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« Je suis sous le charme », dit un professeur en journalisme

5 mai 2016

QUÉBEC – « Jai trouvé que c’était intéressant davoir des textes [de chansons] avec du contenu, un spectacle avec des messages forts et qui nous intéressent en plus », des propos ayant du poids puisqu’ils proviennent d’un professeur en journalisme, Thierry Watine, enseignant au Département d’information et de communication de l’Université Laval.

En ce 4 mai, il sort ébloui du spectacle Shen Yun, spectacle de danse traditionnelle chinoise salué par la critique ici et ailleurs auquel il a assisté avec son épouse, Martine Watine. Il s’agissait de la dernière représentation de Shen Yun à Québec, au Grand Théâtre.

« Il y a une prise de position, c’est une voix qui s’exprime, comme on comprend que le spectacle est interdit en Chine », déclare l’ancien morning man à la station radio régionale Arc-en-Ciel à Lille en France. Il reconnaît l’audace de Shen Yun – « ils osent » – à travers cette « célébration de la Chine, de la culture et de l’histoire chinoise ».

Par rapport à l’aspect spirituel et divin, autant partie intégrante des 5000 ans de civilisation chinoise que dans la production artistique de la compagnie new-yorkaise, le couple est très réceptif. « Qu’on vient du ciel, qu’on repart au ciel, c’est très différent de certaines de nos valeurs et, en même temps, puisqu’on est croyant, on le voit comme une autre traduction de la croyance : pourquoi pas ? », dit M. Watine.

« On est loin de la Révolution tranquille vécue ici. [Avec Shen Yun] on est loin du rejet des valeurs quon connaît chez nous au Québec. On vient nous redonner un peu de spiritualité. Je pense que ça fait du bien, au même titre que cet étalage de couleurs, de mouvements et de grâce. Finalement, on a envie de tout prendre », renchérit-il.

Le professeur de journalisme parle d’un spectacle magnifiquement réglé, surtout en ce qui a trait à la performance technique et le synchronisme des danseurs qui se révèlent remarquables. « Jai trouvé que c’était extrêmement bien réalisé », ajoute-t-il.

Le couple va régulièrement à New York, à Broadway, pour assister à des comédies musicales. Martine Watine a admis que Shen Yun « poussait encore plus la perfection et le travail » que les comédies musicales, en ajoutant que le tout était magnifique.

Ils ont eu un coup de cœur pour « la soliste avec son instrument extraordinaire ». Ils sous-entendaient le solo d’erhu, un des numéros de la seconde partie du spectacle, un instrument de musique chinois, également présent dans le « magnifique orchestre » sur place.

Sur le site de Shen Yun, on y mentionne que l’erhu, appelé également le violon chinois, « est incroyablement expressif et est capable dimiter le chant dun oiseau aussi bien que le hennissement du cheval ». Il est intéressant d’y lire aussi que « dans la gamme musicale de basse à moyenne, l’erhu est particulièrement émouvant et sombre, une qualité tout à fait adaptée pour transmettre lampleur de lhistoire de la Chine et l’émotion de son peuple ».

Le professeur Watine spécifie que « Shen Yun est un spectacle où il faut se laisser porter et admirer ce qui est offert », indiquant qu’il a été profondément ravi de sa soirée.

Shen Yun Performing Arts continuera sa tournée canadienne 2016 à Kitchener le 6 mai et à Ottawa le 8 mai, pour la terminer à Hamilton les 10 et 11 mai. Pour en savoir davantage sur Shen Yun, consultez le site internet fr.shenyun.com. Shen Yun Performing Arts est basée à New York et comprend quatre troupes présentant des spectacles simultanément partout dans le monde.

Epoch Times considère Shen Yun comme un évènement culturel important de notre époque. Nous assurons fièrement la couverture médiatique des spectacles en présentant les commentaires des spectateurs de par le monde depuis la création de Shen Yun en 2006.