L’éditeur d’un magazine local néo-zélandais voit dans l’article de M. Li une résonance spirituelle

Par Daisy Lee
27 avril 2023 07:08 Mis à jour: 12 juin 2023 21:58

Lorsque Mykeljon Winckel, musicien de jazz et éditeur de magazines, a lu « Pourquoi l’humanité existe-t-elle ? » de M. Li Hongzhi, le fondateur du Falun Dafa, cet article est entré en résonance avec ses conceptions spirituelles sur les cycles de la civilisation humaine. Il l’a immédiatement publié sur son site web. Dans une interview accordée à Epoch Times le 23 février, il a souhaité qu’un plus grand nombre de personnes le lisent.

L’article de M. Li évoque la réincarnation comme faisant partie d’un cycle propre à l’être humain. M. Winckel a souligné que, bien que la réincarnation ne soit pas présente dans les traditions théologiques occidentales, ses expériences personnelles lui ont permis de croire en la réincarnation. Par conséquent, le concept de réincarnation de M. Li trouve un écho favorable avec ses propres croyances. M. Winckel a révélé que sa vie spirituelle a été un long cheminement, puisqu’il a été un fidèle d’une grande église de Los Angeles, et qu’il a aspiré à la foi, à l’espoir, à l’empathie et à la liberté tout au long de sa vie.

« Lorsque j’ai lu l’article, j’ai compris cette notion de cycle. J’ai été témoin du cycle de la nature dont il est question dans cet article. Les cycles sont présents tout au long de la vie, ils nous concernent tous. Nous naissons et passons par différentes étapes et différents cycles, puis nous mourons. Et tout recommence. »

M. Winckel est un musicien de jazz propriétaire d’un magazine local publié en Nouvelle-Zélande.

Les parents néerlandais de M. Winckel ont quitté les Indes orientales néerlandaises, l’actuelle Indonésie, pour s’installer en Nouvelle-Zélande au début des années 1950, après la Seconde Guerre mondiale. Son père a combattu pendant la guerre et sa mère a révélé, quelques semaines avant sa mort à l’âge de 97 ans, qu’elle avait été une femme de réconfort pour l’armée japonaise pendant la guerre. M. Winckel ne vient pas d’une famille religieuse, mais sa mère croyait en un Créateur et a joué un rôle très important dans sa vie. Ses origines ont façonné sa vision du monde et sa vie spirituelle.

En ce qui concerne l’influence de sa mère, M. Winckel estime qu’elle l’a guidé tout au long de sa vie par son amour et sa grande tolérance. « Elle avait une grande capacité à aimer pour le transformer en pardon, maintenant que je réalise ce qu’elle a dû endurer. »

Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il pensait de l’affirmation de M. Li selon laquelle le monde actuel est entré dans la dernière phase du cycle de l’univers, composé de quatre stades : formation, stagnation, dégénérescence et destruction, M. Winckle s’est dit d’accord avec ce point de vue. Il comprend qu’un tel processus de transformation concerne non seulement la vie de chacun, mais aussi toute chose, y compris le développement et l’évolution de notre civilisation. Il a ensuite expliqué son point de vue selon lequel l’humanité serait un jouet dans une lutte totalitaire. Cette lutte se déploie dans le monde d’aujourd’hui et nous en atteignons la fin. « La plupart des gens ne comprennent pas la signification de cet article, c’est pourquoi il est important que M. Li le fasse connaître. »

« Si vous regardez l’histoire, vous constatez que les civilisations se développent et s’effondrent selon un processus cyclique. Les civilisations suivent toujours un cycle, les quatre mêmes étapes. »

En outre, parlant d’Epoch Times, M. Mykeljon a déclaré : « Je considère Epoch Times comme un modèle pour les autres médias. Ce journal recherche la vérité et fait un travail fantastique. » M. Mykeljon connaît très bien Epoch Times et a une connaissance approfondie du communisme et du totalitarisme. Il a toujours mis l’accent sur l’importance de la liberté et sur sa quête personnelle de liberté. Il a félicité Epoch Times d’avoir eu le courage de publier cet article, qui aborde des sujets si importants dans ce monde chaotique.

Musicien talentueux, M. Winckel a été sollicité à l’âge de 18 ans par une société de divertissement américaine qui lui a proposé un contrat de cinq ans et l’opportunité de travailler à Hollywood. Ne voulant pas être exposé aux drogues et aux mauvaises tendances de l’industrie du divertissement, il a refusé ce contrat pour se rendre à Brisbane, en Australie, afin d’étudier le solfège et les techniques d’interprétation au sein de la Music Academy, en se spécialisant dans le jazz. Il a ensuite poursuivi sa carrière aux États-Unis après avoir créé sa propre compagnie d’arts du spectacle en Nouvelle-Zélande.

En 2004, M. Winckel est revenu des États-Unis à Auckland et a fondé le magazine communautaire eLocal, qu’il continue de diriger aujourd’hui. En 2018, lui et les membres de son groupe ont joué « Amsterdam », numéro 1 du classement de jazz contemporain du Billboard.

Janice Liu a participé à la rédaction de cet article.

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