Preuves accablantes d’irrégularités lors du vote

Par Patrick Basham
10 décembre 2020 16:40 Mis à jour: 10 décembre 2020 16:40

La fraude électorale a une longue histoire dans les élections américaines. Depuis l’indépendance du pays, 1 302 cas ont été prouvés et 1 125 condamnations pénales ont été prononcées. L’élection de cette année viendra s’ajouter à ce total.

Des preuves accablantes montrent que des irrégularités susceptibles de modifier les résultats se sont produites le jour du scrutin et aux alentours. L’équipe juridique de Donald Trump a déjà soumis plus de 800 déclarations de témoins oculaires assermentés dans cinq États.

Les déclarations sous serment, les comptes rendus détaillés des dénonciateurs, les témoins, les témoignages d’experts, les preuves vidéo et photographiques, les anomalies statistiques et les analyses mathématiques continuent de fournir aux tribunaux fédéraux et des États respectifs d’innombrables preuves de bulletins de vote mal gérés, de manigances concernant les machines de vote, de transgressions des procédures régulières, de violations de l’égalité de protection et de fraudes réelles. Les malversations sont cataloguées sur le site HereIsTheEvidence.com et par la journaliste Sharyl Attkisson.

Les sections suivantes mettent en évidence des actes malveillants récemment documentés dans cinq États clés.

Arizona

Un témoin à l’audience législative de l’État d’Arizona a déclaré que des camions transportant des bulletins de vote étaient arrivés pour être comptabilisés 10 jours après l’élection. Ses superviseurs n’ont pas répondu à la question de savoir pourquoi les bulletins de vote continuaient d’arriver.

Un expert en traitement de données a témoigné du fait que les anomalies statistiques relatives au processus de vote en Arizona ne pouvaient être recréées qu’en ajustant manuellement les résultats de chaque candidat. De plus, le témoin expert Bobby Piton a affirmé qu’il n’aurait pas personnellement certifié l’élection dans l’Arizona en raison des anomalies et impossibilités mathématiques qui lui étaient présentées.

Dans un article publié le 4 décembre par le projet Amistad de la société non partisane Thomas More, des experts en traitement de données estiment que 300 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux ont influencé le résultat, dont plus de 200 000 bulletins illégaux qui ont été acceptés et environ 75 000 votes légaux ont été rejetés.

Géorgie

Lors de l’audition du 3 décembre organisée par le Comité de surveillance du Sénat de l’État de Géorgie, des législateurs se sont présentés avec plus de 100 déclarations sous serment, alors que des témoins, y compris des responsables locaux des élections, ont évoqué des fraudes et des irrégularités potentielles, tandis que des experts en statistiques ont dénoncé l’improbabilité des résultats.

Le jour du scrutin, le département des élections a renvoyé les compteurs de bulletins de vote à la State Farm Arena d’Atlanta, en Géorgie, à 22 h 30. Le superviseur a demandé aux observateurs républicains de quitter les lieux puisque le dépouillement était terminé.

Pourtant, la vidéo de surveillance montre quatre agents électoraux en train de sortir des bulletins de vote de caisses cachées sous une table. Entre 23 heures et 1 heure du matin, le dépouillement de dizaines de milliers de bulletins de vote s’est poursuivi en l’absence d’observateurs républicains. Un important nombre de votes en faveur de M. Biden a été enregistré à 1 h 34 du matin.

L’équipe juridique de Donald Trump a établi que 2 056 criminels ont voté illégalement ; 66 248 mineurs ont voté ; 2 423 personnes ont voté sans être enregistrées pour voter ; 1 043 ont voté illégalement en utilisant une boîte postale ; 4 926 ont voté après la date d’enregistrement légal ; 10 315 étaient décédés avant l’élection ; 395 ont voté dans deux États, ce qui est illégal dans les deux États ; 15 700 ont changé d’adresse pour déménager hors de l’État avant le jour du scrutin ; et 40 279 ont déménagé dans un autre comté et ne s’étaient pas réinscrits pour voter dans leur nouveau comté.

Dans un État où Joe Biden ne mène que de 12 670 voix, le projet Amistad estime à plus de 200 000 le nombre de votes illégaux comptabilisés et de votes légaux non comptabilisés. D’où le procès intenté le 4 décembre par l’équipe de la campagne de Donald Trump, qui détaille des milliers d’irrégularités et de fraudes électorales.

Michigan

Lors de l’audience tenue le 2 décembre par le Comité de surveillance du Sénat de l’État du Michigan, trois témoins, dont un employé de Dominion Voting Systems, ont attesté que le 4 novembre à 4 h 30 du matin, un camion est arrivé à l’arrière du sous-sol du bureau de vote avec 100 000 bulletins de vote déposés dans des poubelles. Un employé d’une société de recrutement engagé par Dominion a attesté que des lots de bulletins avaient été scannés huit à dix fois. Un témoin a reçu l’ordre d’antidater des bulletins de vote avec de fausses dates.

Selon la déclaration sous serment d’un expert, dans les circonscriptions du Michigan de Kent, Macomb, Oakland et Wayne, 289 866 bulletins de vote ont été traités en plus grand nombre que ce qui est humainement possible, compte tenu du temps et de l’équipement disponibles. Les experts du projet Amistad ont identifié plus de 500 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux dans tout l’État. Joe Biden est en tête avec 154 188 votes.

Nevada

Dans le Nevada, l’avance de Joe Biden n’est que de 33 596 voix. Les preuves présentées lors d’une audience tenue le 3 décembre ont permis de constater ce qui suit : 4 000 personnes n’ayant pas la citoyenneté américaine ont voté ; 8 000 bulletins de vote ont été déposés par des électeurs dont l’adresse est physiquement inexistante ; 15 000 votes ont été déposés par des personnes inscrites à des adresses vacantes ou à des adresses de propriétés commerciales ; 42 000 citoyens du Nevada ont voté deux fois ; 1 500 personnes décédées ont voté ; et 20 000 électeurs avaient des adresses en dehors de l’État.

Selon le projet d’intégrité électorale, 2 410 électeurs du Nevada se sont inscrits pour voter en Californie mais ont voté illégalement dans le Nevada. Plus de 140 000 étrangers en situation irrégulière ont été enregistrés pour voter et ont envoyé des bulletins de vote en utilisant une faille du département des Véhicules à moteur moteur, qui a permet à chaque personne en situation irrégulière qui fait une demande de permis de s’inscrire automatiquement pour voter.

Pennsylvanie

En Pennsylvanie, Jesse Morgan, chauffeur de camion pour un sous-traitant de la poste américaine, a signé une déclaration sous serment qui atteste qu’il a transporté 288 000 bulletins de vote dûment remplis de Long Island (New York) à Lancaster (Pennsylvanie) en passant par les frontières de l’État. Selon lui, la remorque qu’il conduisait a ensuite disparu pendant la nuit de son lieu de stationnement.

Selon des témoins et des analyses effectuées par des experts, l’équipe juridique de Donald Trump affirme que le soir de l’élection, 848 977 votes ont été enregistrés secrètement sans aucune observation. Le projet Amistad a découvert plus de 100 000 bulletins potentiellement frauduleux ; Joe Biden devance Donald Trump de 81 660 voix.

Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe

L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), qui compte 57 pays, est le principal organe d’observation des élections. L’OSCE évalue si les élections se déroulent dans un climat de confiance, de transparence et de responsabilité, entre autres caractéristiques essentielles.

Selon cette norme, l’élection américaine a été un échec. Les Américains n’ont pas confiance au résultat obtenu ; la moitié de l’électorat pense que ce résultat a été volé à Donald Trump. Les responsables électoraux et les hommes politiques des deux partis s’obstinent à entraver la comptabilité transparente des bulletins de vote, par exemple en vérifiant la signature des bulletins envoyés par la poste.

Selon l’OSCE, « le vote par correspondance, le vote par procuration ou le vote par anticipation […] doivent être réglementés avec soin afin de garantir le secret du vote et donc la pleine confiance accordée au processus ». Il est clair que cela n’a pas été le cas. Chaque électeur paiera le prix d’une telle négligence, car seules des élections véritablement démocratiques constituent la base d’un gouvernement légitime.

Patrick Basham est le directeur et fondateur de l’Institut pour la démocratie, un organisme de recherche politiquement indépendant basé à Washington et à Londres.

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