babin, député républicain des États-Unis

« Il s’agit d’une nouvelle tentative du Parti communiste chinois de faire taire les voix de ceux qui disent la vérité à Hong Kong. Je rejette et condamne toutes les attaques contre la liberté d’expression et la liberté de la presse », a déclaré le député Brian Babin (Parti républicain, Texas) dans une déclaration envoyée par courrier électronique à Epoch Times.

« Je prie pour mes collègues épris de liberté qui vivent sous le régime répressif du PCC. Puissent-ils rester inébranlables et courageux dans leur quête de la vérité ! »

Greg Steube, député républicain des États-Unis

« Ceci est la preuve de jusqu’où le PCC ira pour faire taire quiconque ne soutient pas son régime communiste. Nous ne reculerons pas devant leurs tactiques d’intimidation, et cet événement ne devrait pas empêcher des publications comme Epoch Times de dénoncer les actions et les crimes humanitaires du PCC », a déclaré le représentant Greg Steube (Parti républicain, Floride) dans un communiqué. « Cette attaque contre la liberté d’expression est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles demander des comptes à la Chine communiste est une priorité absolue pour moi au Congrès. »

Scott Perry, député républicain des États-Unis

Le député Scott Perry (Parti républicain, Pennsylvanie) a décrit le pouvoir du PCC comme un « gouvernement dirigé par des voyous » qui « s’appuie sur l’intimidation, l’extorsion et la violence pour réprimer la liberté et ceux qui luttent pour la vérité et l’autonomie par consentement ».

« Il ne serait pas surprenant que le PCC soit à l’origine d’une telle attaque, car il cherche constamment à éteindre toute lumière qui expose la sombre mer de répression qui maintient à flot son gouvernement illégitime », a ajouté M. Perry dans une déclaration envoyée par courrier électronique.

Russ Fulcher, député républicain des États-Unis

« Nous ne pouvons pas sous-estimer l’impact et l’importance du travail d’Epoch Times – et c’est pourquoi il est constamment une cible. Face aux plus grands criminels de la liberté d’expression (la Chine), Epoch Times est l’un des seuls médias indépendants de Hong Kong. Sachez que nous prions pour votre sécurité et votre force face à ces violentes attaques. »

Robert Spalding, général de brigade de l’armée de l’air américaine à la retraite

« Il n’y a pas de liberté de la presse à Hong Kong. Hong Kong a disparu. »

Miles Yu, chercheur principal à l’Institut Hudson

« Si le gouvernement de Hong Kong a encore un peu de crédibilité et veut convaincre le monde que HK est toujours une société sûre et stable, il doit mener une enquête immédiate et poursuivre les responsables. »

Reggie Littlejohn, fondatrice et présidente de Droits des femmes sans frontières

« L’attaque contre l’imprimerie Epoch Times fait partie de la prise de contrôle totalitaire de Hong Kong par le PCC. Les tyrans se sentent menacés par la vérité et ont donc cherché à intimider Epoch Times en attaquant à plusieurs reprises ses bureaux. Les journalistes d’Epoch Times sont héroïques par leur courage et leur persévérance. Ils continueront à exposer le mal du PCC, quel qu’en soit le coût personnel ou professionnel. »

Javier Larrondo Calafat, représentant de Prisoners Defenders EU (défenseurs des prisonniers politiques)

« Nous condamnons l’attaque contre Epoch Times à Hong Kong. Lorsqu’un média est attaqué pour avoir défendu la liberté d’information, son importance vitale devient encore plus évidente. Soutenir le journalisme libre dans le monde est un devoir pour toutes les nations et tous les citoyens. »

Lucio Malan, membre du Parlement italien

« C’est un nouvel acte de brutalité contre la démocratie et la liberté de Hong Kong de la part du régime de Pékin. Il est totalement exclu qu’une telle attaque puisse se produire sans la connivence des autorités communistes chinoises. Outre les technologies sophistiquées du 21e siècle, Pékin utilise également des méthodes vieilles de cent ou deux cents ans. Le ministre [italien des affaires étrangères] Di Maio doit encore répondre à ma question demandant pourquoi l’Italie s’est abstenue sur la résolution de l’ONU condamnant la répression de l’opposition dans l’ancienne colonie britannique. »

María Herrera Mellado, représentante du parti espagnol Vox

« La violence exercée contre les médias d’Epoch Times à Hong Kong est inquiétante. À une époque où le socialisme et le bannissement de la culture progressent à pas de géant, et où même les régimes totalitaires sont blanchis, les citoyens ordinaires et surtout les avocats doivent s’unir pour défendre la liberté de la presse, un droit fondamental et la pierre angulaire pour vivre dans une démocratie complète. »

Rosa María Payá, militante cubaine, directrice exécutive de la Fondation pour la démocratie panaméricaine

« Tout comme son allié, le Parti communiste de Cuba, le Parti communiste chinois démontre également sa nature censitaire et sa peur de la liberté d’expression des citoyens. Quand ils ne peuvent pas faire taire le peuple par la peur, ils se tournent vers la violence. Nous exprimons notre solidarité aux courageux journalistes d’Epoch Times à Hong Kong. Seules les voix et les actions de la communauté internationale peuvent briser l’impunité de la répression du pouvoir totalitaire du PCC. »

Marilou McPhedran, sénatrice canadienne

« Cette dernière attaque, contre un journal de Hong Kong connu pour ses points de vue tranchés, est très préoccupante, comme l’étaient les attaques précédentes. Je pense qu’il est excellent que nous ayons entendu le ministère [américain] des Affaires etrangères, qui s’inquiète de ce que cela signifie pour la liberté de la presse.

La liberté de la presse est la clé de la démocratie. Elle est la clé d’un monde pacifique. Et lorsque nous sommes confrontés à des attaques de ce type, quelle que soit leur origine, mais surtout si elles semblent liées à l’État qui tente de réprimer ou de réduire au silence les médias, nous sommes face à une situation qui nous concerne tous en tant que citoyens du monde.

Cette dernière attaque est un indicateur du très grave déclin de Hong Kong. Et encore une fois, nous voyons la Chine comme le principal tyran du monde.

En tant que sénateur canadien qui croit fermement à la liberté de la presse et à la liberté d’expression comme étant la pierre angulaire d’une démocratie et un droit humain essentiel, je tiens à exprimer aux journalistes de Hong Kong qui prennent des risques tous les jours en faisant des reportages […] Je vous remercie pour votre courage, et j’espère que vous resterez en sécurité et que vous continuerez à exercer la liberté de la presse. Non seulement pour le bien de Hong Kong, mais aussi pour le bien du monde entier. »

Arnold Viersen, député, Parti conservateur du Canada

« Une presse libre et indépendante est essentielle à l’épanouissement des droits de la personne et de la dignité. Je suis alarmé par ces derniers comptes rendus d’attaques contre des médias comme Epoch Times. Je demande au gouvernement libéral de s’élever et de s’exprimer contre la répression de Pékin à Hong Kong et pour une presse libre. »

Kenny Chiu, député, Parti conservateur du Canada

« Lorsque le magazine [Charlie Hebdo] à Paris a fait l’objet d’une attaque, allant jusqu’à la mort de personnes, […] nous avons été solidaires avec [eux] et avons dénoncé l’oppression, le crime et la répression de la liberté d’expression dans le monde entier. Et de la même manière, je ne voudrais pas que les habitants de Hong Kong, qui jouissent d’une liberté de la presse si précieuse depuis tant de décennies, depuis plus d’un siècle, soient menacés par des attaques violentes de ce type.

Je sais qu’Epoch Times a déjà subi de multiples attaques. Et c’est quelque chose que les gens du monde entier, des pays démocratiques libres comme le Canada, [comme] moi pouvons certainement entendre et voir à quel point c’est répugnant, et je voudrais dénoncer toute activité de ce genre. »

James Bezan, député, porte-parole de la Défense nationale pour le Parti conservateur du Canada

« J’ai été choqué d’apprendre qu’il y a eu une attaque aussi flagrante. Il s’agit d’une violation directe des normes internationales de protection de la liberté de la presse et de la liberté d’expression. Il est troublant et dégoûtant de voir une bande de voyous, plus que probablement liés au Parti communiste chinois, mener cette attaque.

Ce n’est qu’une preuve de plus que le Parti communiste chinois est plus intéressé par l’arrêt de la liberté d’expression, par la destruction des normes des droits de l’homme et des libertés civiles dont nous jouissons dans le monde démocratique. […]

Nous devons être plus forts contre le régime de Pékin et le rappeler à l’ordre chaque fois qu’il outrepasse ses limites, et cela inclut la manière dont il continue de réprimer les partisans de la démocratie à Hong Kong, y compris Epoch Times. »

Hirofumi Ryu, membre de la Chambre des représentants du Japon

« Epoch Times a sévèrement critiqué le Parti communiste chinois dans sa quête de liberté et de démocratie. Si tel est le contexte de l’incident, la situation serait très grave.

Il s’agit d’un harcèlement répété, ou d’un acte absolument inacceptable. C’est une transgression à la liberté d’expression et à la liberté de Hong Kong.

J’espère que la police arrêtera les criminels le plus rapidement possible. Les criminels doivent être punis, et la police doit enquêter sur leurs antécédents.

J’étais journaliste sur TV Asahi il y a 18 ans. Je dois protéger la liberté d’expression du point de vue d’un politicien et du point de vue du peuple japonais. C’est ce que les politiciens et le peuple devraient comprendre clairement. »

David Lega (KD), membre suédois du Parlement européen

« Je regrette vraiment qu’Epoch Times soit victime de cette attaque. S’attaquer aux médias, c’est s’attaquer à la liberté d’expression et à la liberté de la presse, ce qui est fondamental dans une démocratie. C’est donc extrêmement grave.

Lorsque vous vous en prenez à des médias d’investigation, comme Epoch Times, il y a deux raisons : la première est que vous vous opposez à la démocratie et aux droits de l’homme, et la seconde est que vous avez quelque chose à cacher. Ces deux raisons sont inacceptables, nous ne devons accepter aucune d’entre elles. »

Thanh Hai Ngo, sénateur canadien

« Je condamne catégoriquement cette attaque brutale contre l’imprimerie d’Epoch Times, connue pour sa couverture indépendante, honnête et non censurée de la Chine et du Parti communiste chinois (PCC). Je demande instamment aux autorités de Hong Kong de veiller à ce qu’une enquête approfondie soit menée sur ces événements et que les auteurs soient rapidement traduits en justice. Nous ne pouvons préserver ces valeurs qu’en veillant à ce que tous les médias puissent publier librement, sans crainte de représailles violentes. »

Chiu Chui-cheng, ministre adjoint du Conseil des affaires continentales de Taïwan

« Le Conseil des affaires continentales condamne sévèrement cet acte violent visant à réprimer la liberté d’expression et de la presse. »

Huang Pengxiao, ancien législateur taïwanais

« Ces attaques sont un exemple typique de collusion entre la tyrannie rouge et la mafia. Il est difficile d’imaginer que ce type d’attaque et de harcèlement barbare se soit produit à Hong Kong, un lieu qui était autrefois un modèle de civilisation et d’État de droit en Asie. C’est vraiment déchirant [de voir cela]. »

Wang Ting-Yu, législateur taïwanais

« Le patron qui soutient la police de Hong Kong est le Parti communiste chinois. C’est la plus grande organisation criminelle et les plus grands meurtriers.

Seule la vérité peut permettre aux gens de reconnaître [la nature du PCC]. Avec la vérité, les pays démocratiques et libres du monde peuvent s’unir et dissuader les mauvais régimes comme le PCC. Seule la vérité peut aider les Hongkongais et les Chinois à voir clairement la nature maléfique du PCC. Ils pourront alors se sauver et éviter d’être persécutés par ce type de régime. »

Chao Tien-lin, législateur taïwanais

« Alors que les voyous l’ont attaquée tant de fois, la police n’a résolu aucune des affaires. Cela amène à se demander si le système de sécurité de Hong Kong est discriminatoire. À certains égards, cela pourrait-il être le résultat des ordres du PCC ? Je pense que pour Hong Kong, qui a une économie libre et a bénéficié d’une démocratie et d’une liberté relatives dans le passé, c’est assez dangereux. »

Chiu Hsien-chih, législateur taïwanais

« L’État était-il derrière cette attaque ? Des facteurs gouvernementaux étaient-ils impliqués ? Pourquoi la police n’arrive-t-elle jamais à retrouver les malfrats ? Il s’agit sans aucun doute d’une grande violation de la liberté de la presse et de la liberté individuelle. Ces attaques vont également avoir un effet dissuasif [sur les habitants de Hong Kong]. »

Leung Man-To, professeur à l’université nationale Cheng Kung de Taïwan.

« Toutes ces actions sont menées avec l’approbation tacite du gouvernement de Hong Kong. Cela a dû être planifié par le PCC. Bien sûr, nous devons le condamner ! »

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