Un coup dur pour le personnel de l’hôpital d’Armentières (Nord) qui a été victime d’actes de vandalisme samedi soir ; pneus crevés, ambulances et camion de transport dégradés. Un événement qui vient s’ajouter à leurs conditions de travail, déjà extrêmement pénible en raison de l’épidémie de coronavirus qui sévit actuellement.
Rappelons que ce virus, qui est appelé par les Chinois «virus du PCC», a pu se propager dans de nombreux pays du monde en raison de la dissimulation et de la gestion déplorable du Parti communiste chinois (PCC) lors de l’apparition de ce virus.
?? Armentières. Des véhicules de soignants dégradés samedi soir sur le parking de l’hôpital https://t.co/b0eNUxYfwz pic.twitter.com/gmGxm796HV
— Revue de presse Police & Réalités (@PoliceRealites) March 29, 2020
C’est sur le parking de l’hôpital d’Armentières (Nord) et dans les rues Lebleu et d’Erquinghem que les faits se sont produits. Au total, une trentaine de véhicules ont été impactés. Des pneus ont été crevés, appartenant pour la plupart à des soignants. Deux ambulances et un camion de transport appartenant à l’hôpital ont également été dégradés, ainsi que le rapporte Lilleactu.
Le parking de l’établissement qui est habituellement réservé au public, est occupé par le personnel soignant depuis que l’épidémie du virus de Wuhan (ville chinoise dans laquelle est apparu le virus) fait rage en France.
#Armentières : Une trentaine de véhicules de soignants dégradés, samedi soir, sur le parking de l’hôpital. Trois véhicules de l’établissement de santé ont également été dégradés ?? https://t.co/JMeB5Y4KBf
— Lou Pastrouil (@LaNissarda) March 29, 2020
L’EPSM (Établissement Public de Santé Mentale) d’Armentières avait mis à la disposition du personnel soignant un véhicule de transport pour les ramener à leur domicile samedi soir. Mais entre temps, chaque membre du personnel avait déjà trouvé une solution pour pouvoir rentrer chez lui.
Les policiers ont été avertis par la direction de l’établissement et sont intervenus rapidement. Pour autant, aucune interpellation n’a pu être faite. Les soupçons se sont portés sur une personne déséquilibrée mentalement, une enquête est en cours. Le commissariat a précisé aux victimes de ces actes de vandalisme que la prise des plaintes serait facilitée en raison des conditions exceptionnelles de pandémie.
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