Un portail vers un royaume spirituel omniprésent : le couvent de Chin Lin et le jardin de Nian Lin

La salle des rois célestes adopte une disposition architecturale de la dynastie Tang, avec une salle centrale gardée en équilibre par une tour du tambour d’un côté et une tour de la cloche de l’autrehaque côté. Ces deux pavillons latéraux s'avancent comme des bras tendus pour accueillir les invités.
Photo: sharppy/Shutterstock

Le grand toit en surplomb et les consoles de soutien (Dou Gong) sont des caractéristiques essentielles de l’architecture traditionnelle chinoise. Les toits en surplomb créent un abri extérieur et protègent la structure principale en bois des éléments, contribuant ainsi à la préservation du bâtiment. La forme du toit s’étire vers l’extérieur, créant un geste expressif et ascendant. (Richard Mortel/CC BY-SA 2.0)

L’entrée principale (Shen Men) présente le style architectural Tang des poteaux et poutres en bois, une technique ancestrale n’utilisant aucun clou, qui se poursuit dans tout le complexe du temple. (Alexandre Tziripouloff/Shutterstock)

Le jardin de l’étang de lotus, où l’eau s’écoule des becs à tête de dragon dans les étangs, agrémentés de nénuphars. (Richard Mortel/CC BY-SA 2.0)

Le pont Pavillion, avec ses trois toits, ressemble à un roc, un gigantesque oiseau mythique, avec ses ailes majestueuses largement déployées. Il relie les deux rives et constitue un point focal qui attire les gens vers l’extrémité est du jardin. (TungCheung/Shutterstock)

Des bonsaïs de pins noirs forment le décor de la salle principale. (Richard Mortel/ CC BY-SA 2.0)

Les salles du temple abritent des statues du Bouddha Sakyamuni, de Guanyin, la Bodhisattva de la Miséricorde et d’autres bodhisattvas. (Richard Mortel/ CC BY-SA 2.0)

L’un des deux ponts vermillon en arche, au milieu d’un paysage d’un vert éclatant, attire le regard vers le pavillon de la perfection absolue. (TINNAKON BOONJAD/Shutterstock)

Cette photo aérienne montre la relation entre la nonnerie, le complexe du temple principal et le jardin Nian lin. (leungchopan/Shutterstock)

Le complexe monastique est disposé selon un format typique de la Chine ancienne où une séquence de bâtiments et de cours s’aligne symétriquement sur un axe central nord-sud. De cette façon, lorsque le soleil passe de l’est vers l’ouest tout au long de l’année, il illumine et réchauffe toujours les façades des temples. (Lewis Tse Pui Lung/Shutterstock)

La grande lanterne traditionnelle se dresse au milieu de la cour avec des tuiles en céramique non émaillées visibles à l’arrière-plan. (Lee Yiu Tung/Shutterstock)

Le pavillon de la perfection absolue dégage un éclat doré dynamique. (Gina Smith /Shutterstock)

Vue d’un pavillon sur la rive sud, la Song Cha Xia (maison de thé) apparaît avec une passerelle couverte qui surplombe l’étang. (WR studio/Shutterstock)

Une source se déverse en cascade sur trois couches de roches anciennes, puis remplit l’étang des lotus. (Parmna/Shutterstock)
? t.me/Epochtimesfrance
Articles actuels de l’auteur
26 avril 2024
Palazzo del Te : un palais près de Mantoue en Italie
23 mars 2023
Le Panthéon : un lieu entre ciel et terre







