Le livre « La pandémie du PCC » ou comment le PCC met en péril la sécurité de l’humanité

Par Sarita Modmesaïb
7 septembre 2022 18:54 Mis à jour: 7 septembre 2022 19:25

Deux ans après le début de la pandémie de Covid19 qui a ravagé la planète, les interrogations concernant son origine sont encore présentes. Les éditions Minghui ont pu enquêter et ainsi rassembler nombre d’informations depuis l’apparition du virus à Wuhan en décembre 2019.

« Lorsqu’en 2019, le nouveau coronavirus est apparu pour la première fois à Wuhan, le Parti communiste chinois (PCC) a systématiquement dissimulé l’épidémie, ce qui a conduit à la pandémie qui ravage aujourd’hui le monde. Le régime a ensuite mené une campagne de désinformation, se présentant comme un sauveur pour les pays touchés par l’infection », décrivent les éditions Minghui dans le synopsis du livre.

En effet, si le livre débute en citant la revue médicale The Lancet qui répertorie un premier cas à Wuhan le 1er décembre 2019, il décrit très vite et avec force détails une augmentation exponentielle des cas. Conséquence apparemment naturelle, plusieurs médecins tenteront alors d’alerter sur la situation. Mais Minghui révèle, là encore, jour après jour, heure après heure, comment ceux-ci seront très rapidement muselés et punis, réduisant l’épidémie au niveau d’une simple gripette et détruisant les échantillons et les données probantes…

Quand la réalité dépasse la fiction

La suite, on en connaît quelques bribes venant des médias mainstream, mais ici, Minghui a pu récolter des faits et témoignages édifiants, en commençant par la situation en Chine elle-même.

« A Shiyan, dans la province du Hubei, un contrôleur de température bénévole s’est arrêté devant une maison le 24 février 2020. Un garçon de six ans a ouvert la porte et a dit que lui et son grand-père étaient tous deux seuls dans la maison. Le contrôleur de température a demandé à parler à l’homme âgé, mais le petit garçon a dit qu’il était mort plusieurs jours plus tôt. « Grand-père m’a dit de ne pas aller dehors parce que le virus était là », a dit le garçon. Le bénévole a découvert le corps de l’homme âgé dans la salle de bain… »

Le livre décrit ainsi comment le régime communiste chinois ne s’est pas du tout soucié du bien-être de son peuple, n’hésitant pas à instaurer des confinements stricts tout en confisquant les réserves d’aliments.

Sous le prétexte de vérifier la bonne santé de la population, des applications de contrôle social ont été développées, obligeant tout citoyen chinois à se conformer au Parti communiste chinois.

A l’international, la « diplomatie des masques » a très vite été démasquée : obliger, dans un premier temps, ses ressortissants à acheter et envoyer en Chine des quantités astronomiques de masques, blouses et autres articles de protection contre le virus, puis se poser en sauveur, exportant aux pays infectés ce même matériel et se présentant comme « un tiers qui offre maintenant généreusement une aide médicale et des instructions sur la façon de combattre le coronavirus avec le ‘modèle de Wuhan’ ». Ces pays ont ensuite appris que ces « cadeaux » étaient finalement payants…

Un résident et son enfant, portant chacun un masque, passent à moto devant le marché de fruits de mer de Huanan, fermé, le 9 février 2021 à Wuhan, dans la province de Hubei, en Chine. (Crédit photo Getty Images)

Mais les éditions Minghui vont plus loin, révélant les liens économiques et politiques existant entre ces pays les plus infectés par le virus et les liens entretenus avec le PCC.

« Une corrélation entre les pays durement touchés par le virus et leurs liens étroits avec le PCC nous amènent à examiner les causes sous-jacentes de notre situation actuelle, notamment la manière dont le régime chinois a trompé le monde et pourquoi d’autres pays ont ignoré et même permis ces abus », lit-on dans le synopsis.

L’ouvrage détaille l’implication de l’Italie dans le projet des Nouvelles Routes de la Soie (« Belt and Road Initiative ou BRI ») du PCC avec, entre autres, la mise à disposition de ports italiens pour faciliter l’expansion d’entreprises chinoises en Europe. Parallèlement, l’Italie fut, en 2020, le premier pays d’Europe à signaler un cas d’infection au coronavirus.

L’Espagne a aussi servi de pont dans la propagation de la BRI en Amérique Latine tout en investissant massivement dans l’équipementier téléphonique chinois Huawei 5G.

Au Royaume-Uni, bien que nombre de députés aient exprimé leur préoccupation concernant les relations économiques avec le PCC, le Premier ministre, Boris Johnson, a aussi « approuvé Huawei comme fournisseur d’équipements 5G », rapporte ainsi l’ouvrage, soulignant aussi l’intérêt de M. Johnson pour la BRI.

Dès 1979, les Etats-Unis de Richard Nixon reconnaissaient la République populaire de Chine comme seul gouvernement de la Chine et de Taïwan, tout en la désignant comme Nation la plus favorisée (NPF). Arguant d’un espoir de voir la Chine devenir démocratique, débutera alors un soutien financier des Etats-Unis vers le PCC : aides financières, entrée dans l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001…

Le PCC, une entité qui s’oppose à la Chine traditionnelle

« Pendant des milliers d’années, les Chinois ont tenu à préserver leur culture traditionnelle qui mettait l’accent sur l’harmonie entre le ciel, la terre et l’humanité. A travers ces valeurs, on retrouve l’aspiration à regarder à l’intérieur de soi pour y trouver ses lacunes dans le but d’élever son caractère », expliquent les auteurs de Minghui, énonçant quelques exemples concrets d’histoires de la culture traditionnelle chinoise où se mêlent humilité, authenticité, bonté, courage…

Seulement, l’apparition du Parti communiste chinois basé « sur la lutte des classes, la brutalité et le mensonge » va, en quelques années, anéantir et détruire ces 5000 ans de culture. La corruption, les mensonges et l’obligation de suivre la « pensée unique » du Parti, sous peine de lavage de cerveau, de tortures avec mort qui s’ensuive, ont semé la terreur au sein du peuple chinois depuis 1949.

Les événements plus récents du massacre de Tiananmen, la persécution du mouvement bouddhique Falun Gong, le SRAS de 2003 et la pandémie de Covid 19 sont autant d’exemples qui montrent encore que le PCC s’en prend brutalement à tous ceux qui osent exprimer des opinions différentes.

Qui osera tenir tête au PCC, hors et à l’intérieur de la Chine ?

La publication des « Neuf commentaires sur le Parti communiste chinois » en 2004 a constitué un éveil de conscience sur la vraie nature du régime chinois, entrainant la démission de 400 millions de Chinois (en juillet 2022) des différentes organisations du parti en Chine.

Depuis 1999, la persécution des pratiquants de Falun Gong n’a pas empêché nombre de ces pratiquants de sortir dans les rues et expliquer la vérité de cette voie de « cultivation » du corps et de l’esprit ainsi que la persécution subie au peuple chinois.

Hors de Chine, nombre de responsables occidentaux de tous pays font entendre leurs voix afin de dénoncer les actes criminels du PCC.

« Le Parti communiste chinois représente une menace importante pour notre santé et notre mode de vie, comme l’a clairement démontré l’épidémie du virus de Wuhan », énonçait Mike Pompeo en mars 2020, à l’issue d’une réunion des pays du G7.

Le sénateur et ancien ministre des Communications Maurizio Gasparri, a publié en ligne une vidéo critiquant le PCC et le décrivant comme « une tumeur sur la planète ».

Bref, de plus en plus de pays envisagent ainsi de repenser leurs relations économiques ou diplomatiques avec le PCC. Afin d’étayer et confirmer les allégations de crimes perpétrés par le régime chinois, des enquêtes ont été menées et ainsi présentées par les auteurs de Minghui.

En revenant sur l’origine du PCC et en détaillant ses méfaits depuis presque 100 ans, non seulement au sein de son peuple, mais aussi sur toute la planète, l’ouvrage de Minghui, La Pandémie du PCC, révèle la nature perverse et tentaculaire de ce régime qui piétine et falsifie les valeurs universelles humaines ainsi que la moralité, n’hésitant pas à persécuter les pratiquants du Falun Dafa, un groupe de croyance, au prétexte qu’ils pratiquent les principes universels de « vérité, bienveillance et patience ».

Pour les auteurs, le PCC constitue une menace grandissante pour la sécurité de l’humain, sur le plan physique tout autant que moral, menace qu’il est nécessaire de révéler au grand jour.

Pour en savoir plus : www.connaissances-savoirs.com/la-pandemie-du-pcc-minghui-group.html

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