Dans l’histoire chinoise, la dynastie Tang a été la dynastie la mieux développée en termes d’économie, de culture et de politique. Elle était aussi une dynastie favorisant la liberté d’expression.
Pour les Chinois, l’«erhu» est l’équivalent du violon pour les occidentaux. Il suffit d’en entendre le son pour éprouver la beauté, la tristesse, la douleur et le bonheur qu’il peut évoquer. En écoutant des mélodies de l’«erhu», les Chinois peuvent entrer en contact avec tous les sentiments expérimentés par leur peuple au cours de leur longue et tumultueuse histoire.
Zhuang Zi (369-286 av. J.-C.) ou Chuang Tse, de son vrai nom Zhuang Zhou, penseur chinois du IVe siècle av. J.-C., n’a jamais servi, au cours de sa vie, comme officiel de premier plan du gouvernement, mais a occupé un rôle officiel mineur dans sa ville natale pendant une très courte période. Il y a pourtant eu un roi qui a tenté de lui offrir le poste de Premier ministre, mais il a rejeté cette offre.
Dans l’ancienne Chine, l’éducation officielle était largement basée sur le confucianisme. Lorsque Confucius donnait des conférences à Xingtan (littéralement l’Autel de l’abricot), il y avait 3.000 étudiants.
Mozi (479-392 av. J.- C.) est également né après Lao Tseu et Confucius (Kongzi), à l’époque des Printemps et des Automnes et des Royaumes combattants (770-222 av. J.- C.), une très sombre période de cruauté. À cette époque de chaos, tout le monde y compris le Roi, étaient désireux de trouver une personne capable d’apporter des méthodes appropriées pour bien gouverner un État.
Mengzi, aussi connu sous le nom de Mencius, est l’héritier de la philosophie de Confucius. Il est l’un des grands philosophes, théoricien politique et pédagogue de l’histoire chinoise.
Dans la médecine chinoise, la tradition de la transmission des connaissances de Maître à disciple a perduré pendant des milliers d'années. En 1999, deux ans après que la souveraineté de Hong Kong ait été transférée à la Chine continentale, le Parti communiste chinois promulgua les «Règlements de la médecine chinoise»
La danse représente une partie de la culture humaine. La danse classique chinoise est enracinée dans les cinq mille ans d’une culture d’inspiration divine. Cette forme d’art se base sur les fondations profondes de l’esthétisme traditionnel. Le pouvoir expressif de la danse classique chinoise est étendu.
Le voyage vers l’Occident ou Xiyougi, l'un des quatre classiques de la littérature chinoise, a été écrit par Wu Cheng’en, romancier de la dynastie Ming au XVIe siècle, né à Huai’an dans la province actuelle du Jiangsu. C'est l'histoire d'un bonze Xuan Zang et de ses trois disciples qui quittent la Chine afin de se rendre dans le pays qu'on appelle aujourd'hui l'Inde, à la recherche des Saintes Écritures bouddhistes.
Depuis les temps anciens, le peuple chinois croit que les êtres divins, au fil des dynasties, ont transmis la riche culture de la Chine aux humains. En particulier, les trois religions du confucianisme, du bouddhisme et du taoïsme ont été au cœur de cet héritage. Elles ont inspiré la spiritualité et la foi, tout en engendrant un profond respect pour des valeurs comme la bienveillance, la justice, l’étiquette et la sagesse.
Han Xin était un militaire très célèbre qui a grandement contribué à la fondation de la dynastie Han. Il était par ailleurs un des rares brillants stratèges issu d’une famille pauvre et a été considéré comme l’un des trois magnifiques de la dynastie Han.
Sunzi, aussi connu sous le nom de Sun Zi ou Sun Tzu, était dans l’histoire chinoise un militaire, général et stratège de haut rang. Il a été considéré comme le grand professeur de stratégie et de management de tous les temps.
Depuis l’Antiquité, la Chine est connue comme «l’Empire céleste». Cela ne concerne pas seulement la puissance de la Chine et sa représentation de l’Empire du Milieu en Asie centrale, mais elle a également une signification plus profonde, décrivant une terre où le divin et le mortel ont coexisté.
Lao Tseu (571 – 470 av. J.- C.) est né vers 571 avant J.-C, à Qu Ren Li, pays de Chu (actuellement province de Henan). Il est considéré comme un saint en Chine et connu en tant que grand philosophe et fondateur de la Voie du Dao (aussi appelée Tao).
Le duc de Zhou était le frère cadet du roi Wu du royaume de Zhou. Dans l’histoire chinoise, il était connu pour être un bon modèle de piété filiale et de bienveillance. Il était, en outre, particulièrement talentueux. Grâce à sa piété filiale et à sa bienveillance, il était différent de ses autres frères. Ainsi, par deux fois, il a aidé son frère le roi Wu à aller vers l’Est à la conquête de la dynastie Shang.
Le roi Wu de la dynastie Zhou était le fils du roi Wen du royaume de Zhou. Dans la douzième année après que le roi Wu accéda au trône, il fonda la dynastie Zhou (1122-222 av. J.-C.).
A l’âge de 32 ans, Jiang Ziya se rendit dans une montagne pour vivre en accord avec les principes du Taoïsme. À cette époque, la dynastie Shang était dans une guerre perpétuelle. Eviter la guerre a été une des raisons qui l’a conduit à se retirer à la montagne. Après 40 ans de «cultivation»* dans l’enseignement du tao, il descendit de la montagne à l’âge de 72 ans.
Shi Kuang (572-532 av. J.-C.) était un professeur de musique aveugle qui vivait dans le royaume de Jin au printemps et à l'automne. En dépit de son handicap, Shi excellait au zheng (également connu sous le nom de guzheng) un instrument de musique chinois à sept cordes, de la famille de la cithare.
Le roi Wen du royaume de Zhou (1152–1056 av. J.-C.) de la dynastie de Shang était connu pour sa manière de gouverner par la vertu et la gentillesse. Il enseigna au peuple à être honnête, respectueux envers dieu, vertueux, etc. Il disait souvent: «Le roi doit gouverner le peuple à l’aide de la bienveillance, les officiels doivent se baser sur la prudence, les enfants doivent respecter leurs parents et faire preuve de piété filiale, les parents doivent élever leurs enfants avec de l’amour, les personnes doivent s’associer les unes aux autres en faisant preuve d’honnêteté et de bonne foi».
Selon d’anciennes légendes chinoises, les caractères chinois ont été inventés par Changjie (CJ). Il a été à la fois l’historiographe de Fu XI et de l’Empereur Jaune.