AstraZeneca Nantes : les résultats d’autopsie de l’étudiant décédé après avoir été vacciné « renforcent l’hypothèse d’un lien de causalité »

Par Epoch Times avec AFP
1 mai 2021 16:28 Mis à jour: 3 mai 2021 18:20

Le rapport d’autopsie de l’étudiant en médecine de Nantes mort après avoir été vacciné avec le vaccin AstraZeneca contre le virus du Covid-19 causé par le PCC (Parti communiste chinois) « renforce l’hypothèse d’un lien de causalité » entre l’injection et le décès, a affirmé l’avocat de la famille.

Le 18 mars dernier à Nantes en Loire-Atlantique, Antony Rio, étudiant en médecine âgé de 24 ans, considéré comme personnel de santé prioritaire, a été trouvé mort chez lui dix jours après avoir reçu sa première dose du vaccin d’AstraZeneca.  

La famille qui « se pose des questions autour du vaccin », a demandé une autopsie et fait appel à Maître Étienne Bottin. L’avocat est en possession des résultats de l’autopsie effectués sur la victime.  « L’expertise indique que la cause du décès est une thrombose abdominale, (…) au niveau de la rate avec des caillots très récents », a expliqué le 29 avril Me Boittin.

« Saisine d’un juge d’instruction »

« Aucun état pathologique antérieur n’a été détecté, la thrombose n’est pas liée à une infection, virus, cancer ou tumeur, et pas de maladie auto-immune qui peuvent générer des thromboses », précise Me Boittin.

Ainsi, selon l’avocat, « le rapport d’autopsie ne dit pas que l’injection de l’AstraZeneca est la cause du décès. Mais il élimine un certain nombre de causes possibles et renforce l’hypothèse d’un lien de causalité entre l’injection de l’AstraZeneca et la survenance du décès ».

Me Boittin a été saisi d’une quinzaine de cas de personnes décédées en France après avoir été vaccinées à l’AstraZeneca, très majoritairement des « moins de 60 ans ». D’après lui, « la prochaine étape » dans le cas du jeune homme Anthony Rio « est de poursuivre les investigations d’un point de vue médical et, d’un point de vue judiciaire, de demander la saisine d’un juge d’instruction ».

Trois plaintes déposées

Le pôle santé publique du parquet de Paris s’est saisi de trois enquêtes ouvertes à la suite de plaintes déposées par les familles de personnes décédées après avoir été vaccinées contre le Covid-19 avec l’AstraZeneca.

Ce pôle santé publique, compétent pour mener des investigations concernant les infractions d’une grande complexité liées à un produit de santé, dirige désormais les enquêtes préliminaires ouvertes pour « homicide involontaire », après le dépôt des plaintes à Toulouse, Paris et Nantes, et de premières investigations menées par les parquets locaux. Le rapport d’autopsie de l’assistante sociale morte à 38 ans à Toulouse devrait être connu « la semaine prochaine ».

L’utilisation du vaccin AstraZeneca a été restreinte dans la plupart des pays de l’Union européenne à cause de cas de thromboses qu’il peut provoquer. Le Danemark ne l’utilise plus. En France, depuis le 19 mars, le vaccin n’est plus administré aux moins de 55 ans.

 

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