Quel est le vrai but du «changement climatique» et de tous les mensonges liés au Covid?

Par Roger L. Simon
10 septembre 2022 23:23 Mis à jour: 10 septembre 2022 23:23

Au moment où ils ont remplacé « réchauffement climatique » par « changement climatique », nous savions qu’ils mentaient.

Enfin, si on s’intéresse au concept autrefois connu sous le nom de « science », on le savait. On savait qu’on était manipulé et qu’on nous mentait via de nouvelles expressions spécialement codifiées pour créer la confusion.

Ce qui se passait était évident. On parlait de « réchauffement climatique », tant que ce n’était pas gênant, tant qu’il n’y aurait pas soudainement de « refroidissement climatique ». Alors est apparue la formule « changement climatique ». Quoi qu’il en soit, l’humanité est responsable. C’est de votre faute.

C’était aussi une attaque fort peu subtile contre la « liberté d’expression », condition indispensable à l’existence d’une véritable science.

L’époque de la véritable science est révolue, pour ceux qui ne l’auraient pas remarqué :

Dans cet article‑ci on nous explique :

« Une nouvelle étude, intitulée ‘Stations climatiques altérées : L’enregistrement officiel des températures de surface aux États‑Unis est systématiquement faux’, révèle qu’environ 96% des stations de températures utilisées pour évaluer le changement climatique ne répondent pas à ce que la NOAA [National Oceanic and Atmospheric Administration] considère comme des relevés ‘acceptables’ et non altérées selon ses propres normes établies. »

Intéressant, non ?

Et pourtant, le « changement climatique » (le « réchauffement ») se poursuit comme s’il était indiscutable, même s’il comportait et comporte un nombre incroyable d’erreurs. Pas seulement celle issue de la recherche réalisée par l’Institut Heartland et mentionnée dans le paragraphe ci‑dessus. Le fondateur de Greenpeace, Patrick Moore, l’a démontré de manière exhaustive.

Même si le « climat » arrive en queue de peloton des préoccupations exprimées par les électeurs dans les sondages, le lavage de cerveau nécessaire (la psychose de formation de masse, si on préfère) a déjà été effectué.

On en voit les résultats dans les politiques énergétiques en train de détruire l’Europe actuellement, et les États‑Unis à un rythme à peine plus lent. La Californie est déjà sur des « plans flexibles », ses dirigeants enivrés par la chimère réactionnaire des voitures électriques qui ne profitent qu’à la Chine pour son monopole sur les terres rares, sans parler des panneaux solaires.

« Si tu n’es pas vert, tu es mauvais ! » pourrait aussi bien être le slogan de la gauche réactionnaire, mais regardons les conséquences sur la recherche scientifique proprement dite.

Elle a cependant préparé le terrain pour ce qui s’est passé avec le Covid‑19, en formant des masses obéissantes, des moutons prêts à suivre les prescriptions des docteurs Fauci, Birx et autres, aussi radicalement incohérentes et souvent absurdes soient‑elles.

Un public non formé aux sciences n’a rien arrangé. On peut dire la même chose de la plupart des hommes politiques qui étaient aussi, pour la plupart, sans aucune connaissance et déjà achetés par Big Pharma et Big Tech de toute façon. Peu importe les déclarations faites par les responsables politiques à l’intention du public. Leurs actions ne servaient pas à grand‑chose, si elles existaient.

Pendant ce temps, les hôpitaux et leurs traitements étaient soumis aux diktats des gouvernements qui les finançaient en grande partie – tout comme la recherche scientifique, comme nous l’avons appris il y a quelques années, lorsque les climatologues ont modifié leurs données pour plaire à leurs bienfaiteurs gouvernementaux.

Le changement climatique, le Covid… où allons‑nous, cet abrutissement apparemment délibéré de la science et donc du public, qui nous prive de toute autonomie ?

Le dépeuplement est‑il l’objectif ultime ?

Quoi de plus cynique ? Seul Ian Fleming a pu imaginer cela, car seuls les méchants des films de James Bond sont aussi monstrueux, et pourtant, quelle autre conclusion pouvons‑nous en tirer ?

La sécurité sociale et les régimes de retraite auront‑ils une valeur quelconque lorsque la population diminuera ? Ils dépendent des augmentations pour survivre. Ces prétendus élitistes ont planifié l’appauvrissement du monde et, par conséquent, la dépopulation, en commençant par le « changement climatique » et probablement avant.

Je ne sais pas comment riposter, mais tous ceux qui soutiennent les mondialistes devraient être écartés. Cela inclut, bien sûr, leurs partisans désemparés qui, dans de nombreux cas ne semblent pas avoir conscience de ce qui se passe.

Le monde de Bill Gates, de Klaus Schwab et des autres méchants sortis droits des films de James Bond doit s’arrêter.

Roger L. Simon est un romancier primé, un scénariste nommé aux Oscars, cofondateur de PJMedia, et maintenant rédacteur en chef d’Epoch Times. Ses livres les plus récents sont « The GOAT » (fiction La CHÈVRE) et « I Know Best : How Moral Narcissism Is Destroying Our Republic, If It Hasn’t Already » (Je sais au mieux : Comment le narcissisme moral est en train de détruire notre République, si ce n’est déjà fait). Il est présent sur GETTR et Parler @rogerlsimon.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles d’Epoch Times.

Soutenez Epoch Times à partir de 1€

Comment pouvez-vous nous aider à vous tenir informés ?

Epoch Times est un média libre et indépendant, ne recevant aucune aide publique et n’appartenant à aucun parti politique ou groupe financier. Depuis notre création, nous faisons face à des attaques déloyales pour faire taire nos informations portant notamment sur les questions de droits de l'homme en Chine. C'est pourquoi, nous comptons sur votre soutien pour défendre notre journalisme indépendant et pour continuer, grâce à vous, à faire connaître la vérité.